salam alykom wa rahmato aalah wa brakatoh le jour daujaurdhuit - TopicsExpress



          

salam alykom wa rahmato aalah wa brakatoh le jour daujaurdhuit cest le jour dor pour nous les algériennes a cause de : Le 1er Novembre 1954, au secours de l’Histoire contemporaine de l’Algérie. A)- INTRODUCTION L’historique Appel du 1er novembre 1954, a été formulé et adressé par une élite politique indépendantiste du mouvement national de notre génération. Ce mouvement avait prolongé celui de nos parents et aïeux, lequel plonge ses racines dans les royaumes amazyghes de l’antiquité de l’Algérie, ( deux siècles avant Jésus Christ), en passant par l’Etoile nord africaine,(ENA, 1926-37), par le Parti du peuple algérien, le (PPA, 1937-39), par le Mouvement pour le triomphe des libertés démocratiques, (MTLD, 1947-1954), jusqu’au FLN-ALN, (1954-1962). Ce dernier, auteur de cet Appel, unifia, sous son sigle, toutes les parties indépendantistes des autres partis politiques, sans leurs sigles respectifs, ainsi que les volontaires non-partisans des nombreuses ethnies, indigènes et autres, du peuple algérien , qu’il organisa sous le drapeau de l’Algérie, dans un Front unique, (« El jebha » ou le front). Ce front, unique, pour les besoins de stratégie de guérilla, s’est constitué fer-de-lance armé de tout le peuple en lutte, déclarant la guerre populaire, partisane et non terroriste, contre l’armée et l’administration d’occupation françaises. Il respectait et appliquait les Conventions de Genève sur les règles de la guerre, afin de protéger les prisonniers de guerre, les populations civiles, et éviter les exécutions sommaires, les bombardements de villages, les disparitions forcées et les tortures. Hocine AÏT AHMED, ancien membre du Bureau politique du PPA et du PPA-MTLD, et ex-chef national concepteur de l’Organisation spéciale, l’O.S., avait magistralement développé cette stratégie dans ses lettres d’encouragement et d’orientation qu’il avait adressées au Congrès de la Soummam du 20 août 1956. Malgré toutes les exactions et tentatives de dissuasion de la part de l’administration colonialiste, le peuple algérien n’avait jamais renoncé à son droit politique, qu’il plaçait au rang de la dignité suprême, au dessus-même du droit à la vie. Sachant que ce droit politique était précieux, autant pour notre peuple défenseur de la liberté et l’indépendance, « el hourriya wa el istiklal », que pour les serviteurs de la démocratie, les organisations et les combattants au service de la liberté et des indivis droits de l’homme, à travers les peuples du monde. Le droit politique se raffermissait dans les mentalités des Algériennes et Algériens, au fur et à mesure que s’effectuaient l’éveil et les prises de conscience politiques et syndicales, tout au long des décennies de lutte générationnelle pour arracher les libertés démocratiques, la justice sociale et l’éthique politique. Ce droit politique a été mis en pratique le 1er novembre 1954. Il constituait, dès lors, la force résultante morale et le levier principal de la libération du pays et de l’individu. Cette force morale et ce levier, expression du droit politique, étaient et demeurent encore la condition, nécessaire et suffisante, permettant au peuple algérien de réaliser toutes ses légitimes revendications politiques, culturelles, socio-économiques, démocratiques et tous ses droits, bref, « le droit d’avoir des droits », selon l’expression de Hocine AÏIT AHMED, ce courageux, compétent, humain et incorruptible patriote parmi les guides éclairés et philosophes engagés de la révolution populaire algérienne. C’est ainsi que cette Révolution avait réussi le pari porté par l’Appel du 1er novembre, grâce à la maturité politique des Algériennes et Algériens, à leurs souffrances et sacrifices, ainsi qu’aux circonstances favorables dans lesquelles avaient plongé, avec délectation, les personnes, généreuses et honorables, de toutes nationalités, qui l’avaient aidée activement dans sa réussite. Le triomphe avec gloire avait été remporté, en 1962, non pas par la prétendue « Famille révolutionnaire » du Système de pouvoir de la RADP, mais par le peuple algérien qui avait répondu positivement, en son âme et conscience et d’une manière plus ou moins désintéressée, à l’Appel du 1er novembre 1954. L’écho de l’un et l’autre, de ces deux dates historiques, ne cesse de résonner, jusqu’à présent, dans les discours et dans les circonstances suivantes : B)- DEVELOPPEMENT 1°- En 1962, quelques dirigeants de la guerre de libération nationale, dans leur désolante et meurtrière course au pouvoir du jeune Etat naissant, avaient bafoué l’Appel du 1er novembre, lequel voulait qu’on donnât plus qu’on ne prît au peuple algérien et à l’Algérie. Mais, ces responsables, qui se sont révélés moins idéalistes et plus avides de pouvoir et de trafic d’influence, ne se génèrent guère de s’approprier, pour eux seuls, le sigle FLN-ALN. Normalement, ce sigle est devenu un symbole national et un héritage indivis du