*PUB* Prologue. J’ai longuement réfléchie à la conception - TopicsExpress



          

*PUB* Prologue. J’ai longuement réfléchie à la conception du bonheur. Qu’est ce que le bonheur ? Est-il universelle ? Je ne pense pas. Le bonheur est différent selon chaque personne et chaque individu a sa propre définition. Pour certain cela peut être trois miettes de pain, pour d’autre, d’avoir une famille uni et complète et pour d’autre encore, ça peut se résumer à un tas de beau billet vert ou villa en bord de mer. Chaque culture, chaque pays, chaque famille et surtout, chaque individu ont le droit à leur propre conception du bonheur. Il n’est pas universelle, loin de la. Moi, je l’avais. Je tenais ma définition, ma conception du bonheur, de mon bonheur. Passer du temps avec ma famille, c’était le pied. Être avec celui que j’aimais plus que quiconque, c’était un vrai bonheur, un bonheur sans fin. Du moins c’est ce que je croyais. Je croyais aimer et être aimée comme personne. Je pensais avoir la famille la plus soudé, la plus uni, la plus formidable de toute. C’est fou comme on peut croire dur comme fer à certaine chose, à certain fait, et tout d’un coup, plus rien. Tout s’effondre autour de vous. Tout s’est effondré autour de moi. Tout, absolument tout, sans même avoir le temps de dire « oups », sans même pouvoir faire quoi que se soit pour tenter de changer les choses, sans même pouvoir bouger le petit doigt, sans même avoir eu le temps de laisser battre mon cœur rien qu’une seconde, juste une seconde. J’avais tout pour être heureuse, et je n’ai plus rien. Je n’ai rien, strictement rien. Mis à part mes yeux pour pleurer. Voilà ce qu’il me reste, mes yeux pour pleurer, mes souvenirs pour m’empêché de guérir, ma bouche pour me plaindre et mon minuscule carton pour me loger. J’avais tout, autrefois, avant, naguère, jadis, le bon vieux temps comme aurait dit mon grand père. Mes amis, mes amours, mais emmerde ? Je n’ai plus que mes emmerdes. Le Bonheur avec un grand « B ». C’est être tellement heureux, que, sur le moment nous incapable de penser, de réfléchir à certaine chose. Tout être humain a la faculté de penser en temps normal. Seulement, selon moi, le moment où, on plonge dans un bonheur intensément grand nous ne pouvons demander à notre cerveau, de penser à autre chose. On veut juste vivre ce moment à fond avant qu’il ne se termine. Car, d’après le dicton connu de toute bouche, « les bonnes choses ont une fin » et malheureusement, c’est vrai. Et cette fin arrive bien plus vite qu’on ne le pense, trop vite même, beaucoup trop vite. Tel est ma vision des choses, ma conception du bonheur. Mais avant toute chose, commençons par le commencement. Le début de toute emmerde, la fin de toute bonne chose. Tas aimé ? Viens lire la suite sur https://facebook/pages/-Our-Only-Fictions-/574795162555762?hc_location=stream
Posted on: Tue, 29 Oct 2013 09:57:49 +0000

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