« FONDS SOUVERAIN GABONAIS DES FUTURES GENERATIONS » : MON POINT - TopicsExpress



          

« FONDS SOUVERAIN GABONAIS DES FUTURES GENERATIONS » : MON POINT DE VUE … A la façon des Bongos et leur royaume naissant, et le 12 février 2012, Ali Bongo créait le « Fonds souverain gabonais pour les futures générations ». Titre pompeux qui fait sourire plus d’une personne avertie par les turpitudes séculaires d’un régime politique dictatorial et prédateur, qui a fondé sa survie sur la spoliation du peuple d’un pays aux innombrables richesses (pétrole, bois, manganèse, uranium,fer, diamant, or, tentalite, marbre, faune, etc…). Titre qui fait couler les larmes ou qui fait remonter la colère à l’extrême quant l’on sait, pour un gabonais même de la rue, que depuis près d’un demi-siècle, Omar Bongo, parvenue au pouvoir par un jeux des forestiers français colonialistes, n’arrive pas à rendre heureux un peuple de moins de 1,6 million d’habitants, moins que la population de la ville de Douala au Cameroun voisin : ces générations présentes qui croulent sous la misère et la pauvreté inouïe. Quand Ali Bongo et le « gouvernement de Libreville »parlent de « Fonds Souverain Gabonais pour les générations futures, ça devient risible et ridicule d’en parler quant l’on sait ce que les Bongo ont semé comme désolation, misère et dépravation de mentalité au Gabon par la spoliation du peuple. Comment parler de « Fonds Souverain Gabonais pour les futures générations » quant l’on sait que les services de bases des générations existantes (Ecole pour tous, Santé, électricité et eaux) ne sont pas assurés. Comment parler de « Fonds Souverain Gabonais pour les futures générations » quant l’on sait que les Bongo n’ont cure de la redistribution de la richesse nationale, par des canaux institutionnels bien sur ; Car pour eux, le pétrole gabonais qui constitue plus de 60 % de la richesse nationale, de son budget, appartient à leur famille. Que l’on me pardonne ce que je dirai ici : si la famille Bongo , les apparatchicks du PDG, leurs ami(e)s et aigrefins sont aujourd’hui extrêmement riches, c’est grâce à l’argent de l’exploitation du pétrole et à ses revenus détournés par eux des décennies durant. Et, ce pétrole n’est pas dans le Haut-Ogooué où ils prétendent être originaires. Il est dans le reste du Gabon,et dans le littoral particulièrement (Ogooué-Maritime, Nyanga, Ngounié et Moyen-Ogooué, et peut-être demain dans l’Estuaire). Et, les populations de ces espaces où le pétrole est extrait depuis n’en ont jamais profité. Ils vivent dans laplus grande pauvreté et dans une plus que misère. Comment comprendre cela ? Convenons ensemble et c’est vrai, que le « Fonds Souverain Gabonais pour les futures générations » est une grave et grosse mascarade, une entourloupe… Ali Bongo, le fameux héritier de son père, le parti démocratique Gabonais compris, doit désormais arrêter ce crime… Qu’il sache que les populations d’où est extrait lepétrole sont désormais conscients de la supercherie miseen place depuis un demi-siècle par son père pour les spolier jusqu’à la dernière moelle… Plus que jamais, et désormais ,les compagnies exploitant le pétrole de notre pays doivent participer au développement de ces régions par leur participation par une « caution de redressement fiscale » ou une « caution d’équilibre de compte »qui relève des nombreux manquements de leur part et sous la pression des « charognards financiers de la république », pour améliorer les conditions de vie des populations spoliées. C’est profondément anormal que des charognards financiers au sommet de la république bananière du Gabon se goinfrent sans rappel à l’ordre de la richesse du pays, alors que les populations souffrent profondément, sont dans une misère considérable… Nous lançons un appel SOLENNEL à la France afin qu’elle prenne ses responsabilités, avant que nous ne parlions des après quelconques qui résulteraient du comportement d’un pouvoir dictatorial qu’il a placé à la tête du Gabon depuis le 17 août 1960. Le Peuple gabonais n’a rien contre le peuple français qui est le symbole de la démocratie et des libertés publiques à travers le monde. Le Peuple gabonais mérite, comme les autres peuples du monde de vivre dans la dignité. Nous prenons ici même le monde entier à témoin pour notre cri d’appel… Nous entendons dire çà et là, et depuis des années que « grâce au président Bongo… » que ceci ou cela s’est fait, que « grâce à Ali Bongo que les grands travaux ont enfin démarrés… ». Mais, enfin c’est du mensonge ! Il n’y a pas lieu de le dire, car les gabonais n’ont jamais demandé à cette famille ou à leurs ami(e)s de venir prendre des responsabilités politiques ou publiques ! Ils n’ont jamais été élus par le peuple gabonais, et la France leur mentor le sait ! Mais enfin, Monsieur Ali Bongo et le reste des« gouvernements de Libreville » savent bien, et très bien les procédures de financements des projets, surtout lorsque un Etats « n’a pas des moyens financiers » nécessaires à ses politiques publiques… Ce qui se passe aujourd’hui