peuple algérien, à mon humble avis. Nous le conserverons dans nos cœurs, dans notre culture nationale et dans notre Histoire, afin de le transmettre, entier, aux générations montantes, sans l’abandonner ni dans un musée, ni dans un panthéon, ni dans un makam echchahid. Mais, hélas, une poignée de dirigeants de la lutte de libération nationale, prenant la grosse tête, probablement sous l’effet enivrant de la maladie de la « bleuite », avaient décidé violemment du contraire. Ainsi, son appropriation-expropriation a été donc perpétrée, aux dépens, à la fois, des véritables dirigeants et penseurs de l’idéologie de la Révolution populaire, des Algériens en général qui avaient consenti de payer le prix fort, des autres militants et sympathisants qui avaient sacrifié leurs biens ou leur vie, et, enfin aux dépens d’autres dirigeants du FLN-ALN marginalisés sinon froidement assassinés. Puis, perfidement, ces égoïstes usurpateurs dissocièrent et « divorcèrent » le couple FLN-ALN. Ils ne changèrent pas de nom à la partie FLN, mais la privatisèrent. Ils la confisquèrent, indument et violemment, comme butin de guerre et titre prestigieux, pour nommer et illustrer leur nouveau et petit parti unique ; petit idéologiquement parlant. Mais, paradoxalement, ils changèrent rapidement la partie ALN en ANP (Armée de libération nationale, en Armée nationale populaire), trahissant, ainsi, un plan diabolique qui divisera et soumettra le valeureux peuple, tellement épuisé par la terrible guerre de libération nationale qu’il répétait machinalement le perfide slogan « Sebâa snine, Barakat ! », « sept années de guerre, c’est assez ! », acceptant l’abdication de sa souveraineté en faveur de ces nouveaux maîtres usurpateurs.. Ce plan se dévoilera, plus tard, similaire à d’autres aussi antipatriotiques, de fabrication made in les officines secrètes franco-algériennes de la police politique. Ces dirigeants de l’état-major militaire des frontières, aidés par quelques responsables armés et politiques de l’intérieur, consentants ou induits en erreur, avaient pris position contre la Plate-forme du Congrès de la Soummam du 20 août 1956. Ensuite, ils s’étaient réjouis de l’assassinat de ABANE Ramdane, en décembre 1957, juste après le premier anniversaire de ce Congrès tenu, hors d’Algérie, au Caire, sous l’œil « bien complice » du colonel Jamal ABDENACER. Alors qu’à la même période, Larbi BENMHIDI était étranglé, en prison, par les mains du criminel Paul AUSSARESSES, général de l’armée française d’occupation et tortionnaire non repenti. Ils avaient pris ensuite des mesures de rétorsion contre les responsables moudjahidines de l’intérieur, des wilaya 2, 3 et 4, qui avaient soutenu le GPRA, (Gouvernement provisoire de la république algérienne), ainsi que je l’avais vécu personnellement à Constantine : le chef « terroriste », dénommé B.K., de la ville où nous étions tous considérés comme « terroristes » par l’ennemi colonialiste, y avait été assassiné vers la mi-juillet 1962, sur ordre de l’état-major, par des djounoud de la wilaya 1, commandée par le colonel Z.T., lesquels avaient envahi la capitale de l’Est, aidés par leurs complices de la wilaya 2, notamment par le commandant A.B. qui m’avoua avoir été induit en erreur par la désinformation et la manipulation menaçante des agents de cet état-major-là. Evidemment, ce Congrès du Caire alla, hélas, contre les résolutions de la Soummam, et notamment, contre « la primauté du politique » et « la primauté de l’intérieur », d’essence moderne, civilisée et logique. Ces dirigeants putschistes contre le GPRA, ont pris ensuite la maladive décision, aussi abusive que déloyale, d’exclure le peuple algérien de la scène politique et de l’empêcher d’exercer, librement et souverainement, la pratique de la démocratie. Par le truchement de leur parti unique et leur bureau politique, de triste mémoire, ces violents putschistes avaient mis des œillères, aux Algériennes et Algériens. Leur but était de faire en sorte que ces œillères devaient orienter la pensée citoyenne vers leur seule direction, et en faveur de leurs, rhétorique infantilisante et diktats mensongers, trompeurs, corrupteurs et diviseurs. Ces œillères, tel un prisme déformant, devaient également falsifier la réalité de l’histoire contemporaine de l’Algérie. C’est pourquoi ils avaient diaboliquement enfermé, nos concitoyennes et concitoyens, dans un parti unique, dit du FLN, plus d’un quart de siècle durant, (juillet 1962-octobre 1988), 26 ans et 3 mois plus précisément. Traitant ainsi, le valeureux peuple algérien, comme un troupeau de veaux ou de moutons qu’on immole ou nourrit, selon l’envie du moment de ces putschistes avides de pouvoir, boulimiques, cupides, et moralement et intellectuellement malhonnêtes. Chercher à comprendre le morbide comportement de ces incorrigibles putschistes, m’amène à diagnostiquer qu’ils étaient psychanalytiquement atteints de la très redoutable, car incurable, maladie contagieuse de la « bleuite », sécrétée par