DIEU A UN PLAN POUR CHACUN D’ENTRE NOUS ! ... ( Ou pas. - TopicsExpress



          

DIEU A UN PLAN POUR CHACUN D’ENTRE NOUS ! ... ( Ou pas. ) Chapitre 1 : Introspection Je me suis souvent posé des questions d’ordres existentiels. Notamment une : Pourquoi l’écart du potentiel évolutif, qu’il soit physique, intellectuel, ou mental, de deux individus peut-être considérablement grand, ( quand ils sont issu d’un même contexte socio-familial, culturel et environnemental ) ??? J’ais mon avis depuis longtemps. Mais… Jusqu’à cette année, j’avais beau refaire ma vie et le monde un million de fois dans ma tête, je finissais toujours dans un cul-de-sac. Nous avons tous connu, par exemple lors de nos études, un chanceux(se) qui n’en foutait pas une, mais qui obtenait d’aussi bon résultats aux examens, si ce n’est meilleurs, que ceux(celles) qui révisé. Ces heureux veinards sont déjà déconcertants pour la plus part des gens, considérant leurs investissement personnel, mais imaginé un peut pour celui(elle) qui s’investi trois fois plus que la moyenne des gens pour finalement obtenir des résultats égaux, ( si ce n’est moins bon. ) Cela dépend évidement des capacités que l’on a chacun à notre niveau, a enregistrer et à réutiliser une information. Fort heureusement, dans la majorité des cas : La prise en considérations des lacunes physiques ou intellectuelles d’une personne, les techniques d’apprentissages ou de développements adaptés pour combler ses manque, et sa propre motivation, suffises à rétablir son niveau. ( Au bout d’un travail de réajustement plus ou moins long selon les individus )… Mais pas toujours. Pourquoi certains parviennent à se distinguer d’une manière ou une autre, ou du moins on le potentiel pour le faire, alors que d’autres travers la vie en parfaits anonymes, et meurent dans la solitude et l’exclusion, malgré tout leurs efforts d’intégration ? Il va de soit qu’un état d’esprits positif permet d’évoluer plus facilement dans la vie. Oui mais voila ; Tout le monde n’est pas en mesure de voir les choses du bon coté. Car… On peut ne pas être mentalement et fondamentalement armé pour affronter les difficultés de la vie. Du coup, le pessimisme ou l’état de dépression d’une personne, ne dépend pas toujours des péripéties de son parcours, ( de ce qui lui tombe sur la gueule. ) Exemple : On connait des cas de suicides parmi des gens fortuné, socialement et affectivement bien entouré, bref dont on pourrait penser qu’ils ont tout pour être heureux, mais qui passe pourtant à l’acte. Alors qu’à l’inverse… Ils y a des enfants, agonisant sur un lit d’hôpital, pour qui chaque minute est une souffrance, dont on pourrait penser qu’ils appellent la mort de leurs vœux, mais qui malgré tout, font preuve d’une combativité et d’une volonté de vivre hors du commun. Je pense que si l’on voit la vie comme un cadeau, les entraves que l’on peut rencontré ne seront jamais que le ruban, l’emballage et l’adhésif de ce beau cadeau qui est la vie. Par contre, si l’on voit la vie comme une épreuve, on la traverse comme on s’acquitte de ses corvées ménagères, ou de sa paperasse administrative, avec lassitude et résignation. La plupart des gens ne peuvent concevoir qu’une seul façon d’appréhender la vie. Du coup, ils tiennent souvent un discoure moralisateur à base de phrases toutes faites à ceux qui ne partages pas leur mentalité : « Mais attend, t’es bien contant d’être en vie. » Ou encore : « On a tous des problèmes. » « Arrêt il se passe bien pire dans le monde. » Etc, etc Pour moi ces discours, même quand ils partent d’une bonne intention, ne servent qu’à greffer un sentiment de culpabilité à des personnes qui vont déjà mal. Aidé une personne a relativisé n’est pas toujours la bonne solution, si c’est pour tourner ce qu’elle vie en dérision. Il vaut mieux être présente pour elle, et tenter de lui faire vivre de nouvelles expériences, qui changeront peut-être, son point de vue sur la vie. Le pessimisme et la dépression, dépendent de la faculté à relativiser, et de la relation intime et toujours différente que l’on a avec la souffrance. Fort heureusement, dans la majorité des cas : Une prise en charge psychologique ou psychiatrique s’avère fructueuse. ( A condition que le malade n’ait pas atteint le point de non retour et d’avoir décelé précisément, l’élément déclencheur de son mal-être ; Sinon celui-ci rencontrera toujours des troubles occasionnel. ) Mais encore une fois ; Quand ce n’est pas lié à une influence contextuelle, pourquoi une telle différence de force mentale, physique et intellectuelle, d’un individu à l’autre ? Pourquoi certains sont mentalement démuni, au point qu’une simple anicroche leur semble insurmontable, et les conduisent parfois au suicide ; Tandis que d’autres personnes, dont le quotidien est un variable cauchemar, on la volonté de vivre ? Dans mon cas et considérant mes antécédents médicaux-familiaux, ils m’a toujours semblé évident que mais problèmes de santé étaient ( pour la plus grande partie ) d’ordre génétique. Mais Il me maqué une variante, j’avais une vision trop restreinte, trop personnelle de la souffrance humaine. Pour connaitre la source de mes interrogations et suivre mon raisonnement, vous devait d’abord connaitre certains détailles de ma vie, et surtout vous dire que je ne suis pas une exception Chapitre 2 : Vivre ou Survivre D’aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours vécu avec tout au plus 50/100 des capacités physique d’une personne de mon âge et de mon poids. « Comment le sais-tu ? » Me direz-vous. « N’est-ce pas juste une impression ? » Et bien, disons sans trop approfondir, qu’au cours de son enfance, un garçon peut avoir maintes occasions de jauger sa force à travers ses jeux, activités sportives, et autres bagarres, ( surtout celons le milieux social dans le