SAUVONS LA CGTB Depuis quelques années, la Confédération - TopicsExpress



          

SAUVONS LA CGTB Depuis quelques années, la Confédération Générale des Travailleurs du Bénin (CGTB) connaît une grave crise de gouvernance, crise qui a atteint son paroxysme depuis novembre 2012 avec la suspension par la CNV Internationaal et tous ses partenaires, de leurs importantes subventions à l’organisation syndicale. De quoi s’agit-il ? La CGTB est l’une des organisations syndicales les plus influentes de notre pays. Elle a été créée en 1993 avec un certain nombre de syndicats et fédérations syndicales de base. Dès 1994, la CGTB a sollicité et obtenu la collaboration avec la CNV Internationaal, une organisation néerlandaise qui apporte un appui technique et financier aux organisations syndicales des pays du tiers monde. Comme on peut s’y attendre, la CNV Internationaal est très attachée à la bonne gouvernance au niveau de ses organisations partenaires. Ses exigences si sont fortement exprimées qu’elles sont explicitement contenues dans les conventions qu’elle signe avec ses partenaires, notamment avec la CGTB. Ainsi, les subventions financières accordées par la CNV Internationaal à la CGTB sont la compilation des demandes exprimées par les syndicats et fédérations syndicales de base augmentée des charges de fonctionnement de la centrale syndicale. Une clause de la convention signée entre la CGTB et la CNV Internationaal stipule que la CGTB, dès réception de la subvention, doit transférer à chaque syndicat et fédération de base concernés, les fonds prévus dans son plan et alloué par le partenaire financier. A la fin de l’exécution du programme, chaque syndicat ou fédération syndicale doit produire son rapport annuel d’activités et l’adresser à la CGTB qui à son tour, devra les compiler pour en présenter le résumé à la CNV. Il est donc clair que la CGTB ne devra effectuer aucune dépense à la place des syndicats ou fédérations syndicales affiliés. La Fédération des Unions Nationale des Travailleurs de la Terre (FUNTRAT) est née en 1994 et a adhéré à la CGTB dès sa création. C’est une organisation syndicale qui regroupe les travailleurs et les groupements du secteur informel, notamment ceux du monde rural qui s’investissent dans l’agriculture, la pêche, l’élevage, la transformation et la commercialisation des produits agricoles, halieutiques et cynégétiques. Dès sa création, la FUNTRAT comptait dans son portefeuille, les groupements d’Affamè, de Pobè, de Godomè, de Bopa, de Klouékanmey. Il faut ici insister sur le fait qu’en 1995, la FUNTRAT était la seule organisation de la société civile qui appuyait les femmes transformatrices de manioc d’Affamè. Parallèlement à son affiliation à la CGTB, la FUNTRAT a pu nouer divers partenariats directs avec des organisations belges. C’est ainsi qu’un partenariat direct entre la FUNTRAT et Solidarité Mondiale (WSM) a été conclue. Du coup, la FUNTRAT se retrouve sur deux programmes : le programme WSM qui n’a normalement aucun lien avec la CGTB et pour lequel la FUNTRAT adresse chaque année deux rapports à WSM à savoir un rapport semestriel et un rapport annuel et le programme CNV Internationaal qui est lié à la CGTB et pour lequel la FUNTRAT est tenue d’adresser son rapport d’activités à la CGTB. Qui dirigeait réellement la FUNTRAT ? Comme je l’ai déjà dit dans mes publications antérieures, dès mon élection à la tête de la FUNTRAT en octobre 2007, le Secrétaire général de la CGTB a mis en place, un comité parallèle de gestion composé comme ci-après : 1- Président : Pascal TODJINOU 2- Trésorier : Jean-Damascène FAGNIHOUN alors employé de WSM, le partenaire financier de la FUNTRAT. 