la sournoise guerre psychologique du capitaine Alain LEGER de l’armée coloniale française. Malgré leur exhortation au droit chemin, maintes fois répétée, par d’autres dirigeants honnêtes, compétents et authentiques révolutionnaires de l’opposition politique, dont je citerais, entre autres, les présidents, de 1963, du PRS, (M.B.) et du FFS, (H.A.A.) respectivement, nos putschistes professionnels s’acharnaient à empêcher le pluralisme politique et la démocratie authentique en Algérie. Empêchant ainsi, chaque fois, les Algériennes et Algériens de choisir et d’élire, librement et souverainement, la couleur politique qui leur convienne pour les gouverner et les représenter dignement. L’imposture des dirigeants putschistes ne respectait ni morale, ni bon sens commun, ni limite décente. Elle s’ingéniait à tenter de soudoyer le peuple, la plèbe, afin qu’il doive fermer les yeux, à la fois, sur leur confiscation du sigle FLN, d’une part, et d’autre part, sur la récupération, à leur seul bénéfice, de la gloire de la victoire populaire contre le colonialisme français, et aussi sur leur spoliation et leur confiscation, par la terreur, de la souveraineté des Algériennes et Algériens, sous les perfides slogans « sebâ sinine barakat », ( 7 ans de guerre, ça suffit !) et, enfin, faire fermer également les yeux des citoyennes et citoyens, sur la transformation du 1er novembre 54 et de la Révolution populaire algérienne, en une espèce de « fond de commerce » à leur profit égoïste. Cette imposture, à l’échelle nationale et internationale, visait à briser les ressorts politiques et sainement révolutionnaires du valeureux peuple algérien, afin de l’offrir, avec ses richesses humaines et matérielles, les mains et pieds liés, aux prédateurs de la mondialisation et à la néo-colonisation nationale et internationale. Sachant que la véritable puissance d’une nation, ne réside pas dans l’énormité de la force de répression de l’appareil de l’Etat, mais plutôt dans la prééminence de la valeur civique et du poids du bulletin de vote de chaque citoyenne et citoyen, par rapport au fusil, au sabre, au bâton ou à la mahchoucha des tyrans au pouvoir de l’Etat ou d’ailleurs. Mais l’imposture et la prédation néo-impérialistes laissent tomber leurs masques avec le temps, même si elles continuent à faire semblant de défendre le droit des peuples à l’autodétermination, à la démocratie et à la modernité. Alors qu’en réalité, elles montent ces peuples les uns contres les autres, en les bombardant, en les armant de moyens de guerres sophistiqués et destructeurs, ou en les poussant à l’exil, à la harga, à la fuite des cerveaux, à la violence terroriste et contre-terroriste locale mondialisée, aux tortionnaires généraux DAF et leurs élèves, au suicide individuel ou collectif, etc. Une mesure, non moins diabolique et aussi maladive que corruptrice, a été prise, « en faveur » des « anciens moudjahidines », c’est-à-dire la fameuse « famille révolutionnaire », à travers le subterfuge de la fumeuse « Attestation communale ». J’ai refusé de me faire établir cette Attestation, car je considère, personnellement, qu’elle ne constitue qu’un appât pour camoufler la 1ère corruption officielle de la RADP. Par son caractère clientéliste, népotique et cupide, cette Attestation immorale se distingue de la régulière et équitable « Pension de guerre », légitimement et légalement décernée aux blessé(e)s de guerre dans les Etats de droit, démocratiques et sociaux. Toutes les Algériennes, tous les Algériens et les non- algériens qui avaient risqué et exposé leur vie, sans porter d’armement de guerre, ni être inscrits dans les registres des militants du FLN-ALN, pour libérer l’Algérie, ont autant de mérite que ces « familles révolutionnaires » et leur ridicule « légitimité révolutionnaire ». La nation, libérée, leur doit la même reconnaissance. Car, si chaque âme du million et demi de chouhada appartenait à une cellule familiale de 6 personnes en moyenne, le simple calcul arithmétique nous permet de confirmer que, 1,5 millions multiplié par 6, égale les 9 millions qui composaient l’ensemble de la population algérienne au 1er novembre 1954. Ainsi donc, la quasi-totalité de la population indépendantiste avait pris part au succès de la guerre de libération de l’Algérie, et, surtout sans armes pour se défendre individuellement, et souvent en s’exposant aux soldats français, d’une façon courageuse et téméraire, afin de mieux protéger, nourrir ou soigner les sœurs ou les frères, moudjahidate ou moudjahidine, armés ou non, encartés ou non. Cependant, le second président putschiste de la RADP, ( B.M. dit H.B.) prétendait cyniquement, to go, dans un discours télévisé publiquement, que « c’était lui et les siens qui nous avaient apporté l’istiklal ! ». Alors qu’un jour, il avait invité à un festin au siège de la présidence, les historiens algériens, pour leur intimer, diplomatiquement et hypocritement, l’ordre « d’arranger » l’écriture de l’histoire récente de l’Algérie, sous