quel il évolue.) Pourtant, déjà à l’époque de mon enfance : Je devais parcourir au moins deux fois par jour, une distance de 2km dont 1 bon km de pante brute, ne serrais se que pour rejoindre l’arrêt de bus le plus proche. A une période je me suis même beaucoup investi physiquement dans divers activités sportives dans l’espoir d’une amélioration de mes capacités, mais en vain. Si l’on en croit le principe d’adaptation, je devrais être un athlète de haut niveau aujourd’hui ! Malheureusement, le temps la confirmé… Je souffre ( entre autres ) d’un problème de tonicité et de développement physique. En effet, mes antécédents médicaux ne manquent pas. J’ai commencé très jeune à avoir des douleurs aiguë au ventre et à faire de la spasmophilie. En plus d’une scoliose, j’ai la colonne vertébrale qui part ver la droite. Ce désagrément additionnel fait que mon corps tente de réajusté ma posture en contre balançant. Ca se traduit par des douleurs au dos, une omoplate qui se déboite ou encore un épaule quand ce n’est pas ma mâchoire. Etc, etc Aujourd’hui, à seulement trente ans, je me lève minimum trois fois par nuit pour uriner et j’ai toujours de grosses difficultés à le faire. Je suis également à la limite de l’incontinence depuis environ huit ans. En fait, cela fait bien longtemps que je n’ai pas eu plaisir de finir un repas sans devoir courir à la selle. A une période il y à même eu des selles noir, ce qui associé à mes autres symptômes, est souvent dû a un ulcère. Mais à l’âge où mes maux de ventre ont commençaient, aucun docteur ne pouvait ou ne voulait croire en un ulcère. Il se trouve que je suis sujet aux angines chroniques et que je vie avec une espèce d’étroitesse à la gorge qui me pose des problèmes pour déglutir et rend mes repas encore plus appréciable. Cette étroitesse rend aussi mes crises de spasmophilie encore plus difficile à gérer. Un jour, lors d’une visite chez l’ORL, après qu’il m’ait passé une sonde dans la gorge il m’a demandé : « Vous n’avait jamais fait d’ulcère ? » Etonné, je lui ai répondu qu’il en avait toujours était plus ou moins question. C’est alors qu’il me dit : « Et ben vous pouvez en être sur ! Vous avez les parois de la gorge toutes brulées par les remontées acides, et ca doit faire un moment que ca dure ! » Partant de là, on m’a fait passer une fibroscopie et une coloscopie qui on balayait la suspicion d’ulcère. Par contre… La coloscopie à révélé une atrophie de je ne sais plus trop quoi, qui aurait pu venir d’une maladie liée au gluten. Après avoir supprimé un certain nombre de produits de mon alimentation, ( de mieux en mieux pour mes repas ) et avoir effectué des analyses, il ne s’agissait pas non plus d’une maladie lié au gluten. Puis, comme les symptômes sont parait-il très proche, et que ca pouvait expliquer mes problèmes digestifs et de tonicité, on m’a fait passer des examens concernant le lactose. Et vlan ! Plus de produit laitier non plus ! ( A un moment j’ai cru qu’on allé me demander de vivre d’amoure et d’eau fraiche, tellement que ca devenait le casse tête de manger ! ) Bien sur, ce n’était pas non plus le lactose! Et je suis passé d’examens en prise de sang comme ca jusquà se que j’en ai marre. Et encore je vous ai épargniez mon parcours médical jusquà ma visite chez l’ORL. Pour couronner le tout, Il ce trouve que j’ai aussi des lacunes d’ordre intellectuel. Les maths ! Il me faudra un bon bout de temps pour vous donner l’heure, si je dois la lire sur les aiguilles. Je n’ai jamais réussi à enregistrer mes tables de multiplications, ni à retenir comment poser une division. En fait tout les problèmes dépassant les trois opérations et ( encore ca dépend lesquelles, ) me font bugger. Je souffre d’un problème d’apprentissage. Par exemple : Au nivaux du boulot, chaque jour est comme un premier jour. Je n’arrive pas à enregistrer et à appliquer une consigne, même si on me la répète jour après jour. Je suis vite dépassé. Lors d’une conversation asses longue, il arrive que je ne sache plus d’où je viens et où je veux en venir. Ou que je décroche complètement même suspendu aux lèvres de la personne qui me parle. D’ailleurs quand ca m’arrive et que l’on me questionne j’ai souvent droit cette réflexion : « En fait tu n’as rien écouté de ce que je t’ais dit ! » Le fait est que je suis dyslecsique, que j’ai des problèmes de ce que les orthophonistes appels la mémoire du travail, et estimez vous heureux que j’ai usage du correcteur informatique intégré, sinon votre lecture ressemblerait encore plus à du décodage. Je lis aussi très mal et mot à mot, et je ne retiens que peut de choses, à la fin d’un texte. (Par apport à mes fautes et à mes difficultés de lecture, je précise que je suis Français, née de parents Français.) La plus part des spécialistes que j’ai rencontrés, s’accordent à dire que tant que l’on n’a pas mis le doigt sur l’élément déclencheur de mes symptômes, en tout cas physiques, ils sont destinés à réapparaitre. Soigner mes maux en parallèle, ne peut que m’accorder un peut de répit, ( dans le meilleur des cas. ) Joyeuse perspectives d’avenir ! Considérant que l’âge ne pourra que nuire à ma condition physique, intellectuelle et à l’usure, moral ; Dois-je me résoudre à me trainer de plus en plus dans la vie, jusqu’à la fin de mes jours ? Faut-il que rien ne soit jamais facile, que tout soit une épreuve ? Chapitre 3 : Quand le Mimétisme Devient un Handicape Alors que la majorité des gens assume leurs 8 heures de travail et arrivent encore à s’occuper de leur ménage, de leurs papiers, de leur vie de famille etc, etc, moi je donne tout dans mon activité professionnel. ( Lorsque je travail, je n’ai la force de rien d’autre, je prends du retard dans tout, et je n’ai plus de vie sociale. ) Le comble, c’est que si je n’en parle pas, mes difficultés passent totalement