L’islam ou le refus de s’assimiler à nos valeurs - TopicsExpress



          

L’islam ou le refus de s’assimiler à nos valeurs républicaines.. Publié le 10 octobre 2011 par Fabrice Letailleur - Article du nº 220 Un article daté du 4 octobre 2011 vient de paraître dans Le Monde et qui confirme que l’islam n’est pas soluble dans notre République Laïque. Cet article intitulé « Banlieue, islam, une enquête qui dérange » (1) nous apporte la preuve flagrante et inquiétante que notre République n’est plus l’exemple auquel se rattache une partie de la population d’origine musulmane, mais qu’elle est devenue un repoussoir. Nous avons laissé l’islam prendre le dessus dans des quartiers où il a pu prospérer à cause d’une trop grande concentration de personnes de confession musulmane et nous ne mesurons pas à quel point cette croyance religieuse porte atteinte au vivre ensemble et s’éloigne de plus en plus de la croyance envers nos valeurs républicaines. A Riposte Laïque cela fait des années que nous dénonçons la montée du communautarisme musulman et ses pratiques rétrogrades et archaïques contraires à l’intégration et à l’assimilation, démarches indispensables pour se sentir et devenir citoyen Français à part entière. Le politologue Gilles Kepel avait publié il y a 25 ans une enquête sur la naissance de l’islam en France qui portait le titre révélateur Les banlieues de l’islam et allait préfigurer ce qui se passe aujourd’hui dans des territoires abandonnés par la République et où l’islam s’est implanté avec ses codes, ses rites et ses modes de vie avec comme conséquence un repli identitaire et un refus de se fondre dans notre République. Il est revenu revisiter les cités populaires de Seine Saint Denis pour se rendre compte sur place comment avaient pu évoluer ces territoires de la République et comment y vivaient les habitants. Deux villes de banlieue parisienne, Clichy et Montfermeil sont devenues un terreau pour les islamistes et il sera très difficile de faire machine arrière sauf à repenser entièrement la politique de la ville ayant pour but de renoncer à la ghettoïsation et au regroupement par ethnies de population qui n’avaient pas vocation à vivre ensemble coupé des autres citoyens Français. Cette politique d’abandon et de renoncement des pouvoirs publics du fait d’une non maitrise des flux migratoires a laissé s’instaurer dans la République une vie parallèle aux conséquences incalculables sur le plan sociétal et sur le plan soit disant culturel. La culture de la diversité peut être acceptée, à la condition que celle-ci s’inscrive dans une volonté de s’assimiler au-delà de nos différences en respectant avant tout la culture du pays d’accueil. Le repli identitaire a eu pour conséquence de permettre à l’islam de conquérir des territoires livrés à eux-mêmes et sans attache réelle avec la population autochtone, malgré la volonté des élus d’en faire des citoyens républicains. Dans son article l’auteur tente d’expliquer le repli communautaire de la façon suivante : « Le sentiment de mise à l’écart a favorisé une « intensification » des pratiques religieuses, constate Gilles Kepel. Les indices en sont multiples. Une fréquentation des mosquées beaucoup plus régulière – les deux villes (60 000 habitants au total) comptent une dizaine de mosquées, aux profils extrêmement variés, pouvant accueillir jusqu’à 12 000 fidèles. Une pratique du ramadan presque systématique pour les hommes. Une conception extensible du halal, enfin, qui instaure une frontière morale entre ce qui est interdit et ce qui est autorisé, ligne de fracture valable pour les choix les plus intimes jusqu’à la vie sociale. » Dans ces deux villes nous avons constaté depuis les années 1990 à une réislamisation culturelle laquelle a creusé de plus en plus un fossé avec la population locale. Par exemple les enfants d’origine musulmane ne fréquentent plus les cantines scolaires, car celles-ci ne proposent pas de halal. Les pouvoirs publics ont laissé la police religieuse démanteler les réseaux du trafic de drogue dure ou tenter de le faire, qui a laissé place au trafic de cannabis, et comme l’explique Gilles Kepel ce combat contre la drogue dure a pu offrir « une légitimité sociale et rédemptrice » à l’islam. Les prières dans les rues , le port du voile intégral sont autant de manifestations qui prouvent que les islamistes veulent s’en prendre à notre modèle de civilisation et qu’ils testent en permanence notre résistance à leur offensive à laquelle