3- Membre : Zanmènou KOUTCHIKA 4- Membre : Joseph KINKIN Ici, il faut préciser que : a) toutes les décisions liées à la FUNTRAT sont prises par ce comité b) dans le bureau officiel de la FUNTRAT, monsieur Joseph KINKIN est élu trésorier général, donc devrait normalement garder le chéquier de la FUNTRAT c) dans ce comité mis en place par le secrétaire général de la CGTB, c’est monsieur Jean-Damascène qui garde le chéquier et qui le remplit en cas de besoin. Dès ma prise de fonction, j’ai participé à un séminaire d’élaboration du plan de la CGTB à l’hôtel Ayélawadjè de Porto-Novo, séminaire au cours duquel j’ai fait pu inclure dans le plan général de la CGTB, celui de la FUNTRAT pour le programme CNV Internationaal Le non respect des clauses des conventions par la CGTB Contrairement aux clauses des conventions signées par la CGTB avec la CNV Internationaal relatives au transfert des fonds aux syndicats de base, la CGTB n’a jamais transféré de fonds à ses structures de base. C’est plutôt elle-même qui exécute les activités au niveau de la bourse du travail et qui présente les rapports à la CNV Internationaal. Ainsi, les activités fondamentales de développement ne sont souvent pas exécutées et de faux rapports sont toujours présentés au partenaire. De 2008 à 2011, la FUNTRAT, en dehors de quelques séances de formation (souvent d’une demi-journée à la bourse du travail), n’a rien reçu des montants à elle alloués par la CNV Internationaal par le biais de la CGTB. En 2009 par exemple, le plan CNV Internationaal donnait à la FUNTRAT l’achat des matériels de travail au profit de ses groupements. Une partie de ces matériels a été acquise. Mais jusqu’à l’heure où vous lisez cette publication, la FUNTRAT n’a rien reçu de ces matériels de travail. C’est plutôt le secrétaire général de la CGTB, monsieur Pascal TODJINOU qui les a emportés et les a stockés au siège du centre de coiffure de son ONG dénommée Mouvement Ouvrier pour le Développement Economique et Social (MODES). Et la FUNTRAT ne pas plus rendre compte des matériels qu’elle n’a jamais reçus. La construction du bâtiment d’Affamè (voir les publications antérieures) Dans le plan WSM de la FUNTRAT, il a été prévu la construction de hangars et d’un magasin de stockage au profit des groupements d’Affamè. La section Bonou de l’association de développement KPONOU de la Vallée de l’Ouémé avait acquis en 1996, deux parcelles à Affamè au profit des groupements de la FUNTRAT : l’une derrière le marché d’Affamè et l’autre au carrefour d’Abéokouta. Les parcelles avaient été acquises par KPONOU-BONOU au moment où monsieur Pascal TODJINOU en était le président. En fait, en 1996, monsieur Pascal TODJINOU avait acquis les domaines en son propre nom avec les fonds de l’association : ce qui justifiait que les conventions de ventes de ces parcelles ne se retrouvent ni dans les archives de KPONOU-BONOU ni dans celles de la FUNTRAT aujourd’hui. Quand le bâtiment d’affamè a été construit principalement avec les fonds de la FUNTRAT, monsieur Pascal TODJINOU a cru devoir achever son plan de vol. Il a empêché la FUNTRAT d’accéder au bâtiment contrairement à ce qui était prévu et a commencé par l’utiliser comme son patrimoine personnel. C’est alors que WSM a commencé par réclamer les titres de propriété du domaine. Pour satisfaire la demande du partenaire financier, monsieur Pascal TODJINOU lui a envoyé en catimini une convention de vente falsifiée ; il ne m’a pas fait copie de la correspondance dans laquelle il y avait la convention, contrairement aux habitudes dans ce dossier, ne sachant pas que j’ai mis en place un système d’information très performant. J’ai donc reçu la convention sur laquelle le faux a été rapidement identifié. Je signale qu’il est possible d’ester à tout moment monsieur TODJINOU en justice pour faux et usage de faux, détournement et tentative de détournement de biens publics avec cette seule convention que j’ai en ma possession. Entretemps, une délégation de WSM a visité les réalisations de la FUNTRAT à Hondji et à Affamè Le plan d’action 2012 de la CGTB : Le coup de tonnerre En mai 2012, une délégation de WSM conduite