Wallou, ahna imout kaci foug el koursi. Il était une fois mouhand oukaci nehmed naali dmouh naamar et el gueroui ben seid el tahtani, pour simplifier cette mosaïque appelons les; mouhand et el tahtani, ils sont donc sorti tôt un matin pour aller a la chasse, le gibier était devenu très rare dans la foret décimée par les feu d`hiver, notamment d`avril. Point de Lieve ou lapin, soudain, tac tac et une masse tomba aux pieds de mouhand , el tahtani vient d`abattre une cigogne, il souleva triomphalement la chose avant de la mettre dans le sac. A longueur de journée , on tira sur tout ce qui boguait et rien, walou , au sommet d`une cote, un effrayant de perdrix se fit entendre , mouhand tira dans le tas et en abattit une très jolie rousse. Comme il est de coutumes, au retour, les chasseurs partagent le gibier équitablement, a l`approche du village, ils s`assirent pour partager. El tahtani prit un aire sérieux et dit a mouhand. - Tu sais treeeeeeeees cher ami, je te fais une proposition de partage, soit tu prends la chose au long bec et je prends la perdrix ou je prends la perdrix et tu prends la chose au long bec. Mouhand qui regardais le gibier au milieu finit par sourire et dit. - De toute façon je ne comprends rien de ce que tu dis, mais une chose est sure, je ne prendrais pas cette chose. C`est a peu prêt ce qui se passe aujourd`hui, pas de bendir ni ghaita, je ne comprends rien a ce bouillonnement de marmites vides, installer les commissions que vous voulez pour réviser constitutionnellement le machin, rallonger le fil des mandats avec de la colle d`écolier ou chercher des lièvres, ca m`est égal, c`est terminé je t`ais dis tu m`as dis, moi je reste hna imout kaci foug el koursi.
Posted on: Tue, 24 Sep 2013 19:59:43 +0000
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