Gisele Bauget 16 octobre 12:45 L’outre-mer s’enfonce dans la - TopicsExpress



          

Gisele Bauget 16 octobre 12:45 L’outre-mer s’enfonce dans la violence, au point que certains départements, comme la Guadeloupe ou la Guyane, figurent en tête du classement des zones les plus touchées par la délinquance, devançant la Seine Saint Denis ou la Corse. On peut bien entendu invoquer la crise et le chômage, éternels arguments de nos sociologues, on peut également expliquer que la drogue et les trafics en tout genre gangrènent ces départements, mais la véritable origine de cette violence quotidienne reste une immigration incontrôlée, qui atteint des proportions ahurissantes. On assiste depuis des années à une déferlante ininterrompue d’Haïtiens et de Dominicains en Guadeloupe, de Surinamiens et de Brésiliens en Guyane et de Comoriens à Mayotte, où plus de 30% de la population sont des clandestins ! Non seulement tous les déshérités des pays voisins viennent gonfler le flot des assistés, mais chaque année ce sont des milliers de femmes qui viennent accoucher dans ces départements eldorados, pour y bénéficier du droit du sol et de la manne sociale qui en découle en devenant inexpulsables. Mais nos gouvernants ont toujours refusé de mettre fin à ce détournement du droit du sol, qui fait que les premières maternités de France ne se trouvent pas en Métropole mais outre-mer ! Dans ces conditions, il est illusoire de vouloir lutter contre la délinquance. En son temps, François Baroin, de retour d’un voyage à Mayotte, avait proposé la suppression du droit du sol dans ce département submergé par les Comoriennes venues y accoucher. Proposition de bon sens, mais ce fut un tel tollé à droite comme à gauche, que le sujet fut enterré en trois jours. On ne peut guérir un mal sans s’attaquer à la racine. La violence outre-mer, nous l’importons en fermant les yeux sur une immigration illégale massive, attirée par nos largesses sociales distribuées à tout va. Et le voyage de Manuel Valls aux Antilles pour endiguer la violence, n’aura strictement aucun effet. Dans six mois, dans un an, il y aura toujours plus de clandestins, donc davantage de délinquants. La seule solution est de supprimer le droit du sol et l’accès au social à tous les clandestins. Mais nos politiques ne s’y résoudront jamais. Jacques Guillemain
Posted on: Wed, 16 Oct 2013 10:47:43 +0000

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