prétexte d’éviter et de prévenir d’éventuels troubles de l’ordre public. L’historien Mahfoud KADDACHE, rahimahou Allah, me révéla ce secret qu’il ne pouvait plus garder pour lui seul. D’où, me semble-t-il, un indice de ce qui pourrait contribuer à dévoiler les causes de l’embellissement, de la mystification, de l’imprécision et de la déformation de notre histoire contemporaine dans les livres scolaires de nos enfants. Nul régime militaire ou civil n’a le droit d’entraver, au nom des valeurs universelles, la libre auto-organisation et la transparente et loyale autodétermination des concitoyennes et concitoyens, et encore moins, de dépolitiser ces Algériennes et Algériens, en diabolisant le politique, et en falsifiant l’histoire de notre révolution populaire ainsi que celle de nos ancêtres les Amazyghes et de notre patrie, l’Algérie. 2°- En 1985, le 1er novembre était invoqué par les 2, encore en vie, dirigeants et guides réconciliés de la Révolution algérienne, Hocine AÏT AHMED, président du FFS, et Ahmed BEN BELLA, ex-président de la RADP, et président du MDA. En tant qu’opposants au système de pouvoir en place, ils avaient animé une conférence de presse historique, à Londres, le 16 décembre 1985. Cette conférence, pleine d’enseignement confirmant la vérité historique, introuvable dans nos manuels scolaires, est enregistrée, visible et audible, sur internet, You Tube, sous le titre : « London 16.12.1985 FFS MDA Aït Ahmed Ben Bella ». Cette vidéo est très édifiante, à mon sens, et à plus d’un titre. 3°- En 1992, le 1er novembre était évoqué dans la rhétorique officielle pour galvaniser des pans de la population. La diabolique machine à propagande infantilisante et mensongère de la RADP, était lancée à fond pour dépolitiser le peuple et lui faire oublier ou lui ravir son rôle souverain d’arbitre et de contrôleur de son propre destin dans les scrutins non pipés d’avance, et le suffrage universel non perverti par la scélératesse des lois électorales éthiquement récusables à ce titre. Evoquant le 1er novembre 54, le Système du pouvoir allait ainsi tenter de donner le coup de grâce, aux véritables démocrates algériens, sous prétexte du « péril islamiste national ». Ce concept occidental péjoratif qualifiant certains musulmans d’« islamistes », s’est transmis, à l’instar de la maladie acquise et non congénitale, de « la bleuite » évoquée plus haut. Cette maladie du conditionnement subjectif pour obtenir, scientifiquement, le consentement réflexe, a atteint les mentalités d’autres intégristes, républicains, démocrates, laïcs, athés ou même croyants, à travers le monde globalisé. Le chrétien qui crée un parti politique basé sur la religion chrétienne, comme le parti CDU de la chancelière allemande, par exemple, est admis par tout le monde. Tandis que le musulman qui fonde son parti sur la religion musulmane, dans un pays musulman, est condamné « d’islamiste » par l’Occident autant que par des républicains et démocrates indigènes locaux qui se comportent comme des perroquets !?. Pour des raisons d’Etats, des Etats prédateurs et fabricants d’armements de guerre et leurs complices musulmans, cherchent à pousser violemment à bout, leur victime « islamiste » au point de lui faire renier tout ce qui, en elle, exprime l’humain. Et dans cette situation, elle devient condamnable pour sa violence réactionnelle, tout en étant, me semble-t-il, victime de l’Etat qui l’a préalablement provoquée, excitée et entrainée dans la spirale de la violence-contre-violence. D’où la pertinente et légitime question : qui tue qui ?. C’est dans cette ambiance de mise en scène universelle, où les truanderies nationales et étrangères, soucieuses de leurs fabuleux intérêts privés, se liguent contre les intérêts des peuples des pays sous-développés, riches en matières premières, ou habitant des sites géostratégiques. C’est dans cette même ambiance que le scrutin des élections législatives du 26 décembre 1991 commença son 1er tour en Algérie. Ce scrutin inaugurait les 1ères législatives pluralistes en RADP. Il s’est caractérisé par la défaite du parti, dit du FLN, repoussé à la 3ème place, derrière le FFS en 2ème place et le Front islamique du salut, (FIS), loin en tête, au 1er tour. Mais, le 2ème tour ne permettra pas au peuple de rectifier ou de confirmer souverainement, librement et pacifiquement, son choix, puisqu’il a été empêché et interdit par l’intervention violente des généraux de l’armée nationale populaire qui « auraient obéi » à des pressions supranationales pour réprimer, aisément dans le sang, les pressions indigènes. L’interruption de la poursuite de ce scrutin, n’est autre qu’un coup d’état militaire contre le processus démocratique électoral de janvier 1992. Il m’avait surpris et déçu. Car rien de sérieux ne pouvait justifier une telle interruption arbitraire qui avait permis au Système mafieux du pouvoir de la RADP, de satisfaire les exigences néocolonialistes des menaçantes Puissances prédatrices occidentales, et