Voici les principaux extraits de cet article hautement éclairant... En 2011, Samira Laouni a traité 4 femmes Québécoises de « cellules cancéreuses qui rongent notre société de l’intérieur ». L’hiver 2013, Michèle Sirois et Leila Lesbet, deux femmes membres de la Fédération des Femmes du Québec, se sont vues refuser par Samira Laouni et Leila Bdeir et cie, le droit de participer aux tables de discussion organisées par la Fédération pour déterminer ses orientations politiques des 20 prochaines années. Ces deux Québécoises, qui voulaient se prononcer contre le port du voile dans la fonction publique, se sont faites dire qu’elles avaient un « comportement problématique ». Leila Lesbet, récemment nommée au Conseil du statut de la femme, avait comparé le voile islamique à l’étoile jaune imposée aux Juifs par le régime nazi. L’infiltration de la Fédération des Femmes du Québec par des activistes du voile islamique et du niqab, telles que Samira Laouni, Dalila Awada, et Leila Bdeir, a obligé des féministes comme Louise Beaudoin et Claire L’Heureux-Dubé, une ancienne juge de la Cour suprême du Canada, à créer un nouveau groupe. Ce nouveau groupe féministe s’appellera Pour les droits des femmes, et il dénoncera le féminisme individuel prôné par des musulmanes comme Leila Bdeir et sa cousine Dalila Awada, lesquelles non seulement défendent le voile islamique au sein de la fonction publique et para-publique, mais vont même jusqu’à militer contre l’interdiction du voile intégral partout, dans la fonction publique aussi bien que sur la rue.
Posted on: Fri, 11 Oct 2013 22:00:54 +0000
Trending Topics
Recently Viewed Topics
© 2015