inaperçu. Il est impossible d’imaginer ce qui m’atteint, tant je prends sur moi de paraitre comme les autres. Et dieu sait qu’il m’a toujours fallut redoubler d’effort, pour assumer des tâches très abordable pour la plus par des gens, qui ne soupçonnent même pas le degré de mon investissement physique et mental. Un tel investissement, pour des accomplissements relativement dérisoires, qui me permet tout juste de passer pour un individu moyen en société ! Grâce, ou (à cause) de ma volonté, mon état est sujet a controverse et n’est jamais totalement pris en considération. Pour les gens y compris les médecins, il est paradoxale de voir ce que j’accompli, et de m’entendre parler de mes difficultés. Je passe même souvent pour fabulateur ! Je pense notamment à mon Médecin traitant qui ne m’encourage guère à continuer mes examens. A chaque fois que je vais le voir j’ai l’impression de l’emmerder ! Et il faut voir les remarques qu’il ma déjà sortis, genre : « Et des boulots comme femme de ménage, vous ne pouvez pas les assumer ? » ( Alors que je suis un homme. ) Ou encore : « Si vous êtes capable de marcher autant, c’est que vous n’êtes pas aussi atteint que vous le dite ! » Connard vas ! Tu n’as pas idée de ce que ca me demande! Je ne suis pas véhiculé, je vie dans un endroit à proximité de rien, et les transports en communs sont rares ( sinon j’aurais déjà changé de docteur ! ) Qu’est ce qui me reste comme option ? De crever chez moi ! Concernant mes tares intellectuelles ; Elles ne sont pas décelables au premier abord. En l’occurrence le phénomène d’adaptation à bien fait son œuvre. J’ai développé une certaine élocution et un vocabulaire, rassurent pour ceux qui l’entende et surtout très conformiste. Bref je sais dire aux gens ce qu’ils aiment entendre. C’est une parade que j’ai développé à la façon d’un aveugle dont les autres sens se transcendes, pour lui permettre de continué à évoluer dans son environnement. Sans ça, je n’aurais jamais d’occasion de bosser ni guère plus de vie sociale. Mes discours, et les quelques variantes qui tourne autour, ( dont j’ais finalement très peut usage, tellement que les montons sont alaise dans leur société ultra conformiste, ) paraissent à chaque fois très spontané, mais en fait ils sont bien rodé, depuis le temps que je les ressasses. Cela ne me demande aucune sorte d’intelligence, je dirais même que plus tu es con, mieux ca marche ! Les sujets abordé son toujours les mêmes, et les phrases types se suivent est se ressemble. ( D’un coté, heureusement pour moi, sinon je serais encore plus souvent largué. ) Mais que s’est laaaçant ! Encore une joyeuse perspective d’avenir ! Ceux genres de pseudos échanges est sans doute l’aspect le plus désagréable de ma routine, mais… Revenons en à nos autres montons ! Mon élocution me permet, par exemple, de passer brillamment la plus par de mes entretiens mais ne garanti pas la longévité de mes embauches. En fait j’ai tendance à enchaîner les passages éclaires au sein des entreprises. Surtout dans les postes multitâches nécessitant une bonne coordination gestuelle et intellectuelle. Les boulots physiques, comme manœuvre en démolition, sont ceux que je garde le plus longtemps en général. Du moins tant que me mon corps ne me lâche pas. Sauf en industrie, ou le rythme de fabrication et souvent trop soutenu, par apport à mon manque de tonicité. Par contre attribué moi un poste aux tâches variaient, et l’illusion de mon personnage ne tiendra pas longtemps. Ni mon élocution, ni mon volontarisme ne peut m’aider en l’occurrence. Mais de tous mes maux, le plus dur à vivre est finalement le manque de reconnaissance de mes difficultés. Parce qu’avec le manque de reconnaissance viennent les fameuses : ( Joyeuses perspectives d’avenir ! ) Je pense notamment à mon dossier RQTH. Celui-ci n’a guère de chance d’aboutir vu le soutien médical dont-il bénéficie. Et d’autre par, comme je l’ai souvent entendu, difficile d’obtenir une quelconque reconnaissance, tant qu’on n’arrivera pas à donner un nom à ce qui m’atteint. Chapitre 4 : Des Encres Déguisées en Moteurs Les plus généreux en conseilles ne sont pas toujours les mieux placé pour les donner. J’ai une sainte horreur des phrases types et je remets cause bon nombre de proverbes ; car ils sont généralistes, et bien souvent issu de personnes de conceptions moyennes ou privilégiés, qui n’on pas conscience de leur chance. Vous êtes le seul à pouvoir vous faire obstacle. Cette phrase est entre autre, typique des moutons animateurs d’ateliers genres : Simulations d’entretiens d’embauche, technique de mise en relation, et autres forums pour l’emploi. Ah oui ! Le foutage de gueule ultime dans ceux genres de convocations, c’est que votre présence est obligatoire sous peine de radiation. Hors… « Mon problème n’est pas de me vendre ( encore un terme qu’ils affectionnent ), j’y arrive très bien sans vous merci, et surtout je ne vous ai pas attendu pour le faire, mais jusqu’à présent cela ne m’a pas permis de durer dans une entreprise. » Ce à quoi, du haut de leur petite situation, ils ont la facilité de vous répondre par une autre phrase type : « On à toujours le choix. » On à toujours le choix pff ! Oui, sauf que le choix peut se situer entre mal et pire ! En l’occurrence, si pour échapper à leurs simagrées, je dois risquer la perte de mes 430 misérable €uros de RSA, le choix qui du coup n’en est plus un, est vite fait ! Deux de mes phrases conformistes préférés sont : Tout ce qui ne me tue pas me rend plus fort. Et une autre du style : La vie et comme un livre ; Chaque chapitre vaut la peine d’être vécu, car à la fin de l’histoire tout prend un sens. Enfin, je ne sais plus exactement comment la phrase est tournée, mais elle circule en boucle sur les réseaux sociaux. Alors premièrement, tout ce qui ne me tue pas peut