"Un enfant dans un mortier": Chapitres: 23-24 Chapitre: 23 Le - TopicsExpress



          

"Un enfant dans un mortier": Chapitres: 23-24 Chapitre: 23 Le temps, pour autre occurrence, par l’incertain que proposait une conjecture, avait souvent été tel si bel air qui savait faire parler bien de personnes, pour si juste que par tel propos qui était plein de cocasserie. Lorsqu’il s’annonçait sous une quelconque forme, selon les attentes, on pouvait le tenir pour tel moment qui vient, par toute indication en ce qu’on arrivait à retenir pour fatalité, qu’à la fois, pour autre appréciation, l’un devait encore le garder, pour cet instant d’une probabilité qui l’affecte, pas uniquement pour tel sentiment de réconfort qu’il laisse, qu’autant tout bonheur serait à telle réjouissance qu’on nommerait fortune. Le temps, par telle autre expectative, s’il devenait le juste moyen par le prononcé sur ce qui ferait une déception, qu’autre destinée, était encore à tant d’imprévisibles. L’un se serait laissé aller à toute condamnation qui le retient à tel sort qu’on jette à ceux qui sont déterminés à souffrir aussi profondément que par telle étiquette de bouffonnerie. Il n’en était que d’une mauvaise circonstance, lorsqu’ils étaient encore aussi engagés que pour ces valeurs qui conduisent immanquablement vers les voies du savoir, qu’au mieux celles de la sagesse. C’était peut-être le prix à payer. Il devrait être à toute estimation de cette grande endurance qui parvenait à rendre grotesque celui qui s’était justement et de bien qu’audacieusement incliné par telle conduite qui le destine vers ces bonheurs que procure tout parcours que vaut la moindre quelconque souffrance qu’exige l’approche en tel autre mérite qui fasse un sage. Il fallait se laisser aller à une juste prudence. Etait-elle aussi adaptée à chaque réflexion, lorsqu’on ne pouvait pas se prononcer sur toute moindre situation ? Certains estimaient que le silence était à telle distinction qui faisait un être modéré. Qu’est-ce qui serait encore juste, pendant qu’on le tenait par telle nature qui faisait une grande lâcheté ? Certes, on était parfois à l’abri de la difficulté lorsqu’on se montrait à même de s’accorder à tout fait qui consacre le raisonnable. Etait-il aussi un devoir de vivre des choses, d’appréhender tant de réalités aussi contraires à tel entendement qu’on se faisait de tout ce qui semblait concret qu’intimement correspondant d’une conviction sur le fait correct, pendant qu’on trouvait encore autre forme d’irrationalité que pouvaient porter des mœurs dont on était à toute obligation que de s’y conformer ? On était un individu que par toute mesure d’une approche de ce qu’on savait adopter comme conduite. Celle-ci n’était parfois qu’à tout moindre reflet de ces bonnes transmissions qu’on pouvait recevoir dès la plus tendre enfance. Cependant, que de logique, devait aussi arriver tel temps pendant lequel on ne se faisait de libre intelligence que par rapport à sa propre école. Elle aurait certainement été réussie lorsqu’on devenait tel être docile, par une attitude régulière qui fait un étant gouvernable. Seulement, on était aussi humain, et justement parce qu’on avait d’aussi simple qu’une raison. Elle était bien souvent celle qui dirigeait l’individu. Elle est bien acceptable pendant qu’on l’avait cultivée par toute distance face aux passions qui font tel jeu de grande exacerbation. Pour si moindre encore, Trade Négrière avait compris cet essentiel qui tourne autour de l’entendement qu’on pouvait se faire par toute quête pour le savoir. Il se savait libre par telle condition d’humain, ce fait attaché à un existant, et de bien, lorsqu’il estimait que cette condition d’humain devait impérativement l’amener à comprendre tout ce qui tournait autour de ce qui pouvait le porter à aller vers l’interrogation. Le printemps avait été là, et ce fut toute autre faveur, par telle circonstance qui l’avait aussi joyeusement conduit à se retrouver sur telle terre de l’Occident. Ce printemps avait apporté tel événement qui l’obligeait à ne s’attacher à toute curiosité que pour celle de saisir certaines natures des choses, et de grande justesse que par tant d’étrangetés auxquelles elles soumettaient à la fois son instinct en proie à toute réaction, et de conséquence que le retenir à l’exercice de la réflexion. La question avait été simple. Pourquoi des hommes de la Nigritie, une certaine partie du monde dont ils étaient à toute identité que par l’origine, avaient-ils pu oser écraser un enfant dans un mortier ? Qu’en une solution, ce qu’il estimait être de toute liberté que trouver une réponse passait pour ce qu’il avait de bien humble qu’un devoir. Il s’était certes aussi profondément interrogé, pour n’avoir que tel sens profond qui ressemblait à une voix, celle qui venait, retentissait, par cette ultime nécessité permettant de l’orienter, et