UNE HISTOIRE EMOUVANTE qui prouve encore combien de juifs se - TopicsExpress



          

UNE HISTOIRE EMOUVANTE qui prouve encore combien de juifs se cachent de leur confession à cause de telle ou telle raison, mais quen fin de compte quelquun en souffrira, si ce nest pas maintenant, ce sera dans les générations qui suivront, voici une exemple parmi des milliers ................ une jeune fille était née à Belgrade, en Australie, de parents très aisés. Elle ne manquait de rien et elle avait eu un parcours scolaire irréprochable. Ses parents lélevaient dans lopulence. Tous les dimanches, elle se rendait à léglise, comme tous les chrétiens de la région. Un jour, alors quelle se trouvait à la bibliothèque municipale, son regard fut attiré par un livre ayant une couverture noire, sur laquelle étaient représentés quelques hommes maigres et misérables. Elle le feuilleta et constata quil parlait du drame du peuple juif, pendant la Shoa. Ce quelle lut lemplit dhorreur. Comment pareil crime avait-il pu être commis? Elle décida demprunter ce livre et elle le lut avec attention. Au fur et à mesure de cette lecture, son horreur augmentait. Achevant la lecture de ce livre, elle eut le sentiment quelle partageait la douleur du peuple juif et elle en conçut une immense tristesse. Ses parents constatèrent lévolution de son comportement. Ils ne savaient comment lui venir en aide. Les médecins ne pouvaient rien faire non plus. Les parents durent se résigner à voir leur fille souffrir en silence. Un jour, la jeune fille lut un article à propos du Rabbi de Loubavitch, dirigeant du peuple juif, qui était à lécoute de tous et qui distribuait largement ses bénédictions. Elle lui écrivit donc une longue lettre, précisant quelle était chrétienne, mais quelle nen ressentait pas moins, dernièrement, un profond sentiment didentification au peuple juif, au point den avoir perdu le calme de lesprit. Elle lui demandait donc lexplication de tout cela et ce quelle devait faire. Peu après, cette jeune fille reçut une réponse du Rabbi, qui linvita à consulter le Rav Gutnick. Son adresse est bien connue en Australie et elle na donc eu aucun mal à le contacter.Arrivée devant la cour de sa maison, elle avoua, par la suite, quelle était prête à faire demi-tour. Les pensées se bousculaient dans son esprit et les questions défilèrent : Ce rabbin acceptera-t-il de me recevoir ? Sait-il dabord qui je suis ? Le Rabbi de Loubavitch lui a t-il parlé de moi ? Quand je lui avouerai que je suis chrétienne, ne me renverra-t-il pas ? Une pensée en éveillait une autre et elle ne savait que faire. Il se trouve que, précisément à cet instant, jouvris la porte de ma maison. Elle ma vu et ma dit: Je recherche le rabbin Gutnick. Je lai donc invité à rentrer. Elle m’a fait part de tout ce qui sétait passé et elle a sollicité mon aide, comme le Rabbi le disait dans sa lettre. Je jai interrogé sur ses origines, sur sa famille, sans découvrir le moindre indice. Je nai de ce fait, rien pu faire pour laider et elle est ensuite repartie de chez moi encore plus troublée quà son arrivée. Quelques semaines plus tard, jai reçu un lettre du Rabbi, qui me demandait, notamment : Que devient cette jeune fille juive de Belgrade. Javais du mal à le croire. Le Rabbi maffirmait clairement quelle était juive ! Je me suis aussitôt rendu chez elle et jai parlé à ses parents, mais leur accueil fut glacial : Nous sommes catholiques, Nous ne savons pas à quoi vous faites allusion. Notre fille est dépressive. Nous le déplorons. Nous ne pouvons vous en dire plus. Je suis donc rentré chez moi et la lettre du Rabbi est restée, dans mon esprit, un mystère. Quelques jours plus tard, jai appris que la jeune fille venait dêtre hospitalisée, dans un état très grave, Les médecins affirmaient que ses jours étaient comptés. Jai demandé à mon ami, le Rav Zalman Serebranski, de maccompagner à lhôpital. Tout dabord, Rav Zalman sinsurgea; Appartient-il à un vieux Juif comme moi de rendre visite à une jeune chrétienne malade ? Je lui ai donc montré la lettre du Rabbi et il a aussitôt accepté de me suivre. Cette fois-ci, la conversation avec les parents fut un peu plus chaleureuse, peut-être grâce au grand âge de Rav Zalman et au respect quil inspire. Au cours de la discussion, la mère demanda à me parler, Jai senti que quelque chose allait se passer. Elle me dit: Si ma fille nétait pas dans cet état, je ne vous aurais jamais fait cet aveu. Je dois vous dire que je suis moi-même juive. Très jeune, jai immigré dAngleterre en Australie et cest ici, à Belgrade, que jai rencontré mon mari, qui nest pas juif. Nous avons fondé un foyer et nous avons eu une fille. Je lai alors suppliée : Votre fille est mourante ! Vous lui devez la vérité ! Peut-être est-ce de cette façon que vous parviendrez à la sauver ! Elle hésita, puis elle me dit: Jai peur de lui faire part de tout cela en présence de mon mari. Je lui ai donc proposé dinviter son mari à quitter la chambre et de parler avec lui afin de le retenir à lextérieur pendant quelle parlerait à sa fille. Lorsque je suis retourné dans la chambre, en compagnie du père, nous avons trouvé la jeune fille visiblement soulagée. Son regard était lumineux et elle dit: Je me sens mieux. Je voudrais rentrer à la maison. A lheure actuelle, cette jeune fille est devenue : UNE MERE DE FAMILLE RESPECTANTSCRUPULEUSEMENT LA TORAH ET LES MITZVOT. SES FILS SONT ELEVES DE LA YESHIVA TOMHEÏ TEMIMIM LOUBAVICHE en AUSTRALIE.
Posted on: Mon, 04 Nov 2013 10:44:38 +0000

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