En France les abus du système de la soit disant protection de - TopicsExpress



          

En France les abus du système de la soit disant protection de l’enfance sont nombreux, et les dérivent vont bon train. De nombreuses associations de défense des familles comme nous même SOS Parents Abusés, le CEDIF et bien d’autres , ne cessent d’alerter depuis des années les pouvoirs publique, mais l’indifférence est la seule réponse à ce jour. C’est d’ailleurs pour cela que nous avons édité en 2010 un rapporte associatif relatif à la protection de l’enfance, ( Rapport complet disponible ici en PDF: ddata.over-blog/2/49/75/55/Rapport-associatif-relatif-a-la-protection-de-l-enfance-edi.pdf ), ou nous apportons aussi des solutions, mais malheureusement les mentalités ne sont pas prêt d’être changés par cette catégorie de travailleurs sociaux, avident de ce petit pouvoir qu’ils ont sur les familles et a détruire celles qui n’auraient jamais du se trouver sur leur chemin et qui n’avait rien à se reprocher dans l’équilibre familiale, ni dans leur façon de vivre. Entre autre L’INSEE nous livre sont constat que près de 40 % des jeunes sans domicile ont connu le placement dans un foyer, en famille d’accueil ou dans une institution spécialisée ( Page 91) insee.fr/fr/ffc/docs_ffc/es391-392e.pdf Que dans certain département comme les Alpes Maritimes 40% des signalements sont effectués par le milieu scolaire et va s’intensifier dans toute la France, d’après le résultat des dernières assises nationales de la protection de l’enfance au Mans en février 2013. Que le 14 novembre 2012 le Conseil de l’europe se montrait particulièrement préoccupée par certaines affaires dans lesquelles des enfants ont été retirés à leur famille contre la volonté de leurs parents biologiques. Qu’un rapport de l’Igas en 2000 dénoncais déja les procédures brutales et l’absence d’informations pour les familles. (et cela n’a pas évolué en 13 ans) et cela malgré la réforme du 5 mars 2007. Que beaucoup de conseils généraux refuse encore l’accès au parents du dossier d’assistance éducative (étant du domaine administratif) et cela selon La loi n°78-753 du 17 juillet 1978 (modifiée en 2000 puis en 2005) le droit de tout citoyen d’accéder aux informations le concernant détenues par une administration ou un service privé assurant la gestion d’un service public. Que les droits des familles sont bafoués en permanence, par un grand nombres de travailleurs sociaux. Que l’exercice de l’autorité parentale dans le cadre du placement n’est jamais respecté. Qu’une analyse comportementale est nécessaire, car il me semble qu’une certaine catégorie de professionnels de l’enfance a grand besoin d’une remise en question, cette institution supposée mettre les enfants à l’abri. Mais à l’abri de qui ? De quoi ? Le système casse les enfants plutôt que de trouver une formule pour les maintenir au sein de la cellule familiale. Lorsque l’on place des enfants en famille d’accueil il ne faut pas qu’ils s’y sentent trop bien afin que ces enfants ne puissent pas s’attacher aux familles d’accueil. Ils se retrouvent alors baladés de famille d’accueil en famille d’accueil ou foyer, surtout lorsque les services sociaux s’aperçoivent que l’enfant bénéficie de trop de bien être. Comment maintenir un lien avec les parents lorsque les enfants sont placés à des centaines de kilomètres, car l’idée de départ des travailleurs sociaux n’est pas de trouver une famille d’accueil proche du domicile des parents, bien au contraire. Quand on pense que dans le programme des assises de la protection de l’enfance de 2010 à Marseille était inscrit « comment retisser le lien », des assises faites seulement pour les institutions et pour verser dans l’auto-congratulation ! Ni la paroles des enfants ni celle des parents n’a eu ça place, des assises digne d’une grande messe, où chacun fait l’éloge de ce qu’il fait dans sa profession afin de se donner les raisons d’être et de continuer a fonctionner de la même façon. Encore une fois on parle à la place des absents !! Quelques professionnels quittent la profession ne voulant pas cautionner de tel abus. Qu’est ce qui est fait concrètement par les travailleurs sociaux pour recréer le lien ? Dans leurs discours lors de leurs réunions, ils parlent sans cesse de ce lien à recréer. Dans la réalité ils ne font que gérer le quotidien et encore seulement dans les grandes lignes. La recréation du lien est une théorie jamais mise en pratique. La pratique consiste au contraire à casser le lien, c’est ce qui se passe lorsqu’ ils empêchent les parents de voir leurs enfants sous prétexte que c’est pour le bien de l’enfant. Il serait temps de demander à l’enfant avant de décider ce qui est bien pour lui et non de le lui imposer, surtout si il est demandeur pour voir ses parents, et surtout si il n’a pas encore été victime d’aliénation de ces travailleurs sociaux. Quelque soit la raison pour la quelle il a été retirer de sa famille, il y a bien d’autre solution avant d’en passer par le placement brutal de l’enfant. (cicatrise psychologique irréversible) Ce qui est des plus choquant dans l’attitude de l’ASE c’est le flicage permanent des familles. Cela peut se passer notamment par l’ouverture systématique des courriers quand ceux-ci sont remis au destinataire « enfants ou parents » car le courrier n’atteindra jamais son but et reste une chose rare. Même si il y a de temps à autre des contrôles sur les foyers de l’enfance et les familles d’accueil, ceux-ci sont avertis à l’avance, donc cela leur laisse le temps de mettre tout en ordre. Ainsi l’ASE considère que tout va bien, que chacun fait bien son boulot, et donc chacun garde son poste et sa paye, car cela est un vrai business, étant donné que certaines familles d’accueil hébergent plusieurs enfants. Il faut aussi savoir que, d’après la Cour des Comptes, les contrôles des structures d’accueil sont effectués une fois tous les 25 ans, ce qui laisse de beaux jours pour continuer à y faire ce qu’ils veulent avec les enfants. Plus on avance dans le temps et plus rien ne change, alors que les années passent. Seules les étiquettes valsent et l’on ressort le même produit, dans les PMI (Protection Maternelle et Infantile) il y existe des logiques de quota et pour légitimer l’existence sur un secteur, eh bien il faut faire remonter « X » cas et à un moment donné il existe des situations qui vont être pointées du doigt et stigmatisées, alors qu’a coté de ça il y aura des situations bien plus dramatiques et sur les quelles tout le monde va fermer les yeux. Et ce n’est pas parce qu’une famille a des difficultés sociales et financières que les enfants sont mal élevés et manquent de la satisfaction de leurs besoins primordiaux, manquent d’amour. Cet amour, l’ASE les en privera de façon brutale en les séparant du cocon familial. Depuis les année 70 les travailleurs sociaux se sont arrangés pour placer les enfants hors institution et donc en familles d’accueil. Il est arrivé que des enfants servent de main-d’œuvre bon marché chez, par exemple, des agriculteurs. Cette politique là existe toujours car les institutions coûtent cher, et il faut rémunérer le personnel administratif, l’équipe éducative, un psychiatre ou psychanalyste, c’est pour cela que régulièrement des institutions s’insurgent des baisses de budget. Pour légitimer les placements et faire augmenter son niveau d’activité pour obtenir toujours plus de financements, l’ASE va donc trouver des problèmes là où il n’y en a pas. Le souci de maintenir les enfants au sein de leur famille biologique, la réelle prévention n’existe pas. En effet, comme chacun ne le sait pas assez, un enfant peut aujourd’hui être retiré au parent sur simple dénonciation calomnieuse ou par un complot. Eh oui, comment qualifier autrement des situations où seulement certains enfants dans la fratrie sont enlevés, la famille serait-elle dangereuse pour une partie seulement de sa progéniture ou s’agit-il d’une pression pour que la famille soit maintenue dans l’insécurité du risque de placement de ses autres enfants ? Ce qui est aberrant c’est que toutes ces décisions sont prises à huis clos. C’est lors de réunions internes, donc à l’abri de tout regard externe, que l’équipe éducative en compagnie éventuellement d’un pédopsy, va évoquer chaque situation selon l’actualité du moment et les préoccupations toutes particulières des travailleurs sociaux. Dans leur grande subjectivité, ces gens pourront provoquer des ravages sur les familles sans aucune considération des conséquences de leurs actes, hormis le souci de moyens supplémentaires qu’ils pourront obtenir. Une autre aberration lorsque qu’il y a une expertise psychiatrique sur une famille est la suivante : le praticien prend connaissance du dossier complet avant son examen. L’attitude a priori bienveillante du psy n’est alors qu’un faux semblant. Comment une expertise peut-elle être impartiale après avoir été imprégnée au préalable de toutes les informations qui ont permis de constituer un dossier sur une situation. Le diagnostic du praticien en est donc faussé. Diagnostic faussé d’autant que les praticiens sont choisis d’avance et payés par les tribunaux, ce qui ne permet pas aux familles de consulter un praticien de leur choix. Lorsque que l’on retire un enfant de 5 ans, voire un nouveau-né et qu’il reste placé jusqu’à ses 18 ans et au-delà, lorsque sous couvert du secret professionnel les dossiers suivront les personnes à vie, alors que les familles en question ne se laissent pas faire, ces dossiers auront une fâcheuse tendance à disparaître. Étrange non ? Cela signifie tout simplement que des scandales de placements abusifs sont étouffés. Les placements cela reste un commerce pour faire vivre une catégorie de personnes dont la marchandise est l’enfant, un simple objet quoiqu’ils en disent pour légitimer l’existence d’une structure. Parler au nom de l’enfant, de son bien être, qu’est ce que cela veut dire quand sa parole n’est jamais entendue, ou détournée comme cela arrange. Aujourd’hui on se demande qui a légitimité pour faire des signalements ! Des signalement au nom de quels critères, quels vont être les indicateurs et les indices qui vont prouver que l’enfant est en maltraitance, qui a les compétences pour révéler qu’un enfant est en difficulté, à part choisir des stéréotypes comme il en existe plein, qui continuent à courir et qui vont prédéterminer des profils de famille en difficulté éducative. Car c’est comme cela que l’ASE trouve des indices là ou il y en a pas. Quelle est la formation des gens qui sont supposés s’occuper des suivis et quelle est celle de tous ceux qui travaillent dans des associations complémentaires contrôlées par personne. Ces professionnels du travail social vont mettre en action des directives mais sans réel cahier des charges avec items d’évaluation et résultats. La seule chose qui est prise en considération est le résultat financier, les quotas, si il ne peuvent accueillir que 100 personnes ils vont s’arranger pour en accueillir 110 afin de légitimer une augmentation de budget l’année suivant. Et au nom du sacro-saint secret professionnel, l’ASE cache la vérité à ceux qui sont directement concernés, » les parents », à coté de cela les dossiers circulent d’une institution à une autre et sont remis à des personnes qui n’ont pas forcément les compétences pour avoir accès à ce type de dossier. Sans parler des informations qui transitent par téléphone et des connivences entre services sociaux et certains juges, ce qui nuit au bon fonctionnement et contribue au manque d’impartialité encore une fois. La corruption dans le secteur du social existe et il serait temps qu’une instance « indépendante » directement saisissable par les familles contrôle tout cela. SOS Parents Abusés. 25/07/2013 à 14:26
Posted on: Sat, 24 Aug 2013 09:12:33 +0000

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