Chantal Mino : Désaxée ou lumière sur la DPJ ? La DPJ pire que - TopicsExpress



          

Chantal Mino : Désaxée ou lumière sur la DPJ ? La DPJ pire que les Orphelins de Duplessis – Dixit un Orphelin lui-même »Adam Richard DÉM 2.0 La raison pour laquelle CHANTAL MINO m’a contacté était pour me faire part d’un cas en particulier qu’elle considère très urgent car l’enfant est maintenu sous contention chimique (on le bourre de psychotropes pour qu’il reste tranquille!) sans supervision médicale adéquate, et ce malgré l’avis de nombreux professionnels impliqués dans le dossier témoignant non seulement de l’inutilité d’une telle mesure, mais également son effet extrêmement néfaste pour le développement futur de l’enfant, qui vit une telle situation depuis l’age de 4 ans et qui en a maintenant 9 aujourd’hui, et pour qui on craint sérieusement pour sa vie tant physique que psychologique. On parle ici d’un enfant qui au départ n’avait qu’un simple retard de langage, retard qu’il était justement en train de rattraper à l’époque grâce à des services spécialisés. L’enfant vivait alors avec sa mère et sa grand-mère maternelle. Il s’avère que le père souffre d’un problème psychiatrique confirmé et documenté, et que celui-ci fait une sorte de projection de ses propres problèmes sur son fils, n’acceptant pas le diagnostic relativement bénin d’un retard de langage et suspectant davantage un problème qui serait plus lié à un trouble envahissant du développement (TED), dans ce cas-ci l’autisme, et ce malgré les opinions médicales contraires et les nombreuses preuves vidéos où l’enfant démontre clairement des comportements qui sont incompatibles avec un diagnostic d’autisme. Cependant, la soeur du père est médecin, et malgré qu’elle soit au courant des problèmes psychiatriques de son frère, décide tout de même de collaborer à son jeu en émettant un diagnostic d’autisme pour l’enfant en question, allant ainsi pourtant contre toutes les règles de l’éthique professionnelle, particulièrement celles concernant les conflits d’intérêts. La DPJ a ensuite assisté le père dans ses démarches pour reprendre la garde de l’enfant et ainsi le soustraire à l’environnement affectif et éducatif qui lui convenait pour le soumettre à un environnement éducatif spécialisé incompatible avec son état réel en plus de causer un traumatisme émotif causé par la séparation d’avec sa mère et sa grand-mère, traumatisme qui fut géré par voie de contention chimique. Par la suite, le père a eu un nouvel enfant avec sa nouvelle conjointe, et ne désire plus avoir la garde de l’enfant. Plutôt que de reconfier l’enfant à son milieu familial originel, d’où il n’aurait jamais du sortir d’ailleurs, il est plutôt envoyé en Centre de réadaptation en déficience intellectuelle (CRDI) alors qu’il est gavé de psychotropes qui le rendent dans un état de légume ambulant, histoire de contenir la rage et la détresse que tente d’exprimer l’enfant face à la situation intolérable qu’on lui fait subir. Imaginez-vous alors que vous étiez enfant, ne serait-ce qu’un instant, de vous retrouver avec toutes vos facultés cognitives mais en étant forcé d’évoluer dans un environnement éducatif conçu pour une clientèle lourdement handicapée mentalement, et coupé de tout lien affectif et familial significatif. Imaginez les effets que cela aurait non seulement sur votre développement cognitif, sur le frein que cela peut mettre dans la réalisation du plein potentiel d’une personne, mais surtout du malaise et de l’inconfort qui n’auront d’autre choix un jour ou l’autre que de s’exprimer à travers la colère face à une telle atteinte à son propre développement personnel, et vous commencerez à comprendre le désespoir que tente d’exprimer cet enfant à travers ses crises, crises que la DPJ à choisi de réduire au silence par une camisole de force chimique plutôt que de reconnaitre ses erreurs et agir dans le bien de l’enfant en le retournant dans son véritable milieu familial. Au contraire, la DPJ traite la mère et la grand-mère d’irresponsable à cause de leur refus de reconnaitre le faux diagnostic d’autisme. Les problèmes se poursuivent au Tribunal de la Jeunesse, où la juge s’aligne sur les positions souvent mensongères de la DPJ plutôt que de garder son impartialité, allant même jusqu’à refuser le dépôt de preuves et l’écoute de témoignages qui vont à l’encontre de la position de la DPJ. Cela a été jusqu’à la juge qui refuse de reconnaitre un diplôme issu d’une Université Québécoise afin d’empêcher Mme Mino de venir à la barre pour témoigner en tant que professionnelle. La juge alla même jusqu’à refuser de se récuser dans se dossier, repoussant inutilement sa réponse concernant cette requête au mois de mars 2013, prolongeant ainsi les procédures et retardant le secours qui doit être apporté à l’enfant, ce qui devrait pourtant être sa toute première priorité. particitoyenduquebec.blogspot.ca/2013/02/la-dpj-pire-que-les-orphelins-de.html
Posted on: Fri, 22 Nov 2013 02:42:16 +0000

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