par Monsieur Fabien Habimana a été dépêchée au Bénin pour visiter les réalisations de la FUNTRAT. Elle s’est rendue à Hondji et c’est à cette étape que le chef de la délégation de WSM a demandé à en savoir plus sur l’usage que la FUNTRAT a fait des fonds alloué à la FUNTRAT par la CNV Internationaal soit un montant de dix-neuf millions cent mille (19 1000) francs CFA. C’est alors que la délégation de la FUNTRAT a marqué son étonnement car la FUNTRAT n’a rien reçu au titre du plan d’action 2012 de la CGTB. Il a été demandé à Monsieur jean-Damascène FAGNIHOUN de clarifier cette nébuleuse situation. Il a confirmé que les fonds ont été transférés dans les caisses de la CGTB qui doit à son tour les envoyer à la FUNTRAT. Le secrétaire général de la CGTB a reconnu que les fonds sont déjà au niveau de la CGTB mais n’ont pas encore été envoyés dans les caisses de la FUNTRAT. A l’étape d’Affamè, la délégation a précisé un peu l’usage qui devait être fait des fonds de la CNV Internationaal : il s’agit de mettre en place une unité moderne de production d’huile de palme. La FUNTRAT s’attendait alors à rentrer dans ses fonds dès le retour des délégations à Cotonou, mais erreur. Le secrétaire général de la CGTB, monsieur Pascal TODJINOU a fait obstacle au transfert des fonds de la CGTBA à la FUNTRAT malgré la lettre du représentant Afrique de WSM. Tous les efforts de la FUNTRAT pour avoir gain de cause ont été vains. Ces dans ces conditions qu’une nouvelle délégation des partenaires a été dépêchée à nouveau à Cotonou le 09 novembre 2012. La peau de banane Le 09 novembre 2012, devant la délégation de WSM et en présence des bureaux de la FUNTRAT et de la CGTB à la bourse du travail, le secrétaire général de la CGTB a voulu que moi, secrétaire général de la FUNTRAT affirme devant tout ce monde avoir reçu les fonds de CNV INTERNATIONAAL et que les activités prévues dans ce cadre ont été correctement exécutées. En fait monsieur TODJINOU me glissait une grosse peau de banane. La veille, c’est-à-dire le 08 novembre 2012, il s’était fait invité dans l’hôtel du chef de la délégation de WSM, monsieur HABIMANA Fabien et lui avait dit énormément de contre-vérités au sujet de ma personne et des fonds. Il était certain, vu les manœuvres mystiques auxquelles il s’était livré, que je n’aurais pas le courage de dire la vérité et donc, de le démentir. Quand j’avais pris la parole, j’ai craché calmement toute la vérité. J’ai parlé du comité parallèle mis en place par monsieur TODJINOU au sein de la FUNTRAT, de son fonctionnement et du rôle de chacun de ses membres, j’ai aussi parlé de l’exécution des activités de la FUNTRAT depuis 2008. La séance s’est achevée dans une atmosphère très lourde. C’était comme si une bombe à fragmentation avait été lancée car des décisions graves ont été prises en cascade par les partenaires. Congrès ordinaire de la FUNTRAT Le samedi 10 novembre 2012, la FUNTRAT a organisé son congrès ordinaire à Bohicon. Au cours de ce congrès tous les membres du bureau sortant qui étaient présents ont été reconduits. Ce congrès s’est déroulé devant un huissier de justice qui a homologué les résultats des élections. Mais un mois plus tard, monsieur TODJINOU a fait organiser un autre congrès au CEO pour diviser la FUNTRAT et masquer les nombreuses malversations qu’il a toujours commises. Il voulait en fait mettre en quarantaine le secrétaire général régulièrement réélu au congrès de Bohicon afin qu’il n’ait plus de possibilité de parler. Et pour réussir ce coup, il a fait d’énormes promesses financières aux sieurs KINKIN Dègbédji Joseph et Dominique DENAKPO qui, au congrès de Bohicon, avaient été respectivement réélus aux postes de trésorier général et de secrétaire administratif de la FUNTRAT. Comme si cela ne suffisait pas, le secrétaire général a faire convoquer successivement deux congrès de la CGTB pour m’exclure de toutes les structures de la