aussi m’effriter à petit feux ! Les bourrasques répétées de la vie, loin de fortifier peuvent tout au contraire affaiblir, rendant l’agonie lente et douloureuse. Deuxièmement, à moins de devenir sadomasochiste, ou d’être frappé de démence ; Je vois mal comment, au moment de ma mort, je pourrais trouver un sens à certains passage de ma vie, et pire à l’horrible souffrance d’autres personnes, et encore moins me dire qu’ils étaient nécessaires. Il y une autre phrase type un peut ors contexte mais tout aussi dénuée de sens que j’aborderais brièvement : Largent ne fait pas le bonheur. Pff Allez dont dire ca au petits Somaliens mourants de faim ! Et personnellement, je vous garanti que : Hormis le confort matériel dont je me passe très bien, l’argent m’octroierait un meilleur suivi médical. Sans parler d’autres facilitées touchant à ma vie privée. Car c’est malheureux à dire, mais avec la tune, vient une meilleure considération, administrative, juridique, politique bref globale. Ca devient de plus en plus rare mais il y a encore des gens bienveillant, sans aucune intention moralisatrice. Des personnes à l’écoute voir carrément empathiques qui voudraient sincèrement ce mettre à la place des autres mais… Le hic, c’est que inconsciemment, ils ce voient à la place des autres mais dans leur peau. ( Avec leurs propre capacités, ce qui ne peut évidemment pas fonctionner. ) Inconsciemment, ils pensent que l’on peut, partir avec de mauvaises cartes en mains, souffrir de quelques difficultés, parfois être martelé de malchance, mais qu’au bout du compte, nous avons tous le même potentiel évolutif et qu’il est toujours possible de parvenir au meilleur résulta avec la pire des donne. C’est beau, c’est optimiste, mais ce n’est malheureusement pas réaliste. Il y a effectivement des personnes issues de milieux défavorisés, qui parviennent à de grandes choses, ou tout simplement à s’en sortir. Mais ces exceptions ne constituent pas une vérité absolue. Et il faut bien garder à l’esprit, que malgré leur handicapes de base, ils sont tout de même doté de qualités majeurs, comme : Une bonne faculté d’adaptation, et surtout d’une grande force mentale, les rendant persévérant, et très résistant aux épreuves et à l’usure. Nous ne somme pas tous fait du même bois ; Nous n’avons pas tous le même potentiel évolutif et certains son même relativement bas. Ces gens qui ceux veulent rassurent, encourageants mais qui ne veulent pas comprendre. Ceux qui vous disent que vous vous sous-estimé, qu’avec une telle élocution vous ne pouvait pas être aussi bête que vous le dite, que pour parlé de soi-même, de manière aussi construite, il faut être intelligent etc, etc… Cela sont plaisants, voir flatteurs à entendre au début, mais au bout de dix, quinze, vingt ans de vie stagnante, presque résolut à la déchéance, il me semble plus constructif d’être pris en considération, avec les défauts qui nous caractérises. Attention je ne dit pas qu’il faut nous attaquer gratuitement sur nos lacunes, être mesquin à la moindre occasion, non ! Croyez bien que l’humain est suffisamment opportuniste et vicieux, pour que nous ayons notre ration quotidienne en matière de mesquineries. ( D’ailleurs, j’y reviendrais. ) Ce que je veux dire, c’est que les sujets qui me font passer pour plus intelligent que je ne le suis, sont tous en liens avec ma vie. Il s’agit de ma vie, je n’invente rien et je suis le mieux placé pour en parler! Je la rumine quotidiennement, je tente d’avancer avec et malgré mes lacunes depuis toujours. J’ai eu des dizaines d’occasions de ressasser mes tares, de peaufiner mon argumentation durant des années, c’est pourquoi je connais ma leçon sur le bout des doits. Parlé de ce qui m’atteint et d’autres sujets très présent dans mon esprit ne requière aucune réparti de ma part, aucune forme d’intelligence. Ce n’est pas comme avoir une opinion et du répondant sur n’importe quel sujet lancé au hasard. Par exemple : J’ai rencontré Madame Le Maire de mon village récemment. Bien qu’elle m’ait repris une ou de fois, je connaissais bien le sujet de notre entrevu, et tant qu’il s’agissait de l’objet de ma visite, je pouvais participer activement à la conversation. Mais au bout d’un moment, j’ais bien senti qu’elle m’a pris pour plus intelligent que je ne le suis. Elle s’est mis à me parler de choses et d’autres, faisant appel a sa vaste culture général, dans un vocabulaire bien plus riche que le mien, et j’étais complètement largué ! J’ai dû user de hochements de tête et de: « Oui oui, parfaitement, tout à fait ! » Je me demande toujours si je n’ais pas approuvé d’énormité ou si je ne suis pas passé pour un con à un moment ou un autre. Cette situation est typique des problèmes que je rencontre, dès que je ne parviens plus à garder les gens sur mon terrain. Soyez sûr que je nexagère pas ; Ce nest pas de gaieté de cœur, que je me dévoile à vous de la sorte. L’anonymat m’aide beaucoup en l’occurrence, et puis… Je vous parle de moi, un peut comme si je vous raconté la vie d’une autre personne, ce qui me permets de garder une certaine notion d’objectivité. Je n’ai aucun intérêt à n’autocritiquer ainsi ; Si ce n’est l’espoir de m’intégré au-delà des pseudos échanges conformistes que je pratique déjà. Si ce n’est l’espoir d’être accepté tel que je suis, et non pas tel que la société aimerait que je sois. Chapitre 5 : Une Maladroite Révélation Considérant tous les examens infructueux que j’ai passés, je me suis demandé : Finalement… Il y a-t-il quelque chose à déceler, est-il seulement possible de me guérir ? Et bien à ma grande surprise, c’est finalement mon kiné, qui m’a donné la réponse la plus crédible ! Au cours d’une séance, j’ai demandé à mon kiné s’il avait son idée sur tous ces soucis que je rencontre. Il m’a alors répondu un truc du genre : « Avant le taux