Une question a été posée à propos des nuisances aériennes de laéroport de Zaventem par Blaise Erpicum, la voici : « Vous en avez tellement eu des atterrissages ces dernières semaines??? ... », à laquelle j’ai répondu : Pour la 01, non. Vous aurez remarqué que la direction du vent nous est favorable pour nous éviter cette torture. Vous pouvez d’ailleurs le constater par le mauvais temps que nous avons. Je profite que vous posiez cette question pour ajouter pour ceux qui craignent le retour du beau temps et donc du risque d’encore devoir supporter les nuisances aériennes lorsque le beau temps reviendra. Il nous est revenu en mémoire que pour l’aéroport de Bierset, (où il n’y a aussi qu’une seule piste), les avions passaient au-dessus de la commune de Riemst (région flamande) à 25 km de l’aéroport en question. Les habitants de cette commune se sont fâchés et les avions ont été détournés par BELGOCONTROL pour ne plus passer au-dessus d’eux afin de ne plus les déranger. C’est donc une région qui a eu le pouvoir contre une autre région pour des faits que nous devrions supporter. Cela dit, je me suis fait taper sur les doigts car j’ai soutenu qu’il n’y avait qu’une seule solution contre les insupportables survols : la régionalisation de l’espace aérien. On m’a fait remarquer qu’il en avait une autre. Faire remonter de 7 nœuds de vent arrière sur la 25 jusqu’à 10 nœuds et Bruxelles et le Brabant wallon sont sauvés. Voilà un choix évident pour nos élus afin que nous ne souffrions plus des dangereuses nuisances de cet aéroport flamand Zaventem. Aujourd’hui, B. De Wever, président du plus grand groupe flamand, va expliquer sa conception du con-fédéralisme. Il est plus que temps de faire réfléchir nos propres élus à propos de cette sale affaire communautaire des survols sur les zones francophones de cet aéroport de Zaventem. Pour cela d’une seule voix nous devons leur faire comprendre que nous aussi nous sommes fâchés et que nous exigeons que la Flandre tienne ses dangereuses pollutions chez elle. (On ne partage pas de telles pollutions, on les supprime. Si la Flandre ne veut pas les supprimer, qu’elle les garde). Ça aussi c’est du con-fédéralisme. Nous ne voulons pas « partager » les désavantages, qui nuisent à notre santé, notre qualité de vie et notre environnement. Chacun chez soi.
Posted on: Tue, 29 Oct 2013 15:10:14 +0000
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