d’imposer la primauté du militaire sur le politique, c’est-à-dire répéter le coup de force contre la Plate-forme du Congrès de la Soummam. Une certaine cohérence de cette machiavélique agression contre la démocratie et contre la Nation algérienne, trahit, en réalité, ses décideurs à travers l’omerta de leurs complices Etats étrangers. Connus maintenant, car dévoilés par le temps qui, inexorablement, fait tomber les masques, ces tristes décideurs et criminels encore impunis, sont passés maîtres dans la fabrique scientifique du consentement, auprès des généraux des armées des pays du tiers-monde et des intégristes de tous bords, ainsi que dans la manipulation des différentes formes de terrorisme. Ainsi, bloquer injustement le choix souverain du peuple algérien, constitue un inadmissible acte terroriste de provocation, de hogra aux conséquences extrêmement dangereuses que matérialiseront les deux cent mille morts (200.000) ainsi que les milliers de blessés, torturés et disparus durant cette décennie-là. Un tel acte aventurier est donc pire que la peur fondée, pernicieusement, sur le fallacieux procès d’intention qui a été fait autour de l’éventualité d’une Chambre de députés dominée « dangereusement » par les « islamistes » du FIS. Fallacieux procès et imaginaire danger, car, le 3ème président de la République (C.B.) avait, constitutionnellement, le droit de dissoudre, pacifiquement et démocratiquement, cette Chambre, en cas de menace réelle et vitale pour la Nation algérienne. Mais, le Système mafieux et immoral au pouvoir de la RADP, avait préféré exécuter les ordres, émanant au juste, de je ne sais où avec précision. Il poussa ce 3ème président vers la démission, puis la sortie, à l’ombre de l’interruption, non moins musclée et terrorisante, injuste et injustifiée, de cette initiale dynamique démocratique et pacifique laquelle inaugurait le pluralisme politique en Algérie, conformément à la Constitution nationale amendée en 1989. Le peuple algérien n’a pas le gouvernement qu’il mérite, mais celui que lui impose le néolibéralisme sauvage des prédateurs Etats capitalistes. Le décollage de notre peuple vers la démocratie, est ainsi bloqué au sol par un virus qui a infesté les rouages et structures de l’Etat RADP. Le seul remède réside dans le changement radical de cette RADP, par la « Deuxième république algérienne » répondant à un « Etat démocratique et social, dans le cadre des valeurs de l’islam » conformément au deuxième point de l’Appel du 1er novembre 54, avec ou sans la bénédiction des décideurs nationaux et supranationaux. Hocine AÏT AHMED, en politicien, alerte, lucide, fin et compétent, avait entrepris une démarche apaisante, aussitôt après la proclamation officielle des résultats du 1er tour, auprès du ministre de la Défense nationale, afin que ce dernier n’ordonne pas à l’armée d’intervenir. Cela, afin de permettre le déroulement normal de cette action politique, pacifique, démocratique et éminemment civile. Ce général et ministre de la Défense avait promis de ne pas faire intervenir ses soldats, mais il n’avait pas tenu sa promesse. En effet, ce général, ministre de la Défense en 1992, devenu général-major ex-ministre en retraite, reconnaîtra, en juillet 2002, la véracité des faits rapportés, devant la 17ème chambre correctionnelle du tribunal de grande instance de Paris. Lors du procès qu’il y avait intenté contre l’auteur du livre, « La sale guerre », Habib SOUAÏDIA, il répondait aux questions de Hocine AÏT AHMED qui s’était courageusement constitué témoin en faveur de l’accusé SOUAÏDIA. Il avait avoué qu’il avait effectivement ordonné l’intervention violente de l’armée, et trahit la promesse qu’il avait faite en janvier 1992. Il prétexta qu’il s’était trouvé sous l’effet de pressions qu’il subissait de toutes parts. Mais il n’avait jamais songé à la démission pour rester fidèle à la parole d’honneur donnée par un officier supérieur et responsable au sommet de l’Etat, ainsi que le lui rappelait le témoin. Pour essayer de se tirer de ce pénible et déshonorant interrogatoire public, en pleine salle d’audiences d’un tribunal étranger, le général-major, ex-ministre de la Défense du gouvernement algérien, tendit sa main vers le témoin implacable, en murmurant, « samahat, samahat, elli fat mat », c’est-à-dire, « pardon, pardon, ce qui est passé est mort ». Le témoin lui répondit calmement : « Je ne peux pas vous toucher la main, car entre vous et moi, il y a un fleuve de sang algérien ». En effet, les désastreuses conséquences du coup de force militaire contre le processus démocratique électoral, s’étaient soldées par la chasse à l’homme, et ce n’est pas encore fini : plus de deux cents mille (200.000) morts algériens assassinés par des Algériens, des milliers de disparitions forcées et autant de blessés à vie, avaient inauguré la naissance du « terrorisme » et le « crime contre l’humanité » en Algérie indépendante. Ces deux monstrueuses « naissances » dont avait accouché la RADP, n’avaient