de mortalité infantile était élevé, maintenant comme on est heureusement plus nombreux à survire grâce à la médecine, ben… On trouve un peut de tout ; Toi t’es peut-être pas d’une ligné trèèès… » En fait, il parlé de sélection naturelle. Ces quelques mots aussi maladroit fussent-ils, n’ont pas résolu mon mal être, mais ont étaient pour moi une révélation ! Comment, après toutes ces années de gamberge, et cette notion de génétiques toujours présente dans mon esprit, je n’y ai pas pensé plus tôt ! C’est pourtant évident ! Dieu, ou la nature celons les points de vue, dans sa grande sagesse et sa grande responsabilité, ne fait rien au hasard ! Dieu ou la nature, sait que survire alors que l’on n’est pas armé pour affronter les difficultés de la vie, peut être accompagné d’exclusion et d’une grande souffrance. Si nous somme de plus en plus nombreux à vivre ou survivre, ce n’est pas le fait de Dieu mais celui de l’homme. Effectivement, à l’époque ou la sélection naturelle s’appliquée encore largement à l’homme, le taux de mortalité infantile était élevé, seuls les bébés les plus robustes survivaient. Plus tard, en prenant de l’âge, l’intelligence entrée aussi en compte. Les individus adoptant les meilleures postures techniques et outils, pour leurs travaux ou pour la chasse, gagnaient en longévité de vie, et en chances de transmettre leurs gènes. En d’autres termes, la sélection naturelles faisait en sorte que les éléments les mieux adapté à leur environnement prospère en son sein. Ainsi les individus présélectionnés avaient leur place dans la société, et plus largement dans la vie. L’expression très utilisé des religieux : « Dieu à un plan pour chacun d’entre nous », a perdu toute crédibilité à mes yeux, depuis que j’ai réalisé que Dieu n’a pas souhaité que nous survivions tous. Je l’ai compris quand j’ai enfin pu faire le lien, entre le principe de la sélection naturel et mon mal être. Pas étonnant que la médecine ne puisse rien faire pour moi, je connais qu’une façon de guérir du mal de vivre. Certain d’entre vous, vont penser que mon point de vue sur l’existence, est influencé par mon parcours. Je me serais évidement bien passé de certains aléas de ma vie; Mais… malgré tous mes défauts, si j’ai bien deux qualités, c’est justement celles de savoir relativiser, et de ne pas être influençable. Je pense être quelqu’un d’objectif. Et puis honnêtement, déjà enfant, avant de commencer à souffrir de mes différents maux, j’avais le sentiment dêtre à part. Très tôt, j’ai été en échec scolaire et social. En fait, il m’a toujours semblé courir à coté du train de la vie, sans jamais pouvoir le rattraper pour monter à bord, et les années passant il à fini par me distancer. Je ne suis pas dégourdi, et cela ne s’explique ni en terme médicale, orthophonique, ou psychiatrique. Je rencontre des difficultés ridicules et risibles pour les gens. ( Je parle de se noyer dans un verre deau. ) On voit bien que j’ai autant ma place dans la vie, qu’un cheveu sur la soupe. Et si de tous mes maux et défauts, je ne devais garder que celui-ci, cela suffirait largement comme handicape. Ce qui m’inquiète par-dessus tout, c’est que l’espoir d’obtenir une reconnaissance de mon mal et celui de beaucoup de personnes à venir est mince. En effet, en admettant ma souffrance, la médecine générale et psychiatrique, reconnaitraient par la même occasion, leur incapacité à me guérir. Nous ne somme ni cul-de-jatte, ni manchot, ni atteint de trouble mentaux ou d’une quelconque autre maladie reconnu, ( si ce n’est à l’usure. ) Notre handicape et celui d’être en vie et désarmé dans un monde que nous ne pouvons pas affronter. Je comprends que cela puisse paraitre inconcevable, même à moi ca me fait quelque chose de l’écrire : La meilleure solution pour des gens comme moi, est encore de ne jamais voir le jour. Mais j’imagine qu’appart quelques psychologues et philosophes, ce concept sera difficilement admissible. Et pour cause, a l’heure ou le socialisme est de plus en plus critiqué et les assistés sociaux pointé du doigt ; La société, même si elle voudrait admettre mon mal de vire, ne pourrait pas le reconnaitre officiellement. Trop de personnes profitent déjà du système pour fainéantiser. Si ma souffrance devait être reconnue, j’imagine que beaucoup de gens en profiteraient. Pourtant, si la société ne nous fait pas une petite place, les gens dans ma situation, viendrons s’ajouter aux fameux assistés tant critiqué. ( Et c’est finalement le bien être générale qui en pâtira. ) Cela serait bien entendu indépendant de notre volonté car… Appart pour ceux qui on les capacités, et surtout la malhonnêteté de s’en sortir grâce à leurs combines ou leurs business, vivre en marge de la société, ne pas pouvoir s’intégrer, est tout simplement douloureux. Je vous assure que j’aimerais me plongé dans un livre comme si je regardé un filme. J’envi ceux qui arrivent à s’immerger dans leurs lectures au point de la ressentir. Mais moi ca ne me parle pas. J’aimerais tout comprendre et n’avoir besoin de personne quand il s’agit de formulaires administratifs à remplir etc ; Mais c’est un aide dont je ne peux pas me passer. Et que dire de ma fierté ! Même quand les gens on la délicatesse de s’abstenir de tout commentaires, leurs soupirs et leurs regard me disent : « Mais quest ce que cest que ce mec ! » Ces regards là, je les croise souvent, et encore, je m’estime heureux quand ils ne sont pas accompagnés de remarques désobligeantes. Mais, je ne peu pas blâmer les gens pour ce traitement, je comprends leur agacement. Seulement à cause de ca, même au delà du travail, jappréhende de plus en plus de devoir me mélanger. Car j’ai trop souvent récolté les fruits amers de mon incroyable capacité à passer pour un con. Chapitre 6 : Une place pour chacun et chacun à sa place Comment laisser