Le Petit Edito à 50 comme à 18 A ce titre, tout en nombres - TopicsExpress



          

Le Petit Edito à 50 comme à 18 A ce titre, tout en nombres exprimés, il me faut, par quelques mots vous l’expliquer. L’avantage d’habiter sous les tropiques, dans ce genre de Pays bien atypique, nous offre quelques soirées épiques. Non que dans l’hémisphère Nord, les gens ne soient plus en accord, mais recommencer ces 18 ans à pas loin de 50 ans, reste quelque chose d’extravagant et d’ici toujours présent. Le week end commence bien souvent le jeudi, non pas que personne ne travaille le vendredi, mais tant pis pour cette journée, elle se passera somme toute fatiguée. Comment vous faire comprendre les folles soirées, quelques peu alcoolisées, ou de 10 à 100 convives, tout s’enchaîne jusqu’à la dérive. Il est sur qu’encore pour ce Petit Edito, rien ne sera mieux que quelques photos, et peut être même une petite vidéo (toujours le travail de Megane). Que tous nos amis nous le pardonnent, nous ne voudrions pas qu’ils nous abandonnent, à cause de quelques « gamelles » qui les suivront, sachant que ceci n’est pas délation mais juste narration. Il y a dans chaque cliché, beaucoup d’Amis qui nous ont quittés, mais dans nos cœurs toujours présents, ils resteront toujours de grands enfants, qui de chaque instant, chaque moment, les ont rendus flamboyants. De fêtes d’anniversaire en Veloma (départ – prononcez Vélouma) déchirants, tout n’est que constant et surtout pas dégradant. Elles sont déguisées, imprévues, sur Tana ou en bord de mer, mais le plus intéressant ici, c’est qu’à la fin du compte, elles ne sont pas chères. Elles commencent toujours sobrement, assez distinguées, plutôt genre Jet Set Tananarivienne, puis de fil en aiguille (il serait plus convenable de dire de Mojitos en verres de vin) l’ambiance dérive sur des musiques saccadées et peuvent se laisser porter jusqu’à la matinée. Elles peuvent, néanmoins, être totalement impromptues, partir en famille au restaurant le dimanche midi, les Patrons sont des Amis, quoi de plus normal que de prendre l’apéritif, quelques bonnes bouteilles et le digestif. Elles peuvent être humides, si par malheur, une piscine est à porté de plongeon, comme votre serviteur vous comprendrez la leçon. Elles peuvent être complètement déjantées, emplies de frénésies, de rock and roll et de tubes des années 80. En fin de compte, elles sont toujours extraordinaires, imbibées d’Amitiés et d’une ivresse juste sincère. Elles ne pourraient être aussi belles, sans les gens qui y participent, et pour ceci je leur dit Merci, car ce sont d’eux que j’inspire mes écrits. Même ceux qui sont partis, retournés dans leur Pays, le savent bien, dans un coin de leur mémoire, il restera toujours ces images de folies des grandes fêtes de Tananarive. Je laisse maintenant les mots aux clichés, m’excusant de nouveau de vous dénoncer !!! (Un grand quotidien avait pour slogan : Le poids des mots, le choc des photos ! Attention pour certains la chute sera sévère !!!) Allez Bonne journée à tous !!! « Le récit de la fête est la moitié de la fête. » Proverbe tadjik
Posted on: Wed, 04 Sep 2013 04:18:52 +0000

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