INFO)))))): PLUS JAMAIS CA AU CONGO BRAZZAVILLE. IL Y A 16 ANS – LES RECONNAISSEZ-VOUS TOUS CES BANDITS QUI ONT TUÉ LA DÉMOCRATIE ET POURQUOI DISPARAISSENT-ILS UN À UN? – 25 oct 1997 D.S.N=DENIS SOUILLE LA NATION : UNE LONGUE NUIT COMMENCE POUR LE CONGO. Devant le clan, la françafrique chiraquienne et l’Angola seuls détenteurs du pouvoir arraché à Lissouba Pascal en fuite, moi, Denis Sassou Nguesso IV khani de Oyo_Alima, je jure solennellement : - De respecter et de défendre la forme tribale de l’État; - De remplir loyalement les hautes fonctions du tyran qui viennent de m’être confiées; - De ne pas garantir le respect des droits fondamentaux de la personne humaine et des libertés publiques; - De garantir au clan, aux miens et à tous les cobras le pillage, le vol et l’impunité; - De rétablir, renforcer et préserver l’unité du Nord en opposant ses fils contre ceux du Sud qui les persécuteront s’il m’était arrivé de perdre à nouveau le pouvoir Voilà comment, Sassou Nguesso a savouré sa victoire de la guerre coup d’État déclenchée le 5 juin 1997. D’après Ololo Letsingui Aurseth et Asie Dominique De Marseille du journal Le Choc N°49 du 10 au 20 novembre 1997, Sassou Nguesso ne serait pas arrivé à son but s’il n’avait pas à ses côtés quelques traitres et rebelles qui avaient infiltré le pouvoir de Lissouba Pascal. Nuits et jours, durant les 4 mois et 10 jours soit 19 semaines représentant 133 jours, Sassou Nguesso avait à ses côtés’ Jean Marie Tassoua, beau frère par alliance de Pascal Lissouba, qui s’était illustré par le pseudo du général Giap, aujourd’hui dans l’anonymat bien que dans le système : après s’être bien servi. Et comme dans la vie il y a toujours des gens qui ne savent pas tirer de leçon, on a vu dans le commandement de cette rébellion un certain Yves Motando, celui là même que Sassou avait failli faire exécute en l’accusant comme étant l’assassin de Marien Ngouabi : comme chef d’état Major, mais aujourd’hui disparu dans des conditions que tout un chacun pourra interpréter comme il le veut en pensant à d’autres encore, le DPGA Norbert Dabira son adjoint. Le général Niombéla alias Jim, nommé par Lissouba, Aaron Kakou, le colonel Yvon Ndolou, Douma et Philippe Longonda qui était pourtant négociateur, furent les membres influent de cet état major. On citera en outre des spécialistes comme : le colonel Mondzo, chargé des chars, les colonel Ondziel de la gendarmerie qui n’avait pas voulu resté en marge, le colonel Denguet, policier de son état avait en charge les frontières et l’avant gardiste arrière comme on aimait l’appeler, le colonel Oninagué. La milice qui était réactivée était sous la direction du colonel Ibombot, le colonel François Mpan intiétiéri avait les rênes des collines de Moukondo et sans oublier, le téméraire colonel Jacques Morlendé qui n’avait pas de temps à perdre, même en face d’un frère qui n’était pas dans son cas et qui ne lui voulait pas de mal. Pour reprendre les mots et qualificatifs de nos deux journalistes, l’homme de tous les maux, le colonel Joseph Noel Ondongo, le patron des cobras est à associer à la compagnie Bravo qui avait le contrôle de l’aéroport et du plateau avec le colonel Mouhâni, le colonel Adoua, disparu il n’y a pas si longtemps, cette année, combattait au centre ville où il était arrivé le premier au palais du plateau. Dans les fronts Nord, il y a eu le colonel Ombeli qui avait en charge la caserne de Gamboma, L’homme des coup tordus, le colonel Benoît Moundélé Ngolo a commencé à fantasmer lorsqu’il s’était lancé avec deux autres colonels, Engobo et Bokemba à la conquête de Owando fief de Yhombi Opango qui avait appris l’exécution de ses parents dont les corps sont restés dans la rue. Florent Tsiba étaient en mission occulte pour les trois grandes villes du NIBOLAND (Dolisie, Loudima, Bouansa), le colonel Issongo avait rejoint Marcel Ntsourou à Pointe Noire. A tous ces traitres et rebelles, il faut aussi nommer le cdt Daniel Iloki qui contrôlait la cité des 17, cdt Akouabossi qui utilisait le silencieux, le cdt à la barbe blanche, Nianga-Mbouala présent partout, le cdt Okoï qui était au four et au moulin et le cdt Otabo le génie qui était chargé de l’électricité et de l’eau. Eyala Ngoli de Gamboma et Aloïse Amboulou spécialisé dans les chars étaient aussi auc côtés de leur chef. Des civils comme Willy Matsanga qui est à l’origine de l’assassinat de Herbert Massamba, a utilisé le mobil one de l’ambassade des USA, pour faire la navette sur tous les fronts. Willy Matsanga s’est même rendu à Kinshasa où il avait pour mission d’assassiner les opposants qu’y trouvait mais, lui même avait fini par se faire arrêter pour finalement être libérer après des tractations entre les pouvoirs de Sassou et Kabila fils. Morel Kiouzou s’est aussi illustré comme cobra, sans oublier naturellement Okombi Salissa le coordo du CADD-MJ qui était au front de la DST et Radio Congo.
Posted on: Wed, 30 Oct 2013 23:42:26 +0000