même pas entrainé la démission du gouvernement ! Bien au contraire, les généraux coupables, avaient gagné des grades. Tandis que la justice aux ordres se déshonorait en entérinant la loi sur l’injuste et auto-amnistiante « Charte pour la paix et la réconciliation nationale ». Loi pondue par une ordonnance présidentielle et plébiscitée par un électorat profondément dépolitisé, psychologiquement conditionné et efficacement manipulé par la double action de la désinformation et de la puissante propagande officielle, nationales et occidentales. Les dispositions scélérates de la loi électorale 1997, (art. 88) devenu (art. 151 et 168) dans la loi amendée en 2012, garantissent le succès du plébiscite référendaire, comme les résultats de tous les autres scrutins, en faveur du choix du pouvoir Exécutif. Alors qu’un terrorisme « résiduel » est entretenu, contrôlé et fixé comme un « abcès de fixation », dans la région de la Kabylie principalement, et au Sahara, accessoirement. Toute cette défaillante politique de violence antipatriotique durable, apparait comme une aventureuse et sauvage entreprise concertée qui trace la voie à l’implantation, chez nous, des néo-impérialistes. Celle-ci est certainement conçue par un maléfique « brain trust » néo-impérialiste mondial et exécutée, contre leurs peuples respectifs, par les cervelles des dirigeants autochtones véreux, qui s’acharnent à imposer « la primauté du militaire sur le politique civil » et à appliquer les résolutions contraires à la Plate-forme de la Soummam du 20 août 1956 , pour satisfaire les menaçants faucons qui orchestrent les néo-impérialismes. Il y en existe bien, pourtant, quelques initiés gendarmes du monde et pompiers-pyromanes qui nous ont fait assister à leurs agressions caractérisées, injustes et inéquitables, menées par leurs faucons, barbouzes, soldats et quelques révoltés autochtones, sinon par des généraux, formatés et atteints par le virus de la « bleuite », de l’armée régulière autochtone, contre les peuples d’Afrique, d’Orient, d’Amérique latine, d’Asie, etc. Si en 1992, le FLN avait subi un cinglant vote-sanction, bien mérité, ce vote visait, en réalité, mais sans l’atteindre, le mafieux pouvoir militaro-financier de la RADP, lequel se pérennisait, sous la couverture politique de ce petit parti, petit idéologiquement parlant, et ses succédanés satellites de partis et associations rentières « mange-tout ». Sachant que le FLN servait toujours de couverture politique au pouvoir formel militaro-civil lequel est indument dominé, comme chacun savait, par le pouvoir informel des services secrets algériens qui sont inféodés aux services étrangers des puissances prédatrices. Pour la première fois dans l’histoire de l’Algérie indépendante, le FLN a été démocratiquement battu, aux inaugurales élections législatives pluralistes, malgré la fraude électorale légalisée par la loi électorale (article 88 de la loi électorale de 1997, devenu articles 151 et 168 en 2012). Ce qui prouve, irréfutablement, que le peuple algérien n’est guère si dépolitisé que ça, malgré son matraquage par les propagandes et actions officielles dépolitisantes de la RADP ! Ainsi, l’évocation du 1er novembre n’était qu’une tromperie de la part du Système au pouvoir de l’Etat, visant à embellir la vérité, donc à la tuer, car selon Jean Rostand, « La vérité est la seule chose qui meurt, dès qu’on l’embellit ». 4°- Entre les législatives de 1997 et la présidentielle de 1999, le parti RND, « né avec sa moustache », était cloné, pour venir à la rescousse de sa cellule-mère, le FLN, affaibli, comme on vient de le lire, par le cinglant échec électoral des législatives de 1992, dans un tour de passe-passe, caractérisé par une fraude électorale massive qui avait nécessité une enquête parlementaire dont le rapport n’a jamais été divulgué. Le 1er novembre avait été invoqué ici, en 1997, comme en 1999 lorsque la fraude électorale préconçue légalement, avait provoqué le retrait des six crédibles candidats à la présidentielle, en abandonnant la partie injouable, à l’imperturbable candidat de l’Armée qui l’avait chargé de mission, semble-t-il. 5°- Le 30 octobre 2004, le FFS célébrait le cinquantenaire du 1er novembre 1954, en organisant, à Aïn Béniane, Alger, une table-ronde réunissant Hocine AÏT AHMED, Abdelhamid MEHRI et Mouloud HAMROUCHE. Le thème était : cinquante ans après, que reste-t-il des rêves de liberté, de progrès et de justice, qui furent à l’origine de la formidable aspiration de novembre 1954 ? Comment esquisser une dynamique de changement ? -Mouloud HAMROUCHE : « Nous sommes réunis, aujourd’hui, parce que nous n’avons pas notre liberté. Au lendemain de l’indépendance, les Algériens, au lieu d’un Etat, ont eu un pouvoir. Nous avons hérité des lois d’exception et des pratiques de l’Ordre colonial ». -Abdelhamid MEHRI : « Peu d’Algériens pensent, aujourd’hui, que cet Etat est le leur, (RADP sous entendu). Nous devons retenir les leçons du passé, non pas pour juger des