A l’instar de la CGSP Enseignement –Recherche qui dénonçait a l’occasion de son communiqué du 17 octobre 2013 , l’attitude pour le moins ambiguë voir hypocrite des Autorités de l’ULB qui dans un même mouvement refuse l’organisation d’un véritable débat sur la réforme de la gouvernance et qui ouvre généreusement ses auditoires aux métallos de Wallonie Bruxelles pour leurs permettre de débattre entre différents mouvements sociaux hostiles à la domination néo-libérale et à la criminalisation des « contestataires » assimilés à des terroristes . Je suis pareillement interloqué par l’attitude paradoxale du Comité du Cercle du Librex. Invité à un W.E. de réflexion , lors de la discussion relative à la problématique de la nouvelle Gouvernance de notre propre Institution préconisant le « Libre examen » ce sont des arguments d’autorités qui me furent évoqué ou des « A priori » Persuadé que cette dérive était due à la fougue du moment j’ai interpellé le 23/10/13 le Président du Cercle (avec copie à tous mes amis FB croisé lors de cette rencontre) : A Ludovic . Cher Président, Je tiens à te remercier de m’avoir permis de débattre pendant quelques heures avec les membres du Comité du Cercle du Librex à l’occasion de votre W.E. de réflexion . J’ai cependant été particulièrement surpris au moment où nous avons débattu de la nouvelle Gouvernance à L’ULB, des réactions qui ont fusées. En effet, alors que je déplorais le fait, qu’à mon sens , le cercle du librex devait participer activement à ce débat et favoriser une réelle consultation de la communauté universitaire , j’ai été rabroué .En guise de pseudo argument on m’a asséné les vérités suivantes « Les Autorités ne mentent pas et proposent des modifications dans le seul but d’améliorer le fct de L’Université » ou « Les idées du Comac sont inacceptable !» dans la foulée le positionnement des syndicats a été balayé sans aucune argumentation. Je suis profondément attristé par de telles réactions, qui n’ont à mon sens rien à voir avec les valeurs du libre examen . Je travaille depuis très longtemps au service de l’ULB et ma motivation résulte notamment de mon adhésion à ses valeurs à savoir « LA PENSEE NE DOIT JAMAIS SE SOUMETTRE, NI A UN DOGME, NI A UN PARTI, NI A UNE IDEE PRECONCUE, NI A QUOI QUE CE SOIT, SI CE N’EST AUX FAITS EUX-MÊMES, PARCE QUE, POUR ELLE, SE SOUMETTRE CE SERAIT CESSER D’ÊTRE. Comment a-t-on pu en arriver là ? J’espère avoir une réaction de ta part ainsi que de ton comité et persiste à considérer que le cercle a failli à sa mission d’infos au moment d’un chmt fondamental des statuts de l’Université du Libre Examen, en n’organisant pas un véritable débat contradictoire argumenté. Amicalement Luc A ce jour, ma missive n’a reçu aucune réponse. A la veille de la St V. je me pose la question suivante : Le Libre Examen ne serait plus que du « Facadisme » ? Contrairement à ce qui est dit dans le Clip Publicitaire des Autorités sur la « Nouvelle gouvernance ». Je prétends que pendant mes 17 années de participation au CA de l ’ULB étalées sur les dernières trente années, que ce fut le choc des idées et les débats argumenté des différentes composantes du Conseil , correctement représentées ( afin de permettre un travail efficient du Conseil) qui a permis de prendre les meilleures décisions pour l’Université et cela dans la transparence la plus complète.
Posted on: Tue, 12 Nov 2013 20:25:10 +0000
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