confédération. Mais depuis quelques mois, des remous sont nés au sein du bureau parallèle qu’il a mis en place. Et pour les contenter, monsieur TODJINOU est en train de vouloir sortir environ deux millions (2 000 000) de francs CFA des caisses de la CGTB pour les apaiser. En fait après avoir tenté de volé le bâtiment construit par la FUNTRAT derrière le marché d’Affamè, TODJINOU a frauduleusement retiré les fonds CNV Internationaal destinés à la FUNTRAT des caisses de la CGTB avec la complicité coupable de certains membres du secrétariat exécutif national de la CGTB, notamment le trésorier général. En effet, TODJINOU après avoir retiré les dix-neuf millions cent mille des caisses de la CGTB, a commencé par monter une usine de production d’huile de palme sur un domaine qu’il a acquis en son propre nom derrière l’église catholique d’Affamè. Mais cet acte n’est pas isolé. Le domaine d’Igbo-Ossan En dehors du Centre d’Education ouvrière (CEO) de Ganhi, de CAB Auto Moto d’Ayélawadjè, la CGTB a acquis un domaine à Igbo-Ossan. C’est un domaine de plusieurs hectares sur lequel la CGTB avait des fermes. Mais le secrétaire général de la CGTB, comme à son habitude, est en train de réduire ce domaine de façon dangereuse au point où monsieur Bienvenu a commencé par se plaindre du vol qui s’opère sur ce domaine. Ce domaine est la propriété de tous les militants de la CGTB et il importe qu’ils se lèvent tous pour réclamer le titre de propriété initial du domaine et le sécurisent par un titre foncier au nom de la confédération syndicale. La CGTB se meurt. Suite aux diverses agissements de monsieur TODJINOU, les partenaires financiers, notamment la CNV INTERNATIONAAL a effectué plusieurs missions d’audit à la CGTB, notamment la mission d’audit de décembre 2012 dirigée par madame Esther DROPPERS. La mission a relevé de graves dysfonctionnements au niveau de la gestion financière de la CGTB. A l’issue de cette mission, plusieurs décisions ont été prises par la CNV Internationaal dont la suspension des subventions accordées à la CGTB par la CVNI et ses alliés. Il faut signaler que le montant des subventions dont devait bénéficier la CGTB de la CNV INTERNATIONAAL avoisinait les deux cent millions (200 000 000) de francs CFA. Jusqu’à l’heure où vous lisez ce document, la CGTB n’a pas encore présenté son rapport d’activités 2012 à la CNV Internationaal: ce qui constitue un manquement sans précédent à la convention entre la CNV Internationaal et la CGTB. Exclusion de la CGTB des élections professionnelles à venir. En violation de ses propres statuts et règlement intérieur, la CGTB est dirigée depuis longtemps par un Secrétariat Exécutif National composé essentiellement de retraités, notamment le secrétaire général. Cette entorse aux textes de la CGTB, si elle n’est pas rapidement corrigée, sonnera l’exclusion pure et simple de la CGTB de la participation aux élections professionnelle à venir. Ainsi, la CGTB ne pourra plus bénéficier de la subvention de l’Etat après avoir perdu celle de la CVN Internationaal I. On peut se demander comment on a pu faire confiance à un homme qui piétine allègrement les textes dans le seul et unique but de satisfaire ses boulimiques intérêts personnels ? En fait, tous les militants de la CGTB sont aujourd’hui conscients de l’inobservance des règles élémentaires de la bonne gouvernance au sein de leur confédération. Les caisses de la CGTB sont confondues aux poches du secrétaire général comme le montrent à suffisance les divers relevés bancaires. L’audit interne que le secrétaire général a récemment commandité a confirmé, à son grand désarroi, les faits. Mais il a rejeté le vrai rapport présenté par le cabinet d’audit et lui a demandé de le falsifier alors que cet audit a coûté plus de cinq millions (5 000 000) de francs CFA à la CGTB. En fait, le secrétaire général pensait présenter ce rapport d’audit aux partenaires pour les