Article 01: La date #1. Partie 2 de 2. Mes sous-vêtements - TopicsExpress



          

Article 01: La date #1. Partie 2 de 2. Mes sous-vêtements étaient déjà choisis depuis la veille. Tout comme mes jeans et le t-shirt que j’allais porter. Et là, les filles, vous serez d’accord que choisir sa tenue vestimentaire pour une date, c’est un entraînement d’athlète olympique. Oui, mesdames, nous sommes des athlètes olympiques du «virage-de-garde-robe-à-l’envers» et du «habille-déshabille». Dur entrainement qui peut durer trop longtemps. Au final, tu n’as plus de lit, tu as les cheveux ébouriffés par la quantité de gilet qui sont passés et repassés par là. Et tu as compris avec le temps l’importance de mettre son fond de teint avant de partir. Bref, j’arrive à ce rendez-vous, dans un restaurant de la rue Cartier avec bien sûre, quelques minutes de retard vu mon entraînement olympique et je mets la faute sur le trafic (même s’il est 19h30, le chemin par où je suis passée, y’en avait encore…). Beau gars, même très (merci la vie que je sois rendue célibataire! Wouhou!). On s’installe à la table, sur laquelle il prend soin d’installer son cellulaire. Son cellulaire sonne une fois, il répond. Jase…Jase…5 minutes…7 minutes… On se fait des petits sourires pour apaiser la platitude écrasante de sa discussion avec son «dude». Ceci n’avait pas été imaginé dans l’un de mes 467 scénarios puisque mon cellulaire ne serait jamais resté dans mon auto. Il fini par raccroché. On jase. Le gars est vraiment intéressant, heureusement, il me raconte l’un de ses nombreux voyages. J’absorbe chaque mot qui sort de sa bouche pulpeuse aux allures délicieuses. 25 petites minutes plus tard, son téléphone vibre sur la table. Cette fois-ci, la conversation ne dure pas 2 minutes. Soulagement. Mais pas soulagée très longtemps. Il regarde l’heure et me dit qu’il doit aller changer sa voiture de place. J’ignore où il l’avait mis, son auto, mais pendant les 15 minutes où j’attendais devant ma bavette de bœuf, j’ai bien cru que je m’étais faite plaquer-là. Non, mais 15 minutes ! Je ne dis rien, je sourie et me dis que c’est la dernière fois que je vois ce beau gars aux manières déplacées. On sort du restaurant sous une pluie à défriser toute permanente. Et là, il met ses mains derrière ma tête, les doigts mêlés dans mes cheveux, il approche son visage du bien et m’embrasse avec ses lèvres délicieuses. Mes genoux deviennent mous tellement il joue parfaitement avec ma bouche. «Jackpot!» On se revoit le surlendemain.
Posted on: Wed, 04 Dec 2013 21:03:53 +0000

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