en termes de financement n’est que la résultante des projections des gouvernements antérieurs, c’est-à-dire sous Bongo père (je vous en entretiendrai preuves à l’appui ultérieurement). Je connais personnellement ces procédures, ce cheminement… Notre pays a trop pris un grand retard en termes de développement du fait de cette barbarie mentale implacable des Bongo et leurs ami(e)s, qui consiste à prendre tout un peuple en otage socialement depuis des décennies, en les spoliant de leurs richesses, pour en faire du bétail et mendiants politiques a dvitam eternam. Je vous invite à prendre connaissance de l’article « L’Afrique centrale remonte en puissance. Les nouvelles découvertes de l’offshore profond attirent les investisseurs dans la sous-région… », de Jeune Afrique (n°2750 du 22 au 29 septembre 2013) ;lien suivant : la boutiquejeuneafrique/product.php?id_product=364, pour comprendre la motivation du PDG (parti démocratique gabonais) de vouloirs’éterniser au pouvoir à n’importe quel prix… Le Peuple gabonais aspire à une autre politique respectueuse de leur volonté, respectueuse de la Loi fondamentale qu’il s’est donné en 1991 suite à la tenue de la Conférence Nationale. Il ne faut pas que la France vienne jouer au pompier quand la situation s’emballera et se compliquera, et nous l’avertissons.Car, les Gabonais ont maintenant marre de cet esclavage d’un genre nouveau qui leur est imposé depuis l’avènement du dictateur Bongo au pouvoir, et l’ »héritage »du pouvoir qui lui a été imposé par l’extérieur par l’intronisation du fils du dictateur au sommet des institutions du Gabon. Le Gabon appartient au Peuple Gabonais. Il n’est pas la propriété des Bongos et autres personnes et forces qui le prétendent… Ali Bongo et ses ami(e)s doivent désormais comprendre qu’il est temps de partir ! Qu’ils se souviennent d’autres dictatures qui sont tombées après des décennies de règne de racket de leurs Peuples… En toute chose, il y a un début et une fin… du pouvoir qui lui a été imposé par l’extérieur par l’intronisation du fils du dictateur au sommet des institutions du Gabon. Le Gabon appartient au Peuple Gabonais. Il n’est pas la propriété des Bongos et autres personnes et forces qui le prétendent… Ali Bongo et ses ami(e)s doivent désormais comprendre qu’il est temps de partir ! Qu’ils se souviennent d’autres dictatures qui sont tombées après des décennies de règne de racket de leurs Peuples… En toute chose, il y a un début et une fin… A bon entendeur salut ! « FONDS SOUVERAIN GABONAIS DES FUTURES GENERATIONS » : MON POINT DE VUE … A la façon des Bongos et leur royaume naissant, et le 12 février 2012, Ali Bongo créait le « Fonds souverain gabonais pour les futures générations ». Titre pompeux qui fait sourire plus d’une personne avertie par les turpitudes séculaires d’un régime politique dictatorial et prédateur, qui a fondé sa survie sur la spoliation du peuple d’un pays aux innombrables richesses (pétrole, bois, manganèse, uranium,fer, diamant, or, tentalite, marbre, faune, etc…). Titre qui fait couler les larmes ou qui fait remonter la colère à l’extrême quant l’on sait, pour un gabonais même de la rue, que depuis près d’un demi-siècle, Omar Bongo, parvenue au pouvoir par un jeux des forestiers français colonialistes, n’arrive pas à rendre heureux un peuple de moins de 1,6 million d’habitants, moins que la population de la ville de Douala au Cameroun voisin : ces générations présentes qui croulent sous la misère et la pauvreté inouïe. Quand Ali Bongo et le « gouvernement de Libreville »parlent de « Fonds Souverain Gabonais pour les générations futures, ça devient risible et ridicule d’en parler quant l’on sait ce que les Bongo ont semé comme désolation, misère et dépravation de mentalité au Gabon par la spoliation du peuple. Comment parler de « Fonds Souverain Gabonais pour les futures générations » quant l’on sait que les services de bases des générations existantes (Ecole pour tous, Santé, électricité et eaux) ne sont pas assurés. Comment parler de « Fonds Souverain Gabonais pour les futures générations » quant l’on sait que les Bongo n’ont cure de la redistribution de la richesse nationale, par des canaux institutionnels bien sur ; Car pour eux, le pétrole gabonais qui constitue plus de 60 % de la richesse nationale, de son budget, appartient à leur famille. Que l’on me pardonne ce que je dirai ici : si la famille Bongo , les apparatchicks du PDG, leurs ami(e)s et aigrefins sont aujourd’hui extrêmement riches, c’est grâce à l’argent de l’exploitation du pétrole et à ses revenus détournés par eux des décennies durant. Et, ce pétrole n’est pas dans le Haut-Ogooué où ils prétendent être originaires. Il est dans le reste du Gabon,et dans le littoral particulièrement (Ogooué-Maritime, Nyanga, Ngounié et Moyen-Ogooué, et peut-être demain dans l’Estuaire). Et, les populations de ces espaces où le pétrole est extrait depuis n’en ont jamais profité. Ils vivent dans laplus grande pauvreté et dans une plus que misère. Comment comprendre cela ? Convenons ensemble