La demande pour les services d’un courtier augmente Conseils - TopicsExpress



          

La demande pour les services d’un courtier augmente Conseils juil 24, 2013 Par Jonathan Whiting Vous le savez peut-être ou pas, mais davantage de gens choisissent d’utiliser les services d’un courtier qu’auparavant. Parallèlement à la demande accrue pour les courtiers, l’on assiste au phénomène de la démocratisation de l’information, i.e. une plus grande accessibilité à l’Internet, le facteur Google, et la tendance générale des consommateurs à choisir comment et quand acheter divers produits. Lorsque vous analysez les statistiques concernant l’utilisation d’Internet et la demande pour les services des courtiers, l’histoire insoupçonnée se révèle un peu plus.Jonathan Whiting Commençons par le nombre d’acheteurs de maisons travaillant avec des courtiers, tel que publié dans un rapport américain publié sur le site Realtor.org. En 2001, environ 69 pour cent de tous les acheteurs de maisons ont fait affaire avec un courtier. En 2012, ce chiffre a effectué une remontée assez spectaculaire, passant à 89 pour cent, selon l’Association nationale des courtiers (ANC). Une énorme remontée de 20 pour cent. C’est une très bonne nouvelle également pour le secteur de l’immobilier canadien. Après toute une série de mauvaises nouvelles concernant l’incertitude de l’économie, au cours des quatre dernières années, parallèlement au développement général des services d’information en ligne, il est raisonnable d’avoir cru à un futur plutôt morose pour les courtiers, dans le marché de l’immobilier. Les chiffres ne reflètent absolument pas cette situation, et l’histoire ne s’arrête pas là. La demande accrue pour les services des courtiers peut être reliée à un facteur relativement surprenant. La population grandissante des acheteurs de maisons qui utilisent l’Internet et la technologie pour effectuer leurs recherches, notamment. Une étude analysant le profil typique des acheteurs et des vendeurs de maisons, effectuée en 2012 par l’ANC, a révélé que les acheteurs qui utilisaient l’Internet avaient beaucoup plus tendance à utiliser les services d’un courtier. Pour être plus précis, environ 20 pour cent d’entre eux. Ce fait contredit un peu la perception commune à l’effet que plus l’acheteur potentiel a accès à davantage d’informations en ligne, moins il aura besoin de faire affaire avec un courtier. Dans la réalité, « 91 pour cent des acheteurs de maisons qui ont utilisé l’Internet pour effectuer leurs recherches de maisons, ont acheté la leur par le biais d’un courtier, comme l’ont fait 71 pour cent des gens qui n’ont pas utilisé l’Internet », révèle cette étude. Les données diffusées par le Parlement du Canada révèlent que depuis 2000, l’utilisation de l’Internet s’est accrue de 35 pour cent, au Canada. Aujourd’hui, 80 pour cent des Canadiens qui utilisent des téléphones portables ont des téléphones intelligents, et 93 pour cent des Canadiens utilisent des services en ligne pour obtenir de l’information sur divers produits. Ces toutes dernières statistiques dévoilent un contenu fort intéressant. L’habileté des Canadiens pour effectuer des recherches de maisons en ligne s’est traduite à la fois dans leurs actions et dans leurs décisions. Ils aiment utiliser l’Internet pour trouver des informations sur la maison visée et les courtiers eux-mêmes, au moment d’acheter. De façon évidente, la plus grande valeur que procure les courtiers aux acheteurs de maisons, c’est ce sentiment particulier de sécurité que les acheteurs éprouvent, sachant qu’avec des conseils judicieux, ils prennent la bonne décision et que la transaction qu’ils effectuent a été bien ficelée. Avec la croissance irrémédiable de l’accessibilité à l’information en ligne, les acheteurs se rendent compte à quel point toutes les informations sont véritablement disponibles et ils reconnaissent également la pertinence de l’expertise du courtier dans cette démarche à la fois importante et complexe. Selon l’ANC, 87 pour cent des acheteurs sondés estimaient que les courtiers constituaient une source d’information très valable. Une autre étude, menée par la firme de sondage Mustel Group Market Research, affirme que les acheteurs de maisons croient que la principale valeur ajoutée des courtiers est leur capacité à gérer les détails et à négocier le meilleur prix possible. L’on peut donc conclure de tout cela qu’avec les avancées irréversibles de la technologie, les acheteurs de maisons canadiens font tout de même appel aux services des courtiers. Cela n’exclut évidemment pas certaines incertitudes. Mais il n’en demeure pas moins que les chiffres révélés par ces études confirment une forte demande pour les services des courtiers, notamment par l’un des groupes de consommateurs les plus prometteurs, i.e. les jeunes qui émergent dans le marché. Les jeunes acheteurs de maisons canadiens qui utilisent l’Internet sont ceux qui font le plus affaire avec des courtiers. Le futur des courtiers immobiliers du Canada s’annonce remarquablement bien. Jonathan Withing est partenaire fondateur du site StreetText, une plateforme Web de message texte et de marketing par Internet qui dessert les courtiers immobiliers canadiens et les courtiers hypothécaires, d’un océan à l’autre.
Posted on: Sat, 14 Sep 2013 10:43:47 +0000

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