Souvenir d’un combattant de la liberté tombé sur les champs de - TopicsExpress



          

Souvenir d’un combattant de la liberté tombé sur les champs de la liberté d’expression. Son nom était BLACK SO MAN, comme pour dit « le noir est aussi un homme » en lisant attentivement ces mots vous vous rendrez bien compte de leur profondeur et les raison de sa mort. J’étais au procès J’étais au procès ou le présumé accuser avait pour nom le monde juvénile Accusé d’être l’auteur de trouble de mal social, quel genre de mal social de l’insécurité A l’ouverture du procès, le plaignant donne le ton en ces termes je site : « Je soufre d’un mal qui n’est autre que l’insécurité dont l’auteur sans doute s’appel le Monde Juvénile, il me rend des compte dont moi j’en suis vraiment râle bol » Monsieur l’accusé levez vous, reconnaissez vous les faits qui vous sont reproché, oui ou non dans tous les cas nous t’écoutons ; Un silence de deuil d’un martyre envaillit la sale, la version de l’accusé fut vivement attendue L’accusé prend la parole en ces termes : « Je vous remercie Monsieur le président, je vous remercie pour l’occasion que vous m’offrez de parler, au nom de tous les victimes du système éducatif et de la réprimande des politiciens. Combien sont-ils mes frères et sœurs qui, dès le bas âge son mis dans la rue par leur parents, soit disant qu’ils sont grand et qu’ils peuvent maintenant ce débrouiller. C’est pourquoi vous verrez également, des adolescents gangster parce qu’ils éduqué dans la rue. En calcul mathématique mon cher président, voici la part de culpabilité de nos chers parents. Hier nous étions sous le soleil grillant, BLAISE COMPAORE au pouvoir par ce qu’il nous avait promis le paradis, Aujourd’hui nous somme sous le même soleil, BLAISE COMPAORE dégage parce que tu as trahit la cause ; Tu as vraiment fait une déviation idéologique : De la démocratie à l’autocratie, Le trésor public est privatisé ; Le taux de chômage augmente de jour en jour Les fonctionnaires ne sont plus bien payé Les étudiants sont martyrisés La misère ce lit sur tous les visages Sans avoir la peur du prisonnier et de l’élimination physique, voici la part de culpabilité de nos chers dirigeants L’arme revendicatrice des droits d’un bébé, est son cri perturbateur du calme de ses parents En conclusion je dis mon cher président, je reconnais être la synergie de la visibilité et l’exclame précité en son origine Je dis, arrêtez qui de droit, destituez les vrais auteurs Sanctionnez qui de droit, condamnez les vrais auteurs En vertu des pouvoir qui vous sont conféré, Arrêtez qui de droit, sanctionnez les vrais auteurs Car nul n’est au dessus de la loi..... Souvenir d’un combattant de la liberté tombé sur les champs de la liberté d’expression. Son nom était BLACK SO MAN, comme pour dit « le noir est aussi un homme » en lisant attentivement ces mots vous vous rendrez bien compte de leur profondeur et les raison de sa mort. J’étais au procès J’étais au procès ou le présumé accuser avait pour nom le monde juvénile Accusé d’être l’auteur de trouble de mal social, quel genre de mal social de l’insécurité A l’ouverture du procès, le plaignant donne le ton en ces termes je site : « Je soufre d’un mal qui n’est autre que l’insécurité dont l’auteur sans doute s’appel le Monde Juvénile, il me rend des compte dont moi j’en suis vraiment râle bol » Monsieur l’accusé levez vous, reconnaissez vous les faits qui vous sont reproché, oui ou non dans tous les cas nous t’écoutons ; Un silence de deuil d’un martyre envaillit la sale, la version de l’accusé fut vivement attendue L’accusé prend la parole en ces termes : « Je vous remercie Monsieur le président, je vous remercie pour l’occasion que vous m’offrez de parler, au nom de tous les victimes du système éducatif et de la réprimande des politiciens. Combien sont-ils mes frères et sœurs qui, dès le bas âge son mis dans la rue par leur parents, soit disant qu’ils sont grand et qu’ils peuvent maintenant ce débrouiller. C’est pourquoi vous verrez également, des adolescents gangster parce qu’ils éduqué dans la rue. En calcul mathématique mon cher président, voici la part de culpabilité de nos chers parents. Hier nous étions sous le soleil grillant, BLAISE COMPAORE au pouvoir par ce qu’il nous avait promis le paradis, Aujourd’hui nous somme sous le même soleil, BLAISE COMPAORE dégage parce que tu as trahit la cause ; Tu as vraiment fait une déviation idéologique : De la démocratie à l’autocratie, Le trésor public est privatisé ; Le taux de chômage augmente de jour en jour Les fonctionnaires ne sont plus bien payé Les étudiants sont martyrisés La misère ce lit sur tous les visages Sans avoir la peur du prisonnier et de l’élimination physique, voici la part de culpabilité de nos chers dirigeants L’arme revendicatrice des droits d’un bébé, est son cri perturbateur du calme de ses parents En conclusion je dis mon cher président, je reconnais être la synergie de la visibilité et l’exclame précité en son origine Je dis, arrêtez qui de droit, destituez les vrais auteurs Sanctionnez qui de droit, condamnez les vrais auteurs En vertu des pouvoir qui vous sont conféré, Arrêtez qui de droit, sanctionnez les vrais auteurs Car nul n’est au dessus de la loi.....
Posted on: Tue, 01 Oct 2013 18:52:49 +0000

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