un enfant mourir quand on est capable de le sauver ? De nos jours, dans toutes sociétés dite civilisées, laisser la sélection naturel faire son œuvre, est à juste titre considéré comme immoral. Je dis bien immoral mais pas contre nature ! D’ailleurs, et que mes écrits en soient témoins. Si l’homme n’établi pas d’une manière ou d’une autre le contrôle de ses populations, je préconise que dans un futur relativement lointain, quand l’occupation du territoire terrestre aura atteint un seuil critique… L’humanité au pied du mur, en viendra à envisager cette mesure, ou un autre du même genre. Mais ca, je le développerais peut-être dans un autre sujet. Tout ca pour vous dire, que nous somme là et qu’à l’heure actuel, nous n’avons que peut de perspectives d’avenir. Pourtant, si elle ne veut pas courir à sa perte, la société va bien devoir nous trouver une place. Nous somme de plus en plus dans mon cas. Paradoxalement pour nous en particulier, la vie est devenue course à la démarcation, à la distinction, bref… Un véritable défi intellectuel ! Le niveau technologique c’est emballé, tout est informatisé, nous ne somme plus que des numéros de dossiers, et tous se traite sur le net. C’est fini le temps ou il y avait des gens qui traité de l’humain, il n’y plus que des bornes informatique. Les gens eux même vous parle comme des automates. C’est fini le temps, ou vous rentriez dans une poste, et ou l’on vous prenez en charge du début à la fin de votre demande quel qu’elle soit. Aujourd’hui, quand vous entré dans une poste en ville, mieux vaut ne pas vous tromper de file, car sinon vous êtes bon pour refaire la queue. En effet chaque guichetier ne traite plus que d’une sorte de produit. Et bien sure, l’affranchissement se fait sur borne informatique. ( J’espère que vous commencé à comprendre en quoi c’est une difficulté supplémentaire pour nous. ) « C’est un évolution logique pour répondre à la demande. » Me direz-vous. Tien, tien… Ne serait-il pas directement question de surpopulation ou du moins de population croissante ? D’un poing de vue professionnel. Jusqu’à présent, les personnes physiquement restreintes pouvaient encore s’orienter vers une activité professionnelle nécessitant un bon intellect et vice-versa. Mais ceci a déjà bien changé. De nos jours, on demande à une simple femme de ménage, ou plutôt ( à une technicienne de surface, excusé moi de peut ), d’être diplômée. Le rythme de production des industries, qui sont de plus en plus automatisées, a également augmenté pour… encore une fois, répondre à la demande! C’est bien dommage. Car agent de production en industrie, demeure un des boulots les plus basique et répétitif que le monde du travail ait à offrir. Ca pourrait permettre à des gens comme moi de bosser. Oui je sais ! Les nouvelles technologies et l’installation massive d’automates à usage industriel etc, on permit le développement de poste comme : Agent de maintenance sur machines automatisées. D’expérience, je sais qu’un technicien de maintenance peut parfois intervenir sur quinze automates. ( Pour autant que je sache. ) Autant d’automate qui pourraient être de la main-d’œuvre humaine ! Surtout quand on crie au scandale devant le taux de chômage. Mais il est vrai que cela augmenterai le coup des produits sur le marché, étant donné qu’une personne on la paye, et que l’on ne peut pas lui imposé le même rythme de production qu’une machine. ( Décidément, c’est indissociable ! Je ne voulais pas m’attarder sur le sujet, mais impossible de contourner les problèmes lié à la surpopulation. ) Il n’y pas si longtemps, on faisait encore la distinction entre le manœuvre et l’ouvrier. Le manœuvre dans les TP, était le mec qui sortait et rentrait et le matériel, qui ne lâché pas sa pelle est sa pioche, pour creusait des tranchées destinées aux canalisations, des eaux pluviales et usées par exemple. Il faisait du port de charges lourdes, ou encore des gâchées pour les maçons, bref on lui demandé plus que tout d’être volontaire. Aujourd’hui c’est simple ! Pour être manœuvre, il faut… Non seulement être aussi vaillant qu’autre fois, mais aussi être, coffreur, aide maçon si ce n’est maçon, échafaudeur etc, etc. ( Et tout ca avec la paye d’un manœuvre bien entendu, sinon ca ne serait pas rigolo, mais ca encore, c’est secondaire. ) Même les gens talentueux dans leur domaine, ayant déjà fait carrière, connaissaient parfois de brutaux revers de situation, et doivent tout reprendre à zéro ! Ceci et valable à toutes échelles sociales ; Je pense notamment à des artistes autre fois populaires, qui sont obligeaient de repasser des castings, et faire des télés crochés comme n’importe quel anonyme. Car pour eux aussi la sélection devient rude ! Comment voulez-vous que nous… Nous puissions percer dans une société pareille ? Personnellement voila oui j’en suis : Dernièrement, j’ai travaillé en binôme avec un gars plutôt patient et poli, vue l’exaspération palpable que je provoqué en lui. Il ne pouvait rien me confier. Attention, je ne parle pas de tâches techniques liées au travail, car c’est tout un concept pour moi. Je parle de choses comme utiliser la cafetière, serrer une sangle, faire un plein dessence, ou le diriger dans la ville dont je suis pourtant originaire. J’en passe et des meilleurs. Il m’a remercié au bout du deuxième jour, et je ne peux vraiment pas l’en blâmer. Même au delà du travail je rencontre des problèmes et je sais que je ne suis pas le seul. Par exemple : Lors d’échanges écrits sur divers forums. Quand il m’arrive d’être en désaccord et d’en débattre avec mes interlocuteurs, je subis souvent la mesquinerie de personnes totalement étrangères au débat, qui passe complètement au dessus de mon argumentation, pour venir directement m’attaquer sur mes fautes. Et je peux vous dire qu’ils peuvent se montrer très