javais un collegue arabe et juif en meme temps , son nom ELIE-ERIC , moi , je lappellais ERIC LE ROUGE , nom dun homme legendaire des VIKINGS , laieul des scandinaves , venu de nul part sur un DRAKAR. son nom est composé de deux noms ELIE ET ERIC . ce juif , je laidais beacoup , quand il a besoin de moi , bien sur pour tricher à lecole , pendant les periodes des examen, il me telephonais le soir , à une heure tardive , pour connaitre les solutions des annales des années passées , et le jour des examens , il mattendais devant la porte de lecole pour me dire quil avait besopin de moi , il me demandait juste de masseoir à cote de lui , est de ne pas cacher la feuille dexamen par mon bras , lui , avait les cheveux longs , comme un tzigane , par ses cheveux baisses , il cachait son visage , ses yeux , comme un caniche , il regardait discrètement sans etre apercu . il portait une veste à motifs alternés de petits carreaux blanc et noirs , un jean et des boots (santiag ), une fois dans la ville , je le voyais avec une blonde ,, habillée dune longue robe noire, les deux marchaient , lui ,passait son bras autour du cou de la fille , et me regardait sans me parler , une autre fois avec la meme fille , meme place , même scenario . apres des jours , le cinema commençait . ELIE-ERIC portait un tricot vert olive avec deux grandes croix de DAVID dessus , une sur le thorax , la deuxième sur le dos , tous les Etudiants insatallés dans la classe , lui , entrait après quelques minutes de retard , il marchait avec un pas dandinant , et me regarder dans les yeux , il voulait me transmettre un message , lequel je ne savais pas , car à cet instant , je sentais bien dans ma peau . de temps à autre , comme jetais assis derriere lui en classe , il se tournait vers moi , et il faisait un sourire strident que je trouve bizarre , sans aucune comprehension . un autre jour , plutard , en dehors de lecole , il m’accompagnait , dans notre chemin , rien que lui et moi , il me disait un juif est un cerveau , un arabe a les moyens , si le juif et larabe travaillaient ensemble , ils atteindreront la perfection . et reprenait par dire GOLDA Meyer AVEC UNE ABAYA , PENDANT LA GURRE DE KIPPOUR montait sur un âne , et passait les frontiéres , inapercue , elle touchait le roi de jordanie , pour lui dire , soit la paix , soit la guerre . je trouvais son discours mitigé. il reprenait , par dire , quil etait en israel chez des proches , il entrait dans les toilettes , pour uriner , il tirait la chasse , ouvrait lhublot du petit coin pou aerer , il voyait les fils barbelés , et par la suite , demandait à ses proches de quoi sagissait-il , la reponse :la frontiere avec la SYRIE. autre fois , il me disait que je pouvais entrer en ISRAEL sans papier , et que je vive la vie des gens de mercedes de lux. il encahainait par dire que mon nom na rien à voir avec les arabes , et que mon nom correspondait au nom dun juif tué par les allemends pendant la deuxième guerre mondiale. il me disait nasser parlait lhebreu ( nasser a les yeux bleus ,de petite taille , etudiant à lecole ) , et me demandait de mapprendre lhebreu :pareil jour en hebreu , la meme chose en arabe (yawm) , eau de vie pareil aussi ( maa al hayat ) ; une fois disait aussi , saddam bombardait avec des missiles (tell avive) (altal alakhdar). toutes ces converstaions unidirectionnelles , citées sans introductions , sans occasions , je trouvais , au debut quil me racontait que des salades, des bobards . au fur et à mesure que les jours avançaient , les doses de ces messages augmentaient en volume et en ténacité , , la situation devenait dégoûtante , je trouvais que les gens parlaient un langage flou comme lappel , dans une langue étrangère , entendu par le prince indien dans son palais clos le SIDARTA BOUDA au début de la méditation du bouddhisme sous larbre de bouda à KATMANDOU , bouda prenait un grain de riz chaque jour , quant à moi ,je prenais des messages de partout , tourmenté comme un animal traqué ,je perdais l’appétit de manger : frustration totale. je vous invite à lire avec attention , et profonde méditation ce passage que je considère , dailleurs , comme énigme à déchiffrer .ELIE -ERIC me racontait sous forme de blague le récit suivant: il y avait trois personne s , le musulman , le chrétien , et le juif , tous les trois se promenait dans un lieu , ils trouvaient une grosse bourse dargent . ils se disaient :>. le chrétien:
Posted on: Sun, 03 Nov 2013 21:03:11 +0000
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