Ça suffit. L’être humain est ce qu’il est chargé de - TopicsExpress



          

Ça suffit. L’être humain est ce qu’il est chargé de pulsions que la plupart arrivent à maîtriser. Une minorité pourtant passe à l’acte et cela se termine par la violence, le viol, la mort. La société contemporaine s’est dotée d’un réflexe psycho-socialo-baba cool qui amène les plus grands criminels à être réinsérés. Bizarrement ce réflexe ne concerne que les individus isolés. Il ne viendrait à l’idée de personne de réinsérer les grands criminels économiques ou politiques, pour eux la condamnation est éternelle. Le meurtre et le viol de l’éducatrice Adeline à Genève mettent au pilori tout un système judiciaire, pénitentiaire et politique. Mais le cas n’est pas unique, Il y a de fâcheux précédents et ça traîne les pieds de partout parce que la vie d’une personne ne pèse guère face aux intérêts des juges, des psychiatres, des assistants sociaux, etc. Il y a donc des mesures à prendre. La première ce n’est pas la peine de mort mais l’émasculation pour les violeurs. Moins de testostérone égale moins de pulsions. Après on peut tenter une réinsertion. La deuxième mesure est de revoir complètement le système de la prison. La prison c’est trois mille ans d’histoire de peines de privation de liberté. Une réponse c’est le travail. Gageons que meurtriers, violeurs au boulot naturellement pénible, auraient moins tendance à recommencer et rendrait à la collectivité, en retour, le prix du trouble commis. Donc il faut revoir complètement le système des prisons une survivance millénaire obsolète. J’ai même rencontré un Africain qui m’a dit n’avoir jamais été aussi satisfait de sa vie qu’en prison : bon repas, jamais faim, télévision, salle de sport, éducation ! Chaque individu sait quand il commet un acte délictueux que la conséquence peut être une arrestation et une sanction qu’il soit peu ou très intelligent. Là est le cœur du problème pas après dans la manière de traiter le délinquant. Récemment un voleur de voiture est tué par la police du côté de Fribourg. Ces jours passés, à Nice, un bijoutier tire sur des voleurs, l’un meurt. J’entends les familles dire : on les a assassinés Ainsi donc commettre un délit sans se faire prendre c’est bravo. Se faire prendre c’est t invoquer l’enfance pénible, la vie dure à souhait, la dérive sociale due aux autres. Se faire tuer est un assassinat. ! Cette société de bonne conscience, de tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil, les geignards sociaux, ça suffit. Ça suffit. L’être humain est ce qu’il est chargé de pulsions que la plupart arrivent à maîtriser. Une minorité pourtant passe à l’acte et cela se termine par la violence, le viol, la mort. La société contemporaine s’est dotée d’un réflexe psycho-socialo-baba cool qui amène les plus grands criminels à être réinsérés. Bizarrement ce réflexe ne concerne que les individus isolés. Il ne viendrait à l’idée de personne de réinsérer les grands criminels économiques ou politiques, pour eux la condamnation est éternelle. Le meurtre et le viol de l’éducatrice Adeline à Genève mettent au pilori tout un système judiciaire, pénitentiaire et politique. Mais le cas n’est pas unique, Il y a de fâcheux précédents et ça traîne les pieds de partout parce que la vie d’une personne ne pèse guère face aux intérêts des juges, des psychiatres, des assistants sociaux, etc. Il y a donc des mesures à prendre. La première ce n’est pas la peine de mort mais l’émasculation pour les violeurs. Moins de testostérone égale moins de pulsions. Après on peut tenter une réinsertion. La deuxième mesure est de revoir complètement le système de la prison. La prison c’est trois mille ans d’histoire de peines de privation de liberté. Une réponse c’est le travail. Gageons que meurtriers, violeurs au boulot naturellement pénible, auraient moins tendance à recommencer et rendrait à la collectivité, en retour, le prix du trouble commis. Donc il faut revoir complètement le système des prisons une survivance millénaire obsolète. J’ai même rencontré un Africain qui m’a dit n’avoir jamais été aussi satisfait de sa vie qu’en prison : bon repas, jamais faim, télévision, salle de sport, éducation ! Chaque individu sait quand il commet un acte délictueux que la conséquence peut être une arrestation et une sanction qu’il soit peu ou très intelligent. Là est le cœur du problème pas après dans la manière de traiter le délinquant. Récemment un voleur de voiture est tué par la police du côté de Fribourg. Ces jours passés, à Nice, un bijoutier tire sur des voleurs, l’un meurt. J’entends les familles dire : on les a assassinés Ainsi donc commettre un délit sans se faire prendre c’est bravo. Se faire prendre c’est t invoquer l’enfance pénible, la vie dure à souhait, la dérive sociale due aux autres. Se faire tuer est un assassinat. ! Cette société de bonne conscience, de tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil, les geignards sociaux, ça suffit. Adolphe Ribordy.
Posted on: Fri, 13 Sep 2013 11:59:28 +0000

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