En novembre prochain les citoyens Gabonais seront convoqués par les autorités actuelles du pays pour accomplir leur devoir par l’introduction d’un bulletin de vote dans l’urne afin de recomposer les conseils municipaux et départementaux. Le jour du scrutin sera alors le point culminant ( teste) d’une série d’étape dans le processus électoral du pays qui est encore marque par des tractations datant de 1990 à nos jours afin de démocratiser l’ensemble de ce système électoral. Les élections au Gabon n’étant pas LIBRES & TRANSPARENTES et surtout que les « résultats-verdicts » ne sont toujours pas acceptés de tous et par conséquences 1ères sources de contestation de celles-ci. A plus de 23 ans après la conférence nationale du pays, les citoyens Gabonais se demandent encore comment exorciser le pays des mœurs aux allures de coutume-traditionnelle de fraude à 100% savamment organisée par le pouvoir politique et administratif du régime BONGO-PDG ? La fraude électorale étant la source fondamentale d’une désaffection ( abstention) actuelle des citoyens qui ne croient plus à la sincérité des votes même par miracle car leurs souverainetés étant strictement bafouées dans la proclamation et l’imposition de résultats truqués à 100%. Au Gabon est-il utile d’aller au vote ? La biométrie louée par de belles louanges ne semblent pas par les sons de ses trompettes avoir exorcisé les démons de la triches au vu des profondes divisions reconnues même par les deux camps ( opposition & pouvoir ). Et ce n’est même pas aussi l’appel lancé par nos soi-disant opposants ( U.F.A.) pour l’enrôlement sur les listes électorales biométriques qui ont convaincu "tous les devenus" incroyants ayant perdu peut être à jamais la foi aux élections au Gabon, ce malgré le légé engouement des derniers jours d’inscription. La 1ère grande victoire de l’appel à l’enrôlement de nos opposants de l’U.F.A. est la reconnaissance ou la validation du pouvoir émergent ainsi que la confiance que ceux-ci portent à ses dirigeants d’ou leurs participations (...) Alors Ali BONGO ONDIMBA est devenu le président élu du Gabon en 2009, il faut aussi l’assumer ! Et pour les anti- élections aux mœurs PDGistes donc fraudés à 100%, le bas qui blesse n’est pas tant cette ridicule reconnaissance du pouvoir illégitime et illégal émergent mais est la participation à une comédie dont les dernières scènes tragiques se dérouleront comme de coutume chez madame veuve BONGO ONDIMBA de la cour constitutionnelle, au verdict à 100% BONGO-PDG. love you
Posted on: Thu, 19 Sep 2013 10:44:07 +0000
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