VOTRE NOUVEAU SÉNATEUR EST EN COLÈRE 48 h après l’ultimatum par moi lancé aux protagonistes du feuilleton de mauvais gout qui nous a été servi et où je demandais l’arrêt immédiat des hostilités, force est de constater que mes craintes se sont avérées fondées. S’il y eu un semblant d’accalmie, il m’a été donné de constater la création d’un faux profil. Un autre de plus. Un autre de trop ! Ce faux profil continue d’alimenter des informations sur la vie d’une femme mariée, de sa famille et de son entourage proche ou de prêter des intentions malsaines à l’adversaire (selon le partie dans lequel on se trouve). Après avoir fait le tour des protagonistes, et n’ayant obtenu de réponse quand à la paternité de cet autre profil, il m’a été donné de constater mon incapacité et mon impuissance à faire entendre raison aux uns et aux autres. Et je suis contrains de jeter l’éponge. J’en tire de cette longue et parfois houleuse médiation les enseignements suivants : - Le droit de dire ce que l’on veut est un droit inaliénable, garantie par la déclaration des droits de l’homme et du citoyen (et FB y contribue, parfois top !) - Le législateur a cependant prit le soin de mettre les gardes fou (certains l’ignorent) - Une vingtaine de personnes humiliées, meurtries et blessées, ainsi que leur entourage par des accusations sans fondement. Des personnes que j’ai eu la peine à apporter du réconfort et à qui je veux dire mes amitiés et ma compassion. Ces personnes qui se sont retrouvées malgré elles, les héros du casting d’un feuilleton au mauvais gout et à une triste distribution. Des personnes ayant fait (pour la majorité d’entre elles) preuve de beaucoup de retenue, de dignité et de respect de la parole, à moi donnée. Et dans ce sens je tiens à saluer et leur courage, et leur abnégation. - Si certains ont été surpris par mes coups de colère ou par mon engagement, d’autres n’ont pas compris que je me sois engagé dans cette médiation, je voudrais les rassurer. Mes offres de service étaient gratuites, relevaient du bon sens .Et ma proximité réelle ou virtuelle avec certains acteurs majeurs de cette distribution au mauvais gout m’avait donné l’illusion que j’avais les moyens d’un retour au calme. A la vérité je dois reconnaître que j’ai quand même eu quelques moments de satisfaction qui suffissent à compenser ces efforts de bon office. - Etant devenu expert et m’étant autoproclamé médiateur, je ne m’arrêtai pas en si bon chemin. Je m’autoproclame SENATEUR DES NANGA DE FB. Dès maintenant appelé moi SÉNATEUR (c’est un décret. c’est comme ça : ça ne se discute pas et on ne justifie rien. Celui qui n’est pas content, on s’en ………….Voilà.Cmt ?) « Quand le film est triste, ça me fait pleurer» disait Sylvie Vartan SAMBA NDOUMA henri georges Sénateur des NANGA - EBOKO de FB
Posted on: Wed, 21 Aug 2013 22:26:12 +0000
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