Avant de connaître le prochain adversaire du Sénégal dans la - TopicsExpress



          

Avant de connaître le prochain adversaire du Sénégal dans la dernière étape des éliminatoires à la Coupe du monde 2014, le président de la Fsf ne cache pas sa préférence pour la Guinée et le Maroc où les «Lions» ont déjà joué. Mais «peut-être qu’il y aura aussi d’autres pistes que nous pourrons consulter», avertit Me Augustin Senghor. En fonction de l’adversaire… «Nous attendons patiemment le tirage au sort du 16 septembre à partir duquel on se déterminera. Nous avons toujours donné une position qui est d’avoir une écoute très forte sur les choix des joueurs et de l’entraîneur, parce que ce sont eux les acteurs et qui peuvent savoir les meilleures conditions pour la compétition. Nous essayons autant que faire se peut, avec l’aval de l’autorité étatique, de valider ces options. Maintenant, il y a beaucoup de facteurs à prendre en compte. Aujourd’hui, nous avons déjà eu l’expérience de la Guinée (Conakry) et celle du Maroc avec Marrakech. Nous allons essayer d’analyser. En Guinée, on avait l’avantage du public, mais aussi plus de soucis avec la qualité de la pelouse. Au Maroc, nous avons eu une excellente infrastructure avec un terrain somptueux, de niveau mondial, mais à côté, on a vu les difficultés à mobiliser le public ainsi que les autres aspects, dont la cherté (de l’organisation). Nous pèserons le pour et le contre. Mais ça se fera aussi en fonction de l’adversaire, parce que ce sera un élément déterminant. Par exemple, si l’on doit rencontrer l’Algérie, on se verrait mal jouer au Maroc. Ce sont donc tous ces facteurs qu’il faudra analyser lucidement et ne privilégier que les choix qui seront en mesure de nous permettre d’atteindre nos objectifs qui sont d’essayer de bousculer les ténors et aller en Coupe du monde. Et pour tous ces aspects, le mieux serait d’atteindre le soir du 16 septembre. Ouvert à d’autres possibilités Les options, on les connaît. Aujourd’hui, il y a la Guinée et le Maroc qui sont les options fortes. Mais ça ne ferme pas la porte à d’autres possibilités. Peut-être qu’il y aura aussi d’autres pistes que nous pourrons consulter. Mais le délai très court entre le tirage et le prochain match fait que, très certainement, les choix se limiteront à ces deux pays, en fonction des différents paramètres à prendre en compte. Le match aller est prévu entre le 11 et le 15 octobre et le retour entre le 12 et le 17 novembre. Nous avons l’avantage de connaître ces deux contextes (Guinée et Maroc). Partir ailleurs nécessiterait d’aller négocier d’autres autorisations alors que nous avons eu la chance d’avoir déjà joué (contre l’Angola à Conakry et face à l’Ouganda à Marrakech), expérimenté l’organisation et nous avons également l’aval des deux pays qui sont amis avec le Sénégal. Réétudier l’option Casablanca Nous avions demandé à jouer à Casablanca ou a Rabat, mais c’est la Fédération marocaine (de football) qui nous avait dit que compte tenu de la situation du stade de Casablanca, il était préférable que nous jouions à Marrakech. Et que d’ailleurs, même leur équipe nationale ne joue pas à Casablanca. Mais il est clair que si nous devrions retourner au Maroc, nous essayerons d’utiliser tous les moyens, voire solliciter nos autorités sur le plan diplomatique pour que le match puisse se jouer à Casa. Il y a l’aspect du public que nous prenons en compte. Mais comme on dit en wolof, «gan du yeewi béy» (quand on est étranger, il faut savoir se limiter à ce qui est de son ressort). Tout ce que nous pouvons faire, c’est demander à la partie marocaine et malheureusement, très souvent, on est obligé de suivre leurs conditions et pas les nôtres. Mais nos relations sont telles que si nos autorités s’investissaient au plus haut niveau, nous pourrions jouer à Casablanca. Ce qui serait un plus par rapport à la mobilisation populaire.» OUSMANE DIOP PRIMES DE VICTOIRE «Nous attendons patiemment» «On nous avait promis cela pour la fin de semaine et nous attendons l’autorité et que le DAGE puisse nous confirmer. Mais puisqu’on nous avait parlé de problème de signature du décret d’avance, nous attendons patiemment, en espérant que cela se fasse rapidement. C’est le montant habituel, avec la prime de victoire qui est de 1 750 000 FCFA (par joueur)», soit un total de 40 250 000 FCFA pour les 23 «Lions», le staff de l’équipe nationale non compris. GFM
Posted on: Fri, 13 Sep 2013 00:42:41 +0000

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