et c’est vrai, que le « Fonds Souverain Gabonais pour les futures générations » est une grave et grosse mascarade, une entourloupe… Ali Bongo, le fameux héritier de son père, le parti démocratique Gabonais compris, doit désormais arrêter ce crime… Qu’il sache que les populations d’où est extrait lepétrole sont désormais conscients de la supercherie miseen place depuis un demi-siècle par son père pour les spolier jusqu’à la dernière moelle… Plus que jamais, et désormais ,les compagnies exploitant le pétrole de notre pays doivent participer au développement de ces régions par leur participation par une « caution de redressement fiscale » ou une « caution d’équilibre de compte »qui relève des nombreux manquements de leur part et sous la pression des « charognards financiers de la république », pour améliorer les conditions de vie des populations spoliées. C’est profondément anormal que des charognards financiers au sommet de la république bananière du Gabon se goinfrent sans rappel à l’ordre de la richesse du pays, alors que les populations souffrent profondément, sont dans une misère considérable… Nous lançons un appel SOLENNEL à la France afin qu’elle prenne ses responsabilités, avant que nous ne parlions des après quelconques qui résulteraient du comportement d’un pouvoir dictatorial qu’il a placé à la tête du Gabon depuis le 17 août 1960. Le Peuple gabonais n’a rien contre le peuple français qui est le symbole de la démocratie et des libertés publiques à travers le monde. Le Peuple gabonais mérite, comme les autres peuples du monde de vivre dans la dignité. Nous prenons ici même le monde entier à témoin pour notre cri d’appel… Nous entendons dire çà et là, et depuis des années que « grâce au président Bongo… » que ceci ou cela s’est fait, que « grâce à Ali Bongo que les grands travaux ont enfin démarrés… ». Mais, enfin c’est du mensonge ! Il n’y a pas lieu de le dire, car les gabonais n’ont jamais demandé à cette famille ou à leurs ami(e)s de venir prendre des responsabilités politiques ou publiques ! Ils n’ont jamais été élus par le peuple gabonais, et la France leur mentor le sait ! Mais enfin, Monsieur Ali Bongo et le reste des« gouvernements de Libreville » savent bien, et très bien les procédures de financements des projets, surtout lorsque un Etats « n’a pas des moyens financiers » nécessaires à ses politiques publiques… Ce qui se passe aujourd’hui en termes de financement n’est que la résultante des projections des gouvernements antérieurs, c’est-à-dire sous Bongo père (je vous en entretiendrai preuves à l’appui ultérieurement). Je connais personnellement ces procédures, ce cheminement… Notre pays a trop pris un grand retard en termes de développement du fait de cette barbarie mentale implacable des Bongo et leurs ami(e)s, qui consiste à prendre tout un peuple en otage socialement depuis des décennies, en les spoliant de leurs richesses, pour en faire du bétail et mendiants politiques a dvitam eternam. Je vous invite à prendre connaissance de l’article « L’Afrique centrale remonte en puissance. Les nouvelles découvertes de l’offshore profond attirent les investisseurs dans la sous-région… », de Jeune Afrique (n°2750 du 22 au 29 septembre 2013) ;lien suivant : la boutiquejeuneafrique/product.php?id_product=364, pour comprendre la motivation du PDG (parti démocratique gabonais) de vouloirs’éterniser au pouvoir à n’importe quel prix… Le Peuple gabonais aspire à une autre politique respectueuse de leur volonté, respectueuse de la Loi fondamentale qu’il s’est donné en 1991 suite à la tenue de la Conférence Nationale. Il ne faut pas que la France vienne jouer au pompier quand la situation s’emballera et se compliquera, et nous l’avertissons.Car, les Gabonais ont maintenant marre de cet esclavage d’un genre nouveau qui leur est imposé depuis l’avènement du dictateur Bongo au pouvoir, et l’ »héritage »du pouvoir qui lui a été imposé par l’extérieur par l’intronisation du fils du dictateur au sommet des institutions du Gabon. Le Gabon appartient au Peuple Gabonais. Il n’est pas la propriété des Bongos et autres personnes et forces qui le prétendent… Ali Bongo et ses ami(e)s doivent désormais comprendre qu’il est temps de partir ! Qu’ils se souviennent d’autres dictatures qui sont tombées après des décennies de règne de racket de leurs Peuples… En toute chose, il y a un début et une fin… du pouvoir qui lui a été imposé par l’extérieur par l’intronisation du fils du dictateur au sommet des institutions du Gabon. Le Gabon appartient au Peuple Gabonais. Il n’est pas la propriété des Bongos et autres personnes et forces qui le prétendent… Ali Bongo et ses ami(e)s doivent désormais comprendre qu’il est temps de partir ! Qu’ils se souviennent d’autres dictatures qui sont tombées après des décennies de règne de racket de leurs Peuples… En toute chose, il y a un début et une fin… A bon entendeur salut ! laboutiquejeuneafrique/product.php?id_product=364
Posted on: Thu, 26 Sep 2013 22:40:46 +0000

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