inspirés. J’ai eu droit à : « Oulala ! Toi fais bien gaf de ne jamais croiser de bibliothèque, car le choque serait trop brutal ! » Ou d’autres répliques plus courante mais non moins sympathique : « Tu viendras parler avec moi quand t’auras appris le Français ! Arrête de faire ton intelligeant en voulant faire de belles phrases ! » Etc, etc, etc… Tout cela contribue à mon renfermement, mais à la limite ce n’est pas grave. Je me suis habitué à la solitude et à vrai dire, j’aime autant ca, plutôt que de passer systématiquement pour un con. Néanmoins, il va bien falloir trouver une façon d’intégrer dans la société, d’autres personne dans cas. Sans ça nous ne pouvons que souffrir et être des boulets. Ou ils sont les emploies comme celui du papa de Charlie dans l’usine à monsieur Wonka ? Moi aussi je veux visser des bouchons toute la journée ! Ca n’a peut-être rien de réjouissant, et un tel travail serait sans doute payé au minimum légale, mais au moins je pourrais le garder. Le monde du travail vat devoir nous faire une petite place en proposent de nouveaux emploies basique. Vraiment basique ! Ainsi que physiquement abordable. Et surtout, il faudrait que les gens prennent conscience que leurs facilités et leurs automatismes ne sont pas forcément ce de tout le monde, et qu’ils se montrent un peut plus tolérant envers nous. Chapitre 7 : Sombre Lueur de Délivrance Il y aura toujours des petits malins pour me dire : « Les projets de Dieu te concernant, étaient peut-être de délivrer ce message. » J’aimerais y croire, et j’y arriverais, si je parviens à me faire entendre ; Mais pas si cela doit seulement constituer une énième perte de temps, et d’énergie dans ma vie. J’ai d’autres sujets à aborder notamment : Sur la lutte contre différentes formes de discriminations. Mon point de vue sur la force réactrice à l’origine de la vie. Mes déductions sur les relations de causes à effets liées à l’activité humaine etc, et. Seulement… A défaut d’avoir raté le train de la vie, je suis déjà sur le quai de la gare, entrain d’attendre le prochain grand départ, qui je l’espère est imminent. Il y a des signes qui ne trompent pas : Je suis un maniaque qui n’a plus la force d’assumer son obsession ! Mais attention, quand je dis maniaque, ce n’est pas dans le sens ou les gens l’entendent de nos jours. Pour peut qu’ils soient minutieux voir méticuleux les gens ce disent maniaque maintenant, ils ont presque réussi à en faire une qualité. D’ailleurs, les professionnels de l’emploie vous recommandent de caser le mot manique, lors d’un entretien d’embauche, quand viens la fameuse question : « Cité moi un de vaux défauts ? » Oui parce qu’il fait parti de ses soi-disant : Défauts-qualité blablabla… Ors les personnes atteintes de réelle maniaquerie savent que c’est tout, sauf une qualité. Etre maniaque c’est entreprendre l’inatteignable jusquà épuisement… La perfection ! C’est une tâche sans fin ! Tout les maniques et ceux qui les suivent, savent que ca bouffe énormément de temps et d’énergie dans une vie. J’étais bien de cela. Seulement, depuis quelques temps… Je n’ai plus les ressources physique, d’assouvir ma maniaquerie. Et je vous jure, que si vous veniez chez moi aujourd’hui, vous penseriez beaucoup de choses de moi, mais pas que je suis maniaque. C’est doublement horrible à vivre pour moi ; Ma vue continu d’être agressé par tous ce qui n’est pas à sa place, mais mon corps n’a plus la force de si atteler ! Si on m’avait dit un jour, que moi, je n’aurais plus la force de faire mon ménage ! Ils y à des personnes, dont je sais au bout de trente secondes de conversation, qu’ils vont être dans la contestation systématique de mes maux. D’ailleurs l’anticipation de ces réactions est particulièrement décourageante à la longue. Je suis fatigué de et à vrai dire, je n’essaye même plus des les convaincre. Je suis fatigué ! Fatigué de devoir vainement ressasser ce qu’ils appellent mes freins, ou carrément d’entendre dire ceux qui sont sensé m’aider : « Vous n’êtes pas le seul dans votre cas. » Alors qu’ils ne connaissent pas mes handicapes, que je ne leur ai encor rien confié de mes difficultés. Qu’ils aillent tous se faire foutre ! Je les vois arriver de loin, les donneurs de leçons, qui pensent que nous sommes alaise dans notre déchéance, que nous n’avons rien tenté pour nous extirper de notre situation, avant de les rencontrer. Mais je n’arrive plus à répondre aux regards et aux paroles dédaigneuses et supérieures, que l’on rencontre quotidiennement, quand on fait parti du minima social. Tous les : « Quand on veut, on peut ! » Ou Les dénonciateur des fameux : Assisté sociaux TELLEMENT plus alaises que les pauvres travailleurs ! Ceux qui ne vous mettes pas de tampon sur le tableau de recherche d’emploi qui justifie de vaux démarches, par ce que : « Ce n’est pas vous rendre services, c’est juste pour que vous continué à toucher vos allocations. » Et d’autres arguments et phrases types toutes aussi débiles, que j’aurais complètement démonté il n’y a encore pas si longtemps. Non pas que j’ais plus de réparti qu’eux. J’ai tellement souvent ruminé de mauvais rencontre, eu à faire à se genres de personnes, hautaines et arrogantes, que je sais ce qu’ils vont me dirent, avant qu’ils y pensent pense eux même. Je connais les contres attaques par cœur. ( Par contre j’ai de plus en plus de mal à en faire usage. ) Oui je les vois venir, seulement je n’ai plus la force d’affronté et de répondre, à ces personnes aux jugements faciles et hâtifs. Je ne veux pas devenir leur paillasson et j’espère tirer ma révérence avant que ça arrive ! En plus, ces temps-ci, je les conforte malgré moi dans leurs opinons. Mon argumentation est devenue vaseuse, je n’arrive plus à expliquer les examens que j’ai passés dans l’ordre chronologique et avec qui, ou d’autres démarches