En cette magnifique journée, d’un blanc immaculé, le soleil si reflète de tout son apposé en ce ciel bleuté, l’arrivé au 55k n’était qu’a 1072 pas de mots, du réveille de mon être sur la montagne, je me suis levé et avancé jusqu’à lui. Au passé de la nuit qui y prenait forme, mon corps m’y demandait de si reposer, en mes yeux voulant si fermer, malgré que je savais qu’il était tout prêt et qu’il aurait peu être atteint bien avant cet instant. J’y lâchai prise, car en cette journée à la demande réciproque, mon coeur avait rayonné et intégré ce qui devait si repositionner. Douce la vie y est quand nous savons l’écouter de respect. Une joie d’y avancer dans cette courte distance, avant la prochaine élévation, tout comme celle du précédent cycle solaire. Je voyais la borne du 55k, là où j’avais ressentie de m’y rendre pour la validation de l’accomplissement du 50k et plus, en cette première ascension du Nanowrimo 2013. Par cette belle expédition qui à clarifier le sens de sa venu et manifesté des vérités de confirmation en la Vie. Je sens cette félicité de ce que j’ai toujours su, s’exprimer en ces mots pour vous, d’une expédition au coeur de l’imaginaire. Et de cela un cadeau d’un extrait plus expansé, comme mon 55k y est arrivé. T 55 475k EXTRAIT …Anghis: L’harmonie n’y est de même, que de votre parole ! Nous y sommes point là pour nous imposer à vous, dans votre demeure sommes tous en Mère Zarbi ! Elle ne répondit, ni venu l’arroser. Anghis y monta son wigwam pour si abriter de cette être qui venait l’importuner, même s’il pouvait si retrouver dans son environnement. Changea de linge et si installa en sa couverture thermique, car nulle réponse ne venait lui indiquer quoi faire ou aller. Il sentait son corps épuisé de la grande montée qu’il avait exécuté durant le cycle soleil. Il attendait s’il elle ne reviendrait, c’est yeux commençait à si faire lourd, la mélodie si manifesta, mais, cette fois il la laissa être, l’accueillant, en y restant à l’écoute sur toute la nature, elle si harmonisait à celle de ce biotope qui lui répondait par sa symphonie nocturne et puis elle si arrête, il finit par reprendre son repos, aux paupières closes, par le chant des étoiles, accompagné de celle noctambule. Des bruits à l’extérieur le réveilla, il sortit de son wigwam pour voir ce que cela était, la lueur du jour si manifestait, mais, le soleil n’avait pas encore fait son apparition. Un petit être déplaçait des roches sur le bord du lac qui débutait le ruisseau. Anghis: Bonne ensoleillée à vous ! Le petit Être ne l’entendait même pas, continuant à déplacer les roches, comme s’il y était seul et que personne d’autre que lui ne se retrouvait là en ce lieu. Anghis se rapprocha doucement de lui. Anghis: Bonne ensoleillée à vous! Il répéta la même phrase, en murmurant, Anghis le regardait, s’il n’échangeait pas avec lui. Anghis vint pour parler de nouveau. Petit Être: Pas besoin de répéter, j’ai déjà replacé. Anghis: Vous nous n’aviez point répondu ! Petit être: Cela est inutile de s’exprimer ainsi, déconcentre l’oeuvre que j’y crée. Anghis: Nous ne voulons vous y déranger, simplement par politesse vous saluer ! Petit être: Cela est déjà exprimé ! Il tapait de son talon sur les roches. Anghis: À qui avons-nous le privilège de nous communiquer ainsi ? Petit être continua de déplacer des roches, sans répondre à sa question. Anghis: Cela est vraiment important pour vous, car vous y êtes important! Petit être s’arrêta un instant et repris son oeuvre. Anghis voyant qu’il s’était arrêté, repris: Est-ce vous qui avez tout positionné ces roches pour créer le ruisseau ? Il s’arrêta un instant: Le débit d’eau préserve le lac et Balourdise va être ravi. Il continua à déplacer les roches. Anghis: Est-ce celle qui y mélodies à la venu de la lune! Petit être: Avez-vous fait connaissance avec elle ? En espérance que vous ne l’avait pas interrompu durant sa sérénade! Anghis: L’interrompe, durant sa sérénade ? Petit être: Vous l’avez interrompu, étant sur le bord de ce bassin… Cela elle ne le tolère pas du tout, car sa sérénade harmonise l’eau et son écosystème, ce qu’on raconte. ! Évidemment, elle aime bien que tous l’écoutent, cette Balourdise. Anghis: Nous comprenons pourquoi, elle a réagi ainsi et qu’elle est venue m’arroser. Là je la reconnais ma douce ! Il sourit, C’est vraiment elle ! Il resta là fixe dans l’instant, à contempler le bassin d’eau, en s’entourant le corps de ses bras et se balançant, il fit un grand soupire. Voyant qu’il se faisait regarder; Oeuvrez, oeuvrez! Regardant Anghis dans les yeux: Désolé, je me nomme Aboiteau, Troll de la fraternité de Maroniaïs, responsable du bassin d’eau à la mer, mon devoir est d’assurer l’équilibre et que Balourdise puisse faire son oeuvre… Ahhh Balourdise ! Il reprit son sérieux. Qu’elle est le but de votre venue et de votre arrivée en ces lieux ? Anghis: La mélodie en celui du soleil ! Aboiteau, semblait contrarié: À oui, Cocci ! Anghis: Vous la connaissez ? Aboiteau: Effectivement que je la connais, en plus de l’entendre au soleil, Balourdise m’en parle en la lune! Anghis: Pourquoi cela ? Aboiteau: Douce Balourdise aimerait avoir la prestance de sa soeur Cocci, pour vénérer le soleil! Même si je lui explique que son rôle harmonise celle du cycle lune et que cela est dans sa nature, que Cocci n’a pas la capacité comme en celle pour la lune, elle perchiste à sortir du bassin… Elle a dû ressentir que vous êtes imprégner de la vibration de Cocci, cela si ressent ! Anghis: C’est la mélodie qui est venue en nous. Aboiteau: En accord avec vous, cela m’y est parvenu avec Balourdise… ©2013 Éditions Hara - Tous droits réservés
Posted on: Fri, 29 Nov 2013 16:32:45 +0000
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