Lisez ça : Je sortais des cours plus tôt que toi, mes amis nétaient plus là, ils devaient faire quelque chose, je me suis retrouvée seule, pendant deux heures je devais attendre le bus de linternat. Il faisait assez froid en fin novembre. Cette année nous navions pas dexamens. Cétait assez étrange, mais tout le monde appréhendais. Surtout toi, car ton anniversaire tombe durant les examens. Je me baladais dans les rues, cherchant un coin pour pouvoir me réchauffer de ce froid ténébreux. Je tenais une cigarette entre mon index et mon majeur, jhumectais la fumée, et je la regardais sévaporer dans lair glacial. Quand un garçon est venu vers moi et ma demandé mon briquet. Tu sais, il était beau mais moins que toi. Et son visage me disait quelque chose, il avait lair seul, comme moi. Ses cheveux bouclés, et ses yeux vert brillaient dans le froid. Son manteau qui recouvraient tout son corps, ouvert avec une grosse écharpe blanche qui recouvrait, elle, son coup. Il me regardait, il mavait sourit. Cétait beau. Javais toujours été folle de ce garçon, tu le sais toi même. Et cest là quil ma regardé, et ma dit: “Tu es seul?” Je lui ai répondu que oui, que javais fort froid. Il ma demandé alors si je voulais aller boire un chocolat chaud. Jai accepté, je ne tenais plus sous ce froid. Quand on était installé, il ma dit:“Moi cest Harry.” Jai souris, car je savais son prénom, mais jadorais lentendre, mais cest dingue car dans mon rêve, il parlait français. Je lui ai alors dit le mien. Et on a commencé à parler de tout et nimporte quoi. Cétait chouette, mais chaque fois je regardais lheure de mon téléphone pour ne pas rater lheure pour venir revoir ton joli sourire et venir te raconter mon après-midi. Mais mon téléphone est resté coincé sur 15h45, cétait bizarre. Et je ne savais plus lheure. Et je nai pas su venir voir ton joli sourire. Et je nai pas su venir te raconter mon après-midi. Pendant un moment jétais dans linconscient, tu menvoyais pleins de message, S. aussi mais je narrivais pas à répondre. Et là tu mas téléphoné et je nai pas su répondre. Je narrivais pas à prendre mon téléphone, je buvais toute les paroles quil me disait, je rigolais à toute les blagues quil me racontait. Je lui ai alors demandé lheure. Il ma répondu quil était 16h43 jai été paniquée puis je me suis rappelée quen fait nous nétions plus ensemble, que tu mavais quitté pour elle, que tu laimais, et que depuis le début cétait elle que tu aimais. Et à ce moment là jai retiré mon manteau, car jétais entrain de rêver, tu ne mavais jamais bombardé de message, que même S. ne lavait pas fait. Je me suis rappelée que je tavais vu sortir de la douche avec elle quand jétais venu toffrir un magnifique cadeau pour nos onze mois. Je me suis rappelée que tu étais partis, je me suis rappelée de mes démons. Harry a vu mes bracelets, le Chanel en particulier, javais oublier mes cicatrices durant un moment et il les a vu. Il ma dit de sortir, de lattendre en dehors du café, quil payait et quil arrivait. Et là jai regarder ma montre, 20h34, linternat était fermée, je navais nul part où dormir. Juste la rue. Quand Il est sortit, il a passé son bras au dessus de mes épaules, il ma donner son manteau, quelque chose que peu de personne avaient fait pour moi. Et la je lui ai dis: “ Des millions de filles voudraient être à ma place et moi je nen ai pas envie.” Il ma dit: “Je sais ce dont tu as envie. Tu as envie de mourir.” Et là, silence. Il ny avait que ça qui rainait. Un silence et les paroles des gens qui se baladaient. Il a prit ma main et là serrer fort. Aussi fort quil pouvait. On est monté dans sa voiture, il ma tendu une cigarette, il en a prit une lui aussi, il a ouvert les carreaux, il a allumé la radio, cétait “Free Falling de John Mayer” qui passait. Je me sentais éternel, je me sentais belle, je me sentais revivre depuis quelques semaines. Il me sauvait mais javais peur quaprès ce soir on nallait plus se revoir. Cest la que jai pris mon téléphone et que jai envoyé un message à S., lui dire que je ne rentrerais pas et quelle ne sinquiète pas, que jallais bien. Harry sest mis à chanté, cétait beau. Cétait un rêve. Je lui ai demandé où il memmenait. Il ma dit:“ Je temmène loin de lui, loin de tes démons.” Je lui ai dit:“Tu vas me laissé la-bas?” Il ma répondu quaprès il allait me ramener pour moi dormir. Je lui ai alors dis que je navais nulle part où dormir aujourdhui car mon internat était fermé maintenant. Nous sommes allés à la citadelle tout les deux, le plus haut possible, Namur rayonnait sous les lumières magnifiques de la nuit. Jai regardé le paysage, javais les larmes aux yeux, puis, après, je me souviens lavoir regardé lui, je me souviens tavoir vu à sa place. Je me souviens avoir eu envie de le serrer dans mes bras, de lui dire que je laimais car il me sauvait la vie en ce moment, que sil navait pas apparu dans ma vie, jaurais fais une connerie ce soir là. Je lai regardé, jai souris, il était juste à coté de moi, et je nai pas compris ce que je devais faire. Il continuait à regardé le paysage et les yeux scintillant il ma dit: “Hurle, vas y, fait-le, libère toi.” Alors je me suis mise à hurler, le plus fort possible, je mépoumonais, et, quand jeus finis, je lai regardé, il ma sourit et il ma serrer dans ses bras. Il ma dit que la vie était belle, que jétais belle. Quand on sest assis sur le banc juste à coté, cest moi qui lui ai passé une cigarette, cétait merveilleux, je navais jamais autant apprécié une cigarette, je toubliais, avec lui, comme tu mas oublié avec elle. Mais tu laimes, et moi je ladore car maintenant sans lui je ne pourrais plus rien faire. Car il ma sauvé la vie, et il ma dit que plus jamais il ne mabandonnerait, quaprès chaque jour décole il serait là à mattendre, que maintenant il avait peur pour moi, et quil allait arrêté mes démons. On est repartit ensuite jusque chez lui, il ma dit que je pouvais emprunté le canapé et que demain il ne me conduirait pas en cour. Quil devait me sauvé. Je lai serrer dans mes bras, et je lai remercié pour tout ce quil venait de faire en même pas 24h, cest là que je me suis dis que ce nétait plus mon idole, que cétait mon ami, que tu nétais plus là, que tu ne mavais jamais promis daussi belle chose, que tu navais jamais rien fais pour moi. Et là je me suis réveillée et personne ne mavait aidé. [Via: Ne perds jamais espoir ] OMG, cest juste parfait, la fan qui a écrit sa OMG ** #Julie
Posted on: Sat, 19 Oct 2013 22:04:23 +0000
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