individus, mais pour engager une autre alternative. Il faut libérer l’Histoire de tous les verrous et dire la vérité de ce pays ». -Hocine AÏT AHMED : « Renouer avec les idéaux de novembre, c’est soustraire, notre pays et le Maghreb, à une instabilité permanente nourrie par l’absence de volonté réelle de réduire les tensions régionales qui empêchent tout processus d’intégration… La glorification de l’action militaire, le refus du politique et son remplacement par des manifestations de toutes sortes, la méfiance à l’égard de la population et sa gestion par une propagande infantilisante et une répression brutale, sont le fil conducteur des dirigeants algériens. C’est dans ce sens qu’ils ont réécrit et dénaturé le message de novembre. Si, au bout de sept années d’une terrible guerre, l’Etat algérien s’est doté des attributs de la souveraineté, le droit du peuple algérien à l’autodétermination fut, d’emblée, bafoué par ceux qui venaient d’accaparer le pouvoir, en empêchant l’Assemblée Constituante de doter l’Etat d’institutions légitimes…La démocratie demeure, en Algérie, bien plus qu’un choix de société, la seule façon de dépasser nos archaïsmes et la propension, de bien des élites, à préférer les situations de rente aux risques inhérents au combat contre la dictature. Il en est résulté le règne du clientélisme, du népotisme, d’une prédation à ciel ouvert, des fraudes électorales, de la répression et des crimes d’Etat….Le régime algérien ne cherche, auprès de l’extérieur, en général, et de la France, en particulier, qu’une légitimité et un soutien qu’il ne prend, même plus la peine, de solliciter auprès de son peuple. Aujourd’hui, les partenaires étrangers se disputent les faveurs d’Alger, hydrocarbures, géopolitique et « stabilité retrouvée », obligent ». Tout a été dit. Les diagnostics, positif, différentiel et étiologique, sont ainsi établis, et la thérapeutique proposée. Mais le Système de pouvoir demeure autiste, réfractaire à tous les remèdes indiqués, et s’acharne à maintenir le pourrissement de la crise, peut-être jusqu’au futur « printemps algérien » qui empruntera, je le souhaite vivement, la « voie de la primauté de la construction du politique » du FFS , laquelle passe démocratiquement par la voie pacifique, citoyenne, civile populaire et non militaire. 6°- A l’occasion des législatives du 10 mai 2012, le chef de l’Etat, président d’honneur du parti, dit du FLN, de 1962, avait d’abord évoqué le 1er novembre 54, dans son discours du 24 février, jour de commémoration de 2 anniversaires, de l’UGTA et de la nationalisation des hydrocarbures, respectivement. Comme chacun sait, cette nationalisation, légalisée par l’ordonnance présidentielle de février 1971, accordait 51 % à l’Algérie, à travers Sonatrach, afin de sauvegarder la souveraineté décisionnelle économique et commerciale. Mais, on sait aussi que le chef de l’Etat avait signé, en 2005, une première ordonnance pour amender l’ordonnance de 1971. Ce premier amendement diminua la part de Sonatrach à seulement 33 %, face aux autres sociétés étrangères. Puis, suite aux protestations et interrogations de concitoyens, au sujet de cet amendement et de la diminution de la part qui revient à l’Algérie, le chef de l’Etat avait signé une 2ème ordonnance pour amender sa précédente, après quelques jours seulement. Cette scabreuse opération d’amendement et de contre-amendement d’ordonnances présidentielles, dévoilera, tôt ou tard, ses secrets certainement contraires aux intérêts de l’Algérie. L’évocation du 1er novembre n’a pas fait défaut, et fut au rendez-vous, comme auparavant, dans les deux discours du 8 et du 15 mars, que le chef de l’Etat a adressés respectivement aux femmes algériennes à l’occasion de la journée mondiale de la femme, et à l’Organisation nationale des moudjahidines réunis au 11ème congrès. Il me semble, qu’en l’occurrence, c’est-à-dire, qu’à l’occasion des législatives du 10 mai 2012, il aurait été plus pertinent, plus intellectuellement honnête et moins ambigüe, d’invoquer le référendum d’autodétermination du 1er juillet 1962, au lieu et place du 1er novembre 1954. Car, ce scrutin référendaire consacrait le libre choix, exercé souverainement par le peuple algérien, en faveur de la liberté et de l’indépendance, « el hourriya wa el istiklal », arrachées de haute lutte populaire d’une part, et, d’autre part, le rejet du régime oppresseur d’où qu’il vienne, par la rupture primordiale avec le régime colonial plus que centenaire, en 1962. Mais ce scrutin diffère de celui du 10 mai prochain, car la loi organique relative au régime électoral de 2012, dans le cadre de laquelle se déroule ce dernier scrutin, place le pouvoir Exécutif dans le rôle récusable de juge et partie. Ce qui lui permettra d’évaluer, en dernier ressort et sous aucun contrôle, les résultats de la compétition électorale, ou d’en fixer les quotas qui lui conviennent, à travers les magistrats arbitres et superviseurs qu’il avait cooptés et désignés, conformément aux