nous devons répondre par la fermeté et la détermination à ne pas leur céder un pouce de terrain en leur faisant comprendre que les valeurs fondamentales qui font l’essence même de notre République ne seront jamais négociables. La limite de l’analyse de Gilles Kepel, c’est qu’il se refuse à voir que l’islam ne cherche pas l’assimilation, mais bien au contraire la conquête de nouveaux territoires ou les valeurs de la République seront remplacées par les préceptes de la charia ou cela sera possible de l’imposer. Malika Sorel, sociologue et membre du haut Conseil à l’intégration dans son livre « Le langage de la vérité »paru aux Éditions Mille et une nuits en avril 2011 estime que sur « l’intégration la France a fait trop de concessions et qu’il faut « rompre avec l’idéologie victimaire » en matière d’immigration. Elle dit aussi sur l’intégration : « L’insertion, c’est l’obligation de respecter les normes collectives d’une société, les règles du “bien-vivre ensemble”, même si l’on ne partage pas la même culture. C’est ce que font les expatriés français à l’étranger, par exemple. L’intégration, c’est plus profond : c’est le fait de se sentir concerné par une communauté de destin avec les Français. Cela se traduit, concrètement, par la transmission à ses propres descendants des fondamentaux qui composent le noyau identitaire français, ce que l’on nomme le legs ancestral. C’est un long processus qui, lorsqu’il réussit, aboutit à l’assimilation, concept qui a été victime d’un procès en sorcellerie tout à fait injustifié ! […] Sous la pression d’une minorité “bien-pensante”, nos dirigeants, droite et gauche confondues, ont renoncé à transmettre à ces populations les codes indispensables à leur intégration. Nous laissons s’implanter en France des communautés revendiquant des privilèges et s’excluant elles-mêmes de la nation. Ce qui, finalement, ne satisfait personne : ni les immigrés, convaincus qu’ils sont discriminés parce qu’on le leur répète, ni les Français, qui souffrent de ces désordres ». Elle dit également que « L ’État accorde la nationalité française à des personnes dont il n’est pas certain qu’elles soient véritablement intégrées ». Je rajouterai pour ma part que pour pouvoir s’intégrer, il faut en avoir le désir. Elle affirme aussi pour répondre à nos élites de gauche bien-pensantes : « L’octroi de la citoyenneté française doit venir valider la réussite du processus d’intégration, qui conduit à l’assimilation. Prétendre que l’on peut être français sans être porteur de l’identité française est mensonger, comme il est mensonger d’affirmer qu’octroyer le droit de vote aux étrangers favoriserait leur intégration. Le taux d’abstention est extrêmement élevé parmi les populations issues de l’immigration ». Je rejoins sur bien des points l’analyse de Malika Sorel, qui ne peut pas être soupçonnée d’être raciste, d’avoir compris que de vouloir être Français cela se méritait et que d’en accepter les valeurs essentielles en était indissociable. Ce qui n’est nullement l’objectif que s’est assigné l’islam dans les sociétés occidentales ou elle s’appuie sur les immigrés de confession musulmane pour propager son idéologie rétrograde et ségrégationniste. Il faut avoir conscience que les musulmans ne sont pas venus pour s’intégrer dans la société européenne (2). Leur objectif est la transformation de l’Europe en terre d’islam où seule la charia, la loi de l’islam, sera appliquée, et la France n’échappe pas à ce funeste dessein. Khomeiny l’a formulé sans ambigüité : « Gouverner le monde est le but de l’islam. » Cette déclaration pourrait être confirmée par tous ceux qui connaissent l’islam. Bassam Tibi, orientaliste et homme scientifique germano-syrien ajoutait : «Partout, où vivent des musulmans, l’Islam se proclame l’unique propriétaire légitime (les avis dissidents ne sont pas valides).» Quand est- ce que nos Gouvernants en prendront réellement la mesure et quand est ce qu’ils oseront imposer à ces idéologues islamistes la limite qu’ils ne doivent pas dépasser pour éviter que nous en arrivions à des affrontements communautaristes? Nous devons absolument reconquérir les territoires délaissés par la République en offrant à ces populations un avenir et un destin commun qui permettra que celles-ci ne réfugient pas dans l’obscurantisme négation même du vivre ensemble au-delà de nos différences. Fabrice LETAILLEUR
Posted on: Sat, 30 Nov 2013 12:27:40 +0000

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