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sbihi/history.htm Bienvenue au site de la famille Sbihi sbihi S. E. Sobeïhi Pacha de Salé Le pacha de Salé appartient à une famille arabe dorigine bien déterminée par Ibn-Khaldoun lui-même. Les Sobeïhi étaient des Soueïd, fraction de le famille Ibn Malec, tribu Zorhba, groups des Bni-Hilal-ibn-Amer ibn Zorhba, arabes moderites qui, avec leurs alliés les Oulad-Soleïm-ibn-Mançour envahirent, vers leur milieu du 16ième siècle de notre ère la corne de lIfrikïa, puis aux Maghreb. Le berceau originel des Ahl Sobeïhi est le massif de Rhaduane, prés de Thaïf, dans le Hedjaz, au sud-est de la Mecque. Ayant quitté leur pays ils nomadisaient pour un temps dans le Beïram ( Bahreine), dans l’Oman, puis aux environs de Bagdad. Ils durent ensuite passer l’isthme de Suez pour camper en pays Saïd ( Sa3id Misr ou lEgypte) dans la Valée du Nil. De là, prenant rang parmi leur frères hilaliens, lancés par le Khalife El Mostancer-Billah-el-Mâ dd contre Moë zz-ibn-Badis il y pénétrèrent pour, ensuite gagner le Maghreb-el-Adna, puis, vers la fui de la même corne, ils s’insinuèrent en Maghreb-el-Akça, lentement comme Mais citrons Ibn-Khaldoun: Parmi les nomade-Soueïd on rencontre une peuplade de pasteurs appelée [Oulad] Sobeïhi. Elle tire son origine de Sobeïhi ibn Aïladj ibn Malec ibn Zorhba (( Les Sobeïhi étaient des Soueïd(Sa3id), fraction de la famille Ibn Malec, tribu Zorhba, groups des Bni-Hilal-ibn-Amer ibn Zorhba, arabes moderites)) et se fait respecter par son nombre et par sa puissance. Quand les nomades de la tribu de Soueïd (( Souleim, dont les Zoughba, sont une fraction (membre de cette tribu)), se mettent en marche elle les accompagne et elle s’arrête avec eux aux mêmes lieux de station; ensuite c’est à elle qu’il combe la responsabilité des nombreux troupeaux de chameaux de la tribu. El Hassan l’aïeul de cette maison, suit, au temps des Mérinides transformer cette change en seigneurie pastorale. En effet, quand Abd Allah Ibn Gandouz, El Koumi - chef des Koumïa tribu de l’émir almohade Abdelmoumène - se disposant à rentrer en pays Zenète - quitta Tunis pour le Maghreb-Extrême, il demanda asile au sultan Mérinide Abou-Youssef Yakoub-ibn-Abdelhakk alors à Marrakech. Ce souverain accueillit le hafcide avec une Extrême bienveillance et le comble de bonheur en lui octroyant dans le Houz, près de Tendjedat, un territoriaux fertile et suffisant à l’installation de toute la tribu dont faisaient alors partie les Oulad-Sobeïhi ayant pour chef Hassane es-Sobeïhi. En reconnaissance de ce bienfait Hassan, étant donné sa compétence en science cameline soffrit à rassembler, là tous les troupeaux éparpillés que possédait le sultan et dés lors il eut loccasion de voir souvent son nouveau souverain au sujet de ces animaux qui constituaient le plus riche cheptel du Maroc. Grâce à ces circonstances il se fit peu à peu apprécier par l’émir, néanmoins les enfants furent élevés à la Cour au milieu des grandeurs et passèrent ensuite par diverse charges tout en conservant la gestion des troupeaux du sultan. Au temps d’Ibn Khaldoun les membres de cette famille se partageaient encore le même emploi, comme un héritage, tout en remplissant plusieurs autres fonctions gouvernementales. Hassane avait un frère, Moussa, qui, lui aussi, laissa une postérité; laquelle bénéficia également des faveurs impériales. Tous deux étaient fils de Abou Saïd es Sobeïhi, Patronyme déjà adopté en Orient et qui pourrait vouloir dire d’après le Kamous:
Posted on: Tue, 12 Nov 2013 07:59:16 +0000

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