Souvent l’arôme de la mort circule dans les rues de l’âme. Le vent et l’allure frappent le visage d’un trépas exquis. Les souvenirs jaillissent la mémoire d’un cénotaphe isolé. Seul l’esprit qui se balade dans la ténébreuse voie de la vie. Hélas ! Le parfum de la solitude est pendu sous les regards des passants. L’homme, ce pauvre vagabond qui pense à l’avenir et qui rit comme un fou de la rade. Le soleil prend son café comme d’habitude devant l’ahurissant paysage de la mer. Et moi, je pense sans pensées et je vois comment la vie, cette femme change. Les mânes n’ont rien à faire que de voler mes rêves. Toi, tu n’es qu’une phrase oubliée dans le bruit du texte. La scène était scandalisée par les cris du passé. Rien n’est étonnant que la voix basse de la mort qui cherche de moi, qui embrasse-moi de temps à autre. L’enfer rit pour que je reste heureux dans ce monde hypocrite qui ne sert à rien
Posted on: Tue, 01 Oct 2013 23:57:58 +0000