que j’ai entreprises, et dont je suis obligé de justifier. Et puis je suis devenu très très hésitant, se qui me fait passer pour un menteur. J’ai encore vécu ce genre de situation pas plus tard qu’aujourd’hui. J’avais l’impression d’être le spectateur impuissant de ma propre lapidation, j’ai même oublié d’évoquer la plus part des choses à l’origine de cette entrevu. Hier j’étais au moins convainquant, mais moi qui me donné déjà tant de mal à passer pour un mec lambda, je ne suis plus que l’ombre celui que j’étais. J’ai toujours étais plus ou moins galérien pour les raisons que vous connaissez désormais. J’ai frôlé l’interdiction bancaire, et j’ai bien faillit rendre mon appart, pour retourner en foyer au moins dix fois cette année. Les gens comme moi, vivent et meurent seul en général, ce qui est triste mais sans trop de répercutions.Tout ceci n’est rien, on s’habitue à tout, quand on est seul ; Si je suis au bord de l’effondrement, ce qui me tue réellement… C’est de ne plus pouvoir assurer pour mes enfants ! Jusqu’à présent, en ayant des loisirs simples et gratuits, avec beaucoup de volonté, de dynamisme et les moyens du bord : J’arrivé encore à passer du bon temps avec mes enfants, et à les accueillir dans de bonnes circonstances. Mais je suis à bout de force à présent. Je n’arrive même plus à entretenir mon appartement. J’ai déjà énormément de mal à conserver mon hygiène corporel, je crois que j’y consacre ma dernière petite lueur d’énergie. Si je n’ai même plus la force de joué avec mes enfants, de paraitre inébranlable pour eux, bref d’être un père avec la stature que cela implique ; ( Et surtout, de leur être bénéfique au moins par ma présence )… Quel autre aspect de mon existence est sensé me garder en vie ? Je ne vous fais pas par de se message dans le but d’être plaint. Si je trouve afin le courage de faire ce qui me libérera une fois pour toutes, j’espère seulement que mon témoignage pourra aider à la reconnaissance et à l’acceptation d’autres personnes dans mon cas. Si je dois transmettre un dernier message, ca doit être celui-ci. Devenons plus responsable et demandons-nous consciencieusement : « Que ce que nous avons, à léguer ? » Avant d’enfanter. L’homme prêche le naturel quand ca l’arrange, sauf qu’à bien des égards, il est la créature la plus contre nature qui ait jamais existé! En tant qu’espèce autoproclamé intelligeant, assumons notre nature ; Ayons un certain control génétique sur nos décédant et le maintien du nombre d’individu. Il y a de plus en plus de personnes qui ne veulent pas d’enfant. Ces gens là sont souvent traité d’égoïstes, mais si je reste logique ; ( ors circonstances particulières ), le fait de voir le jour est le résulta de la décision d’un couple, d’un choix indépendant de l’avis de la personne à naitre. Et ce quelque soit les épreuves, que la personne en question est destiné à rencontrer, et que PERSONNE, ne peut prédire ! Considérant cela qui est le plus égoïste ? Même si on peut répondre à tout les besoins matériels et affectif d’un enfants : de 1 personne n’est à l’abri d’un revers de situation, et : de 2, Sauf dans le cas d’une ligné particulièrement brillante ou athlétique, ( et encore), qui peut être sûre de l’étirage génétique qu’il vat transmettre. J’aurais encor de quoi argumenté sur le bienfondé d’enfanter, mais je n’en ais pas la force pour trois autres chapitres ; Car cela n’en nécessite pas moins. Donc… ((( Si Dieu le veut ))), cela fera parti des autres sujets que je développerais prochainement. Je pense aussi que notre système d’éducation devrait être orienté selon des spécifications prédéterminées. D’ailleurs personne ne dira le contraire, les meilleurs artisans que l’on puisse trouver, tous secteurs confondus, sont ceux de pères en fils. Sans y pensé, au delà de leur savoir faire ancestrale, c’est une part de réussite, de satisfaction personnel, et donc de bonheur qu’ils se transmettent. Je sais, toutes ces solutions posent la question du libre arbitre. Mais nous n’avons pas tous la capacité d’assimiler cette espèce de bombardement d’informations, que nous subissons dès l’école primaire. On nous demande à présent une certaine polyvalence, ou d’être qualifié, pour les postes les plus basiques et répétitifs que le monde du travail ait à offrir. Faisons en sorte que nous puissions suivre ce mouvement de société. Ou alors la solution idéale : Admettez que nous somme là ! Que des personnes soient désavantagées dès leur naissance, indépendamment de leurs environnements. Que les boulots réellement basiques revoient le jour. Et que les traitements informatiques ainsi que la généralisation de l’automatisation soit refreinée. Soyez tolérant envers nous, y compris et surtout dans les rapports sociaux. Bref faite nous une petite place dans la vie ! Voila, j’espère de tout cœur que mon message vous a semblé le plus compréhensif et éloquent possible. Car il m’a fallu beaucoup de temps, de remaniement, et d’énergie, pour réussir à mettre mes idées à l’écrit, dans un ordre cohérant. Dans un dernier effort, j’ai fais de mon mieux, avec mes mots, et d’après mon expérience, pour vous faire par de ma conception de la vie. J’ai tout donné dans ce témoignage, et j’ai mis pas mal de choses entre tarentaises pour le finir. Je ne sais pas trop encore ce que j’en ferrais, l’essentiel pour moi était de les poser. J’espère sincèrement, de tout mon cœur et de toute mon âme, que je pourrais prochainement, observer l’aboutissement ou l’échec de mon message, d’un monde meilleur. Sinon, si je n’y parviens toujours et tragiquement pas… Je vous dis à bientôt peut-être. Je vous souhaite une bonne santé, plein de réussite, et de trouver votre place dans la vie. Que du bonheur quoi !
Posted on: Sat, 26 Oct 2013 12:30:29 +0000

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