Nouvelle publication 4 LES 1000 FACONS DE QUITTER UNE FEMME : Ou - TopicsExpress



          

Nouvelle publication 4 LES 1000 FACONS DE QUITTER UNE FEMME : Ou comment mon intuition m’a sauvé de la perfidie et de la manipulation des femmes. Je suis né en février, seule blond d’une famille de brun, la lune à due se reflétée sur la neige pour que ma peau soit si blanche. Mais non, pff, à Marseille il ne neige jamais, mais on aime blaguer. Oui de l’humour il nous en a fallu, car j’étais le vilain petit canard différent de la nichée. Alors mon père en grand philosophe disait que j’étais le fils du facteur. Autant crier ce que les gens pensent sans oser le dire, car ça les déstabilisent et ça soulage de se moquer de la bêtise. Celle dont le doute était le plus fort, a été ma grand-mère paternelle. Pour faire simple : elle m’a toujours détesté ! Sur son lit de mort, j’en suis certain, sa dernière pensée à du être pour moi. Alors qu’elle avait perdu la tête, qu’elle ne reconnaissait personne, elle a criée à mon père : « ramène-moi à ma chambre, vite, ggrrr ». Pourquoi ? Lors de sa promenade autour du village, j’ai croisé mon père qui poussait le fauteuil roulant. En bon petit fils, je me suis empressé d’embrasser ma grand-mère. Mon père aurai du se taire, ne pas dire, c’est Chris, ton petit fils, car ils auraient pu continuer la promenade tranquillement. Comme quoi…, la force de la haine…, MOI, elle m’avait reconnu !!! Et voulez-vous savoir le plus drôle ? De tous, c’est moi qui lui ressemblais le plus ! Sa famille était d’Alsace Loraine à l’origine et avait immigrés sous Napoléon III, pour ne pas être Allemand. Et dans ses contrées on trouve quoi : des blonds. Etre Marseillais paraissait comme un handicap : « vous les Marseillais…., vous êtes fainéants, …., voleurs,…..bandits, …., jamais sérieux…… » Et j’en passe. Arrêtez de rires ceux qui me lisent et se reconnaissent Toi !, au fond de la salle, je te regarde, attention, gggrrr. Enfant, très très timide, j’en avais honte et là, j’ai honte de l’avouer car (les répétitions c’est exprès, essayez de suivre, c’est moi, et c’est mon style, plloouuff.) Mais aprésssssssssssssssss, à l’armée notamment mmmmmmmm, j’en ai outrageusement profité, non pas pour raquêter, mais pour avoir la paix. Hé ! les amis, là vous me décevez, je me trompe de sujet (regardez le titre) et personne dit rien. Gros moment de solitude, snif, Bon je me remets ouff, et je reprends haaa, oui…, parlons des femmes et des façons de les quitter. Je ne perlerai pas des femmes d’un soir, des nymphos (oui j’en ai croisées), des « nous nous sommes trompés », et toutes celles qui sont passées trop vite. Je vous parlerai seulement de celles qui ont comptées. Celles que l’on doit quitter pour diverses raisons et que vous découvrirez. Mais pour être honnête, je pense que mon instinct de conservation, mon 6ème sens, mon intuition, appelons ça n’importe comment, mais Ça m’a protégé. Pour moi c’est l’esprit d’analyse dont chacun est doté, qui allume les alarmes. Le plus difficile c’est d’être attentif à ces petites lumières personnelles. J’ai essayé toute ma vie de développer cette possibilité du cerveau, qui arrive, à interpréter les petits détails de la vie vécus pendant la journée (souvent pendant le sommeil). Nous n’avons pas tous étudié les expressions des facies, l’interprétation du regard, et d’autre signes du comportement, des paroles, des intonations, et des gestes du quotidien, et j’en passe, (comme j’en suis certain, le magnétisme pas exemple). Cet enseignement suivi par les enquêteurs, certains recruteurs, etc… Mais nous avons tous un cerveau. Encore faut-il s’en servir, l’écouter, le décoder. Car tout n’est pas servi sur un plateau. Notre cerveau est le grand mystère qu’il reste à élucider. Mais il sait tout analyser. A vous de savoir chercher dans les emplacements où il range l’information. Le subconscient connait les réponses, bien avant que l’on en ait la révélation (quand on a la chance de l’avoir, cette révélation hé hé hé). Pour moi il n’y a pas de hasard. Du moins à partir d’un certain âge. C’est le fruit de nos expériences, de nos lectures, des sentiments ressentis, de nos joies, nos hontes, nos doutes, tout ce qui nous a construit jour après jour, additionnés à nos choix, qui guident nos pas vers notre destinée. Et non une force mystérieuse appelée Hasard, ou Destinée. Tout ça c’est nous ! Bon tout cela pour dire, que même lorsque vous lirez qu’une femme m’a quittée, il faudra lire : « j’ai fait en sorte qu’elle me quitte ».
Posted on: Sat, 03 Aug 2013 15:56:47 +0000

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