Selon l’adage bien connu : qui ne dit mot consent. Sarkozy - TopicsExpress



          

Selon l’adage bien connu : qui ne dit mot consent. Sarkozy doit réagir sous peine d’être hors jeu définitivement : il ne peut laisser Copé sous un prétexte stupide autant qu’inutile lui faire un procès en bonne et due forme… C’est aberrant ! Un procès qui sera, n’en doutez pas, forcément à charges contre Nicolas Sarkozy. Que de haine finalement est vouée à un homme par simple jalousie ou par bêtise. N’oublions pas que pendant cinq ans la Gauche et les médias ont littéralement bombardé cet homme sous n’importe quel prétexte. Les mots des médias ont été durs et performants à la longue. La Gauche, elle, s’est opposée avec outrance et souvent de mauvaise foi. mais les Français les ont écoutés et ensuite ils ont cru au changement proposé par le candidat Hollande. Lequel sitôt élu a oublié les promesses pour imposer son dogme, ce que je décris dans "Promesses et mensonges", un bilan catastrophique pour la France. Par contre les médias et tous les politiques qui attaquent souvent injustement Sarkozy auraient pu au moins consulter "Sarkozy, un bilan qui dérange" et bizarrement ce bilan n’intéresse ni l’UMP ni les médias… Qui a dit curieux ? C’est aussi pourquoi j’ai écrit ma Liste des méprisants. Le vrai problème réside dans ce décalage total entre nos "élites" qui n’en sont plus et les gens. Sarkozy en a été victime et son entourage n’a pas été performant de ce côté là, c’est le moins qu’on puisse dire. Ce manque inné de savoir communiquer est chronique à Droite comme si cela était tabou. La Droite manque cruellement de vrais débatteurs à part justement Sarkozy qui est la cible à abattre. Curieusement quand la Gauche au pouvoir fait cent fois pire, les médias ont une discrétion formidable… Copé se figure qu’en procédant ainsi, il va à coup sûr mettre Sarkozy définitivement hors jeu et il n’a pas tort. Car ce procès à charges, appelons un chat un chat, contre Sarkozy n’a que ce but : le discréditer pour empêcher tout retour du « patron ». Double avantage pour Copé : d’abord éliminer le rival numéro un et ensuite se positionner comme l’homme qui a oser s’attaquer à l’icône de l’UMP. Le calcul de Copé rejoint les calculs de certains de ses rivaux : comment se débarrasser du candidat naturel tout en se posant comme vertueux ? Juger son quinquennat est politiquement un suicide qui risque d’emporter toute l’UMP en une bourrasque. NC
Posted on: Wed, 21 Aug 2013 23:32:55 +0000

Trending Topics



Recently Viewed Topics




© 2015