Mohamed Mabrouk : Dimassi met bien en évidence lerreur qui a consisté à financer la consommation au lieu de financer des activités productives. Le dérapage du déficit extérieur depuis le 14 Janvier 2011 , soit plus de 10 milliards de Dinars partis en fumée dans la consommation, quil nous faut aujourdhui rembourser en demandant des nouveaux prêts. Le prétexte a été nous attendons les investisseurs, qui eux attendent la stabilité. Mais la stabilité, elle, attend le décollage économique. Cercle vicieux. Alors je continue à répéter ce que je répète depuis le 14 Janvier 2011: cest à lEtat denclencher la dynamique, avec des grands projets pilotes, pour enrayer cette descente aux enfers. Exemple: https://facebook/notes/mohamed-mabrouk/des-réformes-macro-économiques-keynésiennes-pour-la-tunisie/10150231379600746 Nattendez la solution ni des fmistes ni du Khalij ni de leurs experts locaux. Ces entités ont tout intérêt à voir léconomie Tunisienne senliser encore plus sous leur dictat. En définitive, lélite qui sest saisie du pouvoir après le 14 Janvier savère incapable de comprendre ça, opposition comprise. Il est désormais impossible pour moi de nier que lélite qui a conduit le pays sous Bourguiba était intellectuellement supérieure, y compris ce monsieur. Comparativement, leur bilan savère bien plus constructif. Par conséquent, la Tunisie va probablement encore ramer pendant qq années, jusquà larrivée de la prochaine génération aux commandes.
Posted on: Sat, 09 Nov 2013 18:28:18 +0000
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