Résumé de la 109e séance, par Jacques Deb : Le groupe décide de fouiller la chambre du Daimyo récemment décédé, ainsi que d’autopsier sa dépouille dans les bas-fonds du château Ichime. Dans les appartements de Maouri-sama, on découvre, parmi d’autres, un étrange cylindre en bois blanc — une arme de criminels selon les dires de Haruto — et une tache noire à l’odeur piquante — de l’essence d’obuno —, laissée dans les draps du futon du seigneur. La fenêtre est ouverte, et tout donne à croire qu’un intrus fut présent dans cette pièce, il y a encore quelques minutes ; un intrus intégralement vêtu de blanc, d’après les kami de l’Air et l’esprit du mort. « Habile » fait son œuvre et révéle que l’étrange marque noire a les contours imprécis. La poitrine du défunt sonne creux, résonne densément, tandis que celui-ci repose sur un lit de sel. Kohei est outré : Toshiin-san a dû lancer un sort de conservation de nourriture en vue de préserver le corps du Daimyo décédé… Horreur ! La nuit est alors le théâtre d’un bien mystérieux spectacle : Kaminari croit apercevoir sa mère, aux traits vieillis, d’abord dans sa chambre, ensuite dans le jardin de la cour intérieure. Il erre telle une âme en peine parmi les arbrisseaux, persuadé d’être poursuivi. Il aperçoit ensuite Sokoi, qui avancera dans les eaux sommâtes de la mare avant de se noyer. Akizuki, Haruto et Nahoko sont quant à eux presque nus au cœur du jardin… Une irrésistible envie de promener aux abords de l’étang les aurait guidés jusqu’ici (ou bien n’est-ce qu’un rêve ?). Tous distinguent leurs deux compagnons en train de se noyer, avant de se rendre compte qu’il s’agit de Sokoi. Ce dernier, à leur réveil, se tient dans les airs de la chambre de Haruto, sur le point de mourir noyé. La nuit touche à sa fin… Le lendemain matin, le groupe rend une petite visite au général retraité Akodo Tamoru, qui a bien connu le père de Maouri. Le vieil homme, un militaire fier qui aime à se souvenir de ses exploits passés à travers les objets entreposés dans ses modestes appartements, explique que la tache de Bakusho était en réalité un tatouage. Une marque que possédaient tous les deux en mémoire d’un crime impardonnable commis contre le Clan de la Grue. l5rpartie.wordpress/2013/07/09/resume-109e-seance-par-jacques/
Posted on: Tue, 09 Jul 2013 09:54:34 +0000
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