distraire. Mais déjà, des voix s’élèvent au sein du bureau dirigeant de la CGTB pour réclamer l’organisation d’un congrès électif. Monsieur TODJINOU met tout en œuvre pour empêcher l’expression de cette volonté légale de changement pour une raison principale. En effet, la CGTB envoie des représentants dans certains structures de l’Etat comme le Conseil Economique et Social (CES), le Conseil national du Travail (CNT) qui va bientôt renouveler ses membres. En raison des résultats des dernières élections professionnelles, monsieur TODJINOU siège actuellement au sein de ses structures au titre de la CGTB. Il fait entrave à l’organisation du congrès de la CGTB en même temps qu’il prie pour qu’il n’y ait pas d’élection professionnelle jusqu’au renouvellement des membres de ces structures afin qu’il continue d’y siéger. Et après ça, après ça seulement il peut accepter d’organiser un congrès.il est aisé de constater que dans toutes les structures comme le CES où la CGTB doit être représenté, c’est monsieur TODJINOU qu’on y voit comme s’il était le seul qui a le profil requis pour ces sièges. Pour mémoire, nous pouvons rappeler que depuis plus de vingt ans, la CGTB n’a connu qu’un seul secrétaire général, de surcroit admis à la retraite depuis bien longtemps. Et c’est ce même TODJINOU qui donne souvent des leçons de bonne gouvernance aux dirigeants de notre pays. Les partenaires financiers ont enfin compris et n’entendent plus cautionner cette aberration. Comme tout le monde peut s’en rendre compte aujourd’hui, la CGTB est exsangue, le peu de ressources financières qui lui reste continue d’être dilapidé par le secrétaire général est ses acolytes dans des missions fantaisistes, à l’insu de la majorité des membres du SEN. La devise du despote de la CGTB est : « après moi, le déluge » il et l’a bien appliquée jusqu’ici. La saignée a commencé Certains secrétaires généraux de syndicats affiliés à la CGTB ont déjà si bien compris la descente aux enfers orchestrée par monsieur TODJINOU Pascal qu’ils ont fait leurs valises de la confédération, sans crier gars, pour commencer par les poser là où il est bénéfique aujourd’hui de les poser : la Confédération des Syndicats Indépendants du Bénin (COSI-BENIN). En effet, nous avons pu voir un secrétaire général d’un syndicat d’enseignants précédemment membre du SEN/CGTB au séminaire organisé par la COSI-BENIN avec son partenaire technique et financier à savoir la CNV Internationaal. D’autres syndicats de l’enseignement et d’autres secteurs d’activités sont sur le même chemin. Dans ces conditions, que peut valoir la CGTB en représentation des travailleurs ? Absolument rien ! J’en appelle donc aux militants de la CGTB et aux pouvoirs publics afin que : - le congrès de la CGTB soit organisé le plus vite possible afin de la doter d’un nouveau secrétariat acquis à la défense des intérêts des travailleurs - le congrès annule toutes les décisions abusivement prises dans le but d’exclure des militants honnêtes mais gênants pour monsieur TODJINOU Pascal - le rapport des activités de la CGTB au titre de l’année 2012 soit enfin présenté à la CNV Internationaal - de contraindre monsieur TODJINOU à retourner à la CGTB pour transfert à la FUNTRAT, les fonds et matériels qu’il a frauduleusement retirés du patrimoine de la confédération. - des négociations puissent s’engager entre la CGTB et ses partenaires, notamment la CNV Internationaal et la WSM pour la reprise rapide de leur collaboration - les élections professionnelles soient préparées plus sereinement pour des résultats honorables. - la CGTB survive et demeure un instrument efficace de défense des intérêts de la majorité des travailleurs de tous les secteurs d’activités ici au Bénin. Que la jeunesse prenne toutes ses responsabilités à la CGTB ! Là est tout mon combat !
Posted on: Fri, 09 Aug 2013 10:22:50 +0000

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