articles 151 et 168. « Ellaâb hmida, errechème hmida, fi dar hmida, fi dawlett hmida », dit l’adage populaire qui justifie la grande ampleur du boycott à l’échelle nationale. La rupture avec le Système despotique et arbitraire de la RADP, cinquantenaire, le 10 mai 2012, n’entrainera pas plus, sinon moins, de dégâts que n’avait entrainés la première rupture avec le Système colonialiste en 1962. Bien au contraire, me semble-t-il, la rupture qui naitra en 2012, consacrerait, si le peuple veut bien suivre le guide FFS pour concrétiser l’alternative politique, démocratique et pacifique, le changement tant réclamé par la société algérienne marginalisée. Cette rupture permettra, également, le retour au pays, pour s’y épanouir avec leurs familles, de nos enfants contrains à l’exil par la catastrophique et gaspilleuse gouvernance de la RADP. Au lieu de fournir à nos enfants contrains à l’exil par cette catastrophique, stérilisante et gaspilleuse gouvernance de la RADP, et à la génération montante, les conditions et opportunités favorables à leur épanouissement dans leur patrie sainement gouvernée, d’une manière concrète et pas seulement dans les discours démagogiques et les promesses mensongères, le chef de l’Etat accusait, injustement, ces jeunes cerveaux, de fuir l’Algérie « pour une poignée de dollars », dans un discours arrogant, jouisseur, méprisant et indignant. Par ailleurs, la justice, spoliée de son indépendance, condamne abusivement à des peines pécuniaires et d’emprisonnement, les Harraga que cette chaotique et incompétente gouvernance a poussé à l’extrême, c’est-à-dire à l’écœurement et au renoncement à tout ce que la personne aimerait faire de son propre destin, librement, et tout naturellement. Le Système de pouvoir des tenants de la RADP, a fait reculer le développement de l’Algérie de plusieurs siècles, au vu de son classement international à la traine des pays qu’elle dépassait ou aurait dû dépasser. « Derrière la guerre au terrorisme et derrière l’alibi du néo-libéralisme économique, le pays a été renvoyé plusieurs siècles en arrière. Et je n’exagère rien ! », s’indignait judicieusement, ce 2 mars 2012, Hocine AÏT AHMED, président du FFS. Je me souviens, en effet, pendant la guerre de libération nationale, nous discutions entre patriotes étudiants universitaires de la Faculté d’Alger, et estimions qu’une fois l’indépendance arrachée, nous aurions rassemblé les moyens humains, matériels, scientifiques et éthiques, qui permettraient à l’Algérie libre et indépendante, de dépasser l’Espagne de l’époque. Mais, hélas, le tsunami de la violence de la politique d’exclusion sélective et des successifs coups d’Etats militaires, pour accéder ou se maintenir au pouvoir, replongea notre patrie dans la néo-colonisation et la régression féconde actuelle. Il est opportun de clamer et de réussir, aujourd’hui, tous ensemble, « khamsine snâ hogra, Barrakat ! », « un demi siècle de dictature et de despotes jouisseurs, ça suffit !). C)- CONCLUSION Le 1er novembre 1954 est une référence incontournable de gloire et de sacrifice du peuple algérien, à la fois, évoqué ou invoqué, selon les circonstances, à maintes occasions, souvent contradictoires. Hocine AÏT AHMED disait, à la Conférence nationale de l’audit du FFS, réunie les 21 et 22 juin 2007 : « Traduire l’abstention du 17 mai 2007, en Programme politique…N’oublions pas ! Paradoxe des paradoxes ! Le seul vote libre et non falsifié, fut le référendum du 2 juillet 1962 qui proclama le droit des Algériens et Algériennes à l’autodétermination et à l’indépendance ». A nom du 1er novembre, plus que cinquantenaire, j’adjure et exhorte, humblement, les décideurs, militaires et civils, hommes et femmes, qui ont brisé nos rêves patriotiques, violé les principes, valeurs et éthique de l’admirable Révolution du peuple algérien, à ce qu’ils invoquent et n’entravent plus, pour longtemps, en ce 10 mai 2012, la réédition de la réussite du Référendum du 1er juillet 1962, pour l’autodétermination du peuple algérien. Sachant lucidement que les dispositions scélérates des articles 151 et 168 de la loi électorale 2012, sont en faveur du statu quo, elles autorisent légalement, l’Exécutif juge et partie, arbitre, superviseur et dernier recours, à travers les magistrats qu’il avait désignés, à décider des quotas humiliants afin d’humilier et d’étouffer les partis d’opposition aptes à réussir le vrai changement autre que l’habituel « changement dans la continuité clanique ». Par exemple, l’humiliation du FFS et de son charismatique président en concédant quelques sièges sur les 462 de la chambre des députés. Mais le FFS l’avait prévenu dans sa « participation tactique ». Vive l’Algérie unie, libre, démocratique, sous la nouvelle gouvernance juste, paisible et sociale, des vrais patriotes révolutionnaires, honnêtes et désintéressés, dont Hocine AÏT AHMED ! المجد و الخلود لشهائدنا الابرار
Posted on: Fri, 01 Nov 2013 08:20:42 +0000

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