Oh toi mon beau brun ténébreux, Dès que tu as passé le pas de - TopicsExpress



          

Oh toi mon beau brun ténébreux, Dès que tu as passé le pas de la porte le premier jour, cest en baissant le regard que jai essayé de calmer mes ardeurs. Tout le monde se moquait de ton physique, et de ton cui très peu élevé, jétais alors la seule à tadmirer. Je men réjouissais, javais peur davoir de la concurrence. Malgré les critiques qui fusent à ton sujet, je ne peux mempêcher de toujours autant te désirer. Je te trouve tellement séduisant. Tes petites poignées damour me transmettent des images érotiques. Je rêve de cet instant ou en les agrippant, tu me comblera de ta bite disproportionnée. Jaurais beau crier de toutes mes forces, je sais que tu me démonteras comme jamais. Je nen doutes pas une seconde, jen suis persuadée. Cest à toi que je pense quand je me mets des doigts, et cest ton prénom qui réveille tout le quartier quand jatteins lorgasme. Ton regard envoûtant, ta bouche, tes lèvres et ta langue humide ne font quamplifier mon excitation. Jaimerais tellement que tu foute cette dernière dans mon vagin déjà si impatient. En cours, jessaie de me concentrer, mais quand tu te trouve dans mon champ de vision, je ne peux mempêcher de bloquer sur tes mains. Tes grosses mains boudinées qui jespère, me rempliront bientôt et parcourront mes seins tout aussi sauvagement. Quand tu me parle, ou que tu essaie de me faire rire avec tes blagues, cest encore pire, je me dandine sur ma chaise pour ne pas la mouiller. Parce que oui, je mouille ma petite culotte, quand discrètement, je tobserve démonter ton stylo 4 couleurs. Quest ce que jaimerais que tu me démonte comme tu démonte tes affaires scolaires. Jaimerais tellement que tu me mette des doigts de la manière dont tu les rentre dans ta colle. Ta façon débouriffer ta crinière de clochard me donne des chaleurs. Ton sourire me donne des frissons, et ton rire me fait planer. Tes kilos en trop et ta tête de défoncé le matin méblouis. Je me couche seule, dans lespoir quun jour cest sur ton torse bouillant que je pourrais reposer ma tête déjà bien arrosée dune violente faciale. Jaimerais te parler en face, pour tavouer ces sentiments si profonds, mais jai peur de ta réaction. Cest pas facile de nier que je rêve tous les soirs de ta bite dans mon cul. Mais si seulement jarrivais à trouver les mots justes, et si par pitié, jarrivais à les prononcer plus fort pour que tu nentende pas les battements de mon cœur saccélérer... Je ne serais pas difficile à distinguer, je suis la seule qui rougit quand tu parle, et qui te matte à longueur de journée. Je veux pas dun truc sérieux, juste que tu me soulage, ne serait-ce que quelques minutes, je veux me perdre dans ta graisse, et atteindre le 7eme ciel. Je veux que tu me comble de ton va et vient si orgasmique. Jai besoin de toi, ça en devient plus quurgent. Aurélien B. ; si tu me reconnais, nul besoin de faire du romantisme avec moi. Dis-moi seulement que tes chaud pour un plan cul, et on fera ça de suite et où tu veux. Je ten supplie, défonce moi la rondelle.
Posted on: Mon, 28 Oct 2013 12:15:46 +0000

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