d’étrange, pendant qu’elle sonnait par tel timbre qui soit propre à un enfant, et selon qu’elle lui indiquait de moindre que cette exigence à faire possession de toute qualité qui le distingue par une assez bonne raison. Trade Négrière avait bien souvent écouté des hommes de la Nigritie, ceux qu’il avait laissés là-bas. Ces hommes, pour le moins, certains parmi eux, avaient bien, qu’assez souvent insisté sur le fait suivant lequel, pour toute appréciation des faits, que de correspondance par rapport à la réalité qui était régnante en Nigritie, il était autre absurdité, telle obligation à l’abstraction, que d’espérer que l’école gréco-latine était celle qui pouvait aussi obligatoirement qu’impérativement conduire l’homme de la Nigritie vers une encore acceptable obtention de la raison, et d’exceptionnel pour celle qui soit à toute réelle nature de lui concéder une assez normale faveur qui le grandisse en une exacte obtention de la sagesse. Trade Négrière, qu’à maintes reprises, les avait aussi souvent écoutés, pendant toute moindre occasion qui dut les conduire à transformer leurs débats en objets de polémiques. Il y avait des positions qui furent parfois d’approche que radicalement tranchées. Les uns comme les autres allaient encore se montrer combatifs pendant qu’ils viendraient défendre les contenus que portent leurs arguments. Nombreux furent ceux qui soutinrent que cette école gréco-latine était à toute unique mission, et de précise que celle d’altérer entièrement l’homme de la Nigritie dans ce qu’il avait de plus fondamental que sa nature, laquelle fut faite par telle réalité qui lui soit véritable, et cela, de justifié que par le fait de sa culture. Ils étaient à toute conviction selon laquelle, telle admission, telle adoption de ces valeurs, inconditionnellement ne conduisaient inéluctablement qu’à toute perte d’un juste essentiel. Il n’en était vraisemblablement que cas d’un préjudice, lequel serait à toute destruction du patrimoine fondamental, qui soit à une moindre matérialité par toute œuvre, et d’aussi meilleur que par telle particularité qui fasse la vie des hommes de la Nigritie. Ce patrimoine représente tel primordial qui soit à telle exceptionnelle faveur de leur accorder encore une survie, celle qu’on retiendrait par la juste identité qui reste tel bouclier derrière lequel ils peuvent encore se savoir héritier d’une originalité qui soit justement en lutte qu’en proie à toute disparition de personnalité, et cela, que de fait, lorsque la réalité actuelle ne serait pas celle de l’adoption de personnalité d’emprunt. Certains par contre, ceux qui naturellement étaient porteurs de toute contradiction, par telle vision qui faisait la juste opposition des discours qui venaient en face, et d’aussi fondamental que témoigner le désaccord qui les séparait, pensaient que les temps n’étaient plus à cette impuissance qui oblige à tout moindre recours, et de mieux qu’à ce cantonnement stérile, lequel est telle preuve de grande faiblesse qui caractérise la Nigritie, et qui voulait, qu’autre qu’exiger, qu’on ne sache partager que ce qui soit uniquement entendu et admis, et d’encore avantageux que produit par soi-même. Il en était aussi d’autre convenance que celle qui faisait le partage de la bonne raison, et même lorsqu’elle était à toute distance de la réalité qu’on était sensé représenter. Des défenseurs de ces deux positions, Trade Négrière les avait bien écoutés à l’époque. Il n’avait lui-même pas pu prendre position. Cela aurait été faire mention de grande prétention vide, tel espèce de vacuum qui caractérise ceux qui sont à toute arrogance que se persuader de la justesse de leur force, pendant qu’elle n’est en réalité que bonne qualité d’ignorance. Trade Négrière, par contre, n’avait pas l’essentiel, telle raison suffisante qui lui aurait permis de se prononcer sur tout autre fait exact qui soit aussi conforme à l’objet d’un grand débat qui divise les hommes de la Nigritie. Pour toute moindre société qui soit à cette silhouette, pour telle évidence que partageait la Nigritie, pour telle contemporanéité, pour ce qui était désormais presque la règle dans bien de sociétés, qu’à défaut de ce qui devait porter un sens profondément religieux, qu’encore que de perception par telle différence, que par autre catégorie, les bases de ce qu’ils appelaient l’école gréco-romaine étaient posées en bien de terres de la Nigritie. Il en était d’une réalité, et de bien juste que par tels faits que l’histoire savait encore qu’aussi profondément expliquer. Cela, par toute autre forme d’objection, était encore une autre réalité. Celle-là était à toute moindre relation de ce qui s’observait en Nigritie. Simplement, pour tel temps, pour telle circonstance, par toute nécessité de se faire une raison, une réponse sur telle incompréhension qu’on avait de l’écrasement d’un enfant dans un mortier, un acte aussi grandement commis par les hommes de la Nigritie, Trade Négrière, pour devoir l’élucider, ou à la limite parvenir à se l’expliquer, était à tout emprunt, qu’autre recommandation par telle démarche qui l’obligeait aussi impérativement que rationnellement à se faire telle possession encore juste que par celle de la sagesse. Telle voix l’y encourageait, et ne manquait pas de lui dire combien il importait de la découvrir partout où elle se montrait abordable que convenable, et d’engagement, pendant qu’elle ne pouvait pas blesser l’essentiel que représentait le fondamental de sa personnalité. Trade Négrière n’avait pas cessé d’admirer telle terre de la Nigritie, celle qui était à toute souffrance que représenter ce lieu déchiré par le théâtre écœurant que portaient ces événements. Il l’admirait d’autant plus qu’il avait compris qu’elle était cette si belle terre, celle de la Nigritie aussi profondément traumatisée, où coulait cette si belle source, celle qui avait aussi longtemps alimenté, qu’encore elle ne cesse de le faire, que nourrir bien de champs qui purent produire le grain que consommèrent des humains qu’une certaine connaissance retient pour tels qui ont légué de nombreux savoirs à bien de civilisations. Trade Négrière savait que la sagesse était à telle image de toute raison qui poursuit les humains. Il dut réaliser le fait selon lequel, certains, aussi loin que pour ce que fut tel lieu qu’on désigne pour Milet, avaient laissé à leurs semblables telle instruction qui les retenait à admettre que l’eau était à toute considération qu’être observée pour tel corps qui constitue le principe de toute chose. Il y était encore enseigné qu’elle était à toute approche que par l’acceptation d’une substance primordiale, sinon capitale, à partir de laquelle il importait de comprendre combien toute chose procède en elle, qu’à la fois, pour ce qu’elle porte de juste évolution, qu’aussi, est encore à ce moindre que celle qui retourne en elle. Tel qui l’avait enseigné fut d’ailleurs aussi naturellement considéré comme grandement sage qu’en tel lieu. En bien de circonstances, ceux qui firent bénéfice de cette instruction furent autant opportuns pour la retenir comme essentielle par toute adoption du fait primordial qui aboutit à la mise en place des règles et mesures qui justifient toute existence qui ne devait être entendue qu’à toute conformité avec ce que la nature offre en ressource qu’en lois. Trade Négrière avait donc découvert ce qui faisait le principal de la raison que portait l’école gréco-latine, telle matière, telle substance, ce corps qui était justement à telle véritable nature de ce que produit cette si belle terre de la Nigritie qui était aussi atrocement ravagée par tant de barbaries que rien de sérieux ne pouvait justifier. L’Occident avait retenu l’eau pour donnée première, et cela, qu’à toute qualité pour être cette matière, autre substance, et selon les considérations, permettant d’asseoir, qu’aussi, disposer du fondement qui consacre le fait de leur sagesse. Elle était, cependant, celle qui coulait par telle source qui nourrit et abreuva ces champs qui leur furent encore qu’extraordinairement prospères. Que de le savoir, que d’en faire tel lien, celui-ci ô combien indicateur de la valeur de cette source, Trade Négrière, enfin devait comprendre de la nécessité qui soit de toute possession de savoir. En Occident, que définitivement, l’eau était cette valeur première. En Nigritie, elle était celle qui coulait à partir de cette belle source qui n’avait été généreuse que nourricière de ces pâturages, tant de domaines, bien de prairies qui avaient enrichi la grande mémoire que porte telle autre histoire des hommes, aussi belle qu’elle soit, qu’à telle référence pour ce qu’elle offrit comme objet de partage. Trade Négrière devait désormais le comprendre, cependant, il avait de la peine à accepter ces images qui venaient de cette belle terre de la Nigritie. Elles offraient un spectacle effroyable à partir duquel on ne pouvait malheureusement qu’observer tant de corps de personnes, des cadavres d’enfants, de femmes, et d’hommes de la Nigritie qui furent massacrés, et qui dérivaient sur ces eaux. Pour cette moindre fois, cette si belle eau de cette splendide source ne portait plus ce grand symbole de pureté. Elle avait été souillée par le sang des enfants de la Nigritie profonde. Ce fut désolant, ce fut bien triste, ce fut tel qui obligeait impérativement à aller vers toute recherche qui menait au fait du savoir, tel si bel chemin qui conduit encore vers la sagesse. Ce ne fut pas un challenge. Pour telle échéance, compte tenu des circonstances, Trade Négrière le prit pour une chose obligatoire, pour la démarche la plus essentielle, celle qui explique combien un humain serait libre, pour si moindre qui puisse uniquement le conduire qu’en ces sentiers qui mènent vers la sagesse. Par tel temps, celui