En ces temps moroses non pas par un ciel gris et pluvieux mais par tant de tristes mines inquiètes par tant de doutes et d’incertitudes, je vous propose d’écouter et de voir Chelkha Remitti dans toute sa splendeur à l’institut du Monde Arabe à Paris en 1994 dans la chanson « SAIDA » avec une excellente composition et interprétation : Aha ! Aha ! Aha La ville de Saida est loin Et le train est cher J’irai à Saida ramener le fusil Pour chasser les belles colombes Oh, ma mère comme le chemin est escarpé Le chemin qui mène à mA bien aimée Oh, ma mère, le jour de l’Aid elle avait Le meswek dans la bouche et le henné sur la main Je lui ai dis « embrasses moi » il n’en a pas voulu Elle avait de beaux habits, elle s’apprêtait à rendre Visite au saint Wali Je lui ai dis « embrasses moi » il n’en a pas voulu Je pense qu’il est passionné par une autre Ou bien, il craint des représailles Je ne suis pas à mon aise Et mon cœur est troublé Celui qui aime la beauté souffrira Ne sera jamais guéri de son mal Oh ma mère celui qui aime la beauté Connaitra la mort ou la prison Celui qui aime la beauté Passera son temps à pleurer et à gémir youtube/watch?v=Qiu2mgIMkNQ
Posted on: Wed, 04 Dec 2013 00:03:24 +0000
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