Un appel au génocide anti-Québécois Publié par: Daniel - TopicsExpress



          

Un appel au génocide anti-Québécois Publié par: Daniel Laprès in Daniel Laprès, H2O Blog, Nouvelles 5 jours passé 0 Ces temps-ci, les débordements d’affection pour les Québécois de la part des adeptes de la Religion de Paix, d’Amour et de Tolérance™, ne cessent de déferler sur les réseaux sociaux. Après l’infâme infirmière québécophobe fonctionnant sur le web sous le pseudonyme de Amina FM et dénoncée sur ce blogue il y a une dizaine de jours, voilà qu’une autre mahométane, celle-là répondant au nom de Anastasia G., a lancé sur Facebook des propos qui appellent clairement, sans la moindre ambiguïté, à un génocide anti-Québécois : Cette sinistre personne affirme donc que (c’est nous qui corrigeons car il s’agit vraisemblablement d’un être peu évolué) « Hitler n’aurait pas dû exterminer les Juifs, « mennn » (sic) il aurait dû faire ça aux blancs du Québec. » Ce à quoi elle ajoute : « Faut faire un Holocauste II. » Eh oui, les amis : selon cette faible d’esprit fanatisée, il faut rien de moins qu’un « Holocauste II », cette fois contre les Québécois que, dans sa sottise raciste, elle appelle les « blancs du Québec », eux qui, pourtant, l’ont accueillie à bras ouverts en tant qu’immigrante, en mettant à son service toutes leurs ressources publiques. Ces propos ignobles, qui sont un reflet de ce qui peut parfois se dire entre mahométans au Québec, appellent donc au meurtre collectif des Québécois. C’est un véritable appel à la violence raciste. Et c’est criminel. Il est important de retracer et de traquer cette criminelle afin qu’elle soit traduite en justice. Et si jamais elle ne détient pas le statut de résidente permanente, il faut exiger qu’elle soit expulsée de notre pays car les racistes québécophobes comme elle n’ont rien à faire chez nous. Expédions-la vers l’un des trous arriérés où sa charia adorée est en vigueur et où elle pourra vivre heureuse dans l’oppression femmophobe à laquelle elle aspire. Nous avons dans cette raciste un cas très net d’immigrante indigne de nos valeurs et de nos libertés fondamentales, qui ne sera jamais, et pour cause, notre compatriote, et qui ne mérite rien de ce que notre pays a à offrir. On a raison de ne pas vouloir de ça chez nous. Les cas de ce genre, qui se multiplient au Québec comme on le constate ces temps-ci, devraient même nous inciter à mettre de l’avant l’idée de déchéance de la citoyenneté, en rappelant le fait que la citoyenneté, c’est d’abord et avant tout un pacte, et que ceux qui ne le respectent pas devraient se faire retirer le privilège de partager notre patrie. En attendant que la justice frappe, exposons le plus possible le métastase cancéreux que cette Anastasia G. et ses semblables constituent dans notre société libre, généreuse et accueillante et qui, en rejetant cette peste arriérée, femmophobe et raciste, entend fermement le rester. Il faut que le plus de Québécois possible soient informés de la présence de cette tumeur maligne dans leur corps social. Évidemment, inévitablement, fatalement, certains beaux esprits multicultis et islamolâtres s’empresseront d’affirmer que ce n’est là qu’un « cas isolé-qui-n’est-pas-du-tout-Ah-çââââ-noooon-ma-chèèèrrre-mais-vraiment-pas-du-tout-représentatif-des-musulmans-si-doux-si-modérés™». On la connaît bien cette rengaine, elle commence à vieillir, et à vieillir mal. La réalité, c’est qu’ici même au Québec, selon ce qu’on constate avec les innombrables preuves qui s’accumulent dans nos dossiers, ça commence à en faire beaucoup, des «cas isolés», et il y en a de plus en plus, tous aussi puants de québécophobie et de racisme les uns que les autres. Le moins qu’on puisse dire c’est qu’on commence à voir se dessiner une tendance… Il va falloir qu’avant longtemps les dirigeants politiques et bureaucratiques de nos gouvernements rendent des comptes quant au fait qu’ils font encore massivement entrer chez nous des catégories d’immigrants dont les moeurs et coutumes arriérées, femmophobes, homophobes, racistes, et barbares sont entièrement incompatibles avec nos valeurs et notre identité. Cette engeance uniquement guidée par la superstition surnaturelle la plus bête ne fait que nous susciter des problèmes de toutes sortes et qui s’avèrent de plus en plus coûteux sous de nombreux aspects. La criminelle Anastasia G., soit dit en passant, est issue de l’immigration francophone. Mais nous Québécois, comme elle l’a elle-même montré, n’avons rien en commun avec elle. Elle nous est et elle nous restera toujours étrangère. Morale de l’histoire, tirée de ce cas et d’innombrables autres : le français ne devrait plus être le critère prédominant dans la sélection des immigrants, selon ce qu’impose la récente, irresponsable et suicidaire politique d’immigration concoctée par la ministre Diane de Courcy. Nous avons infiniment plus en commun avec un Moldave, un Zimbabwéen ou un Cambodgien qui ne parle pas un mot de français qu’avec un Maghrébin francophone qui adhère à la charia (comme c’est le cas, par exemple, pour 83 % des Marocains). Nos ancêtres n’ont pas défriché notre territoire ni bâti notre société libre et démocratique pour que nous les abandonnions à des hordes de lunatiques fanatisés qui sont fondamentalement hostiles à tout ce que nous sommes et qui cherchent à siphonner le maximum de nos ressources. Il est temps que l’on mette fin au saccage. Et ça commence en ne laissant plus cette Anastasia G. et ses semblables avilir impunément notre société. À nous tous de la débusquer, donc, pour qu’elle soit mise face aux conséquences de sa conduite.
Posted on: Tue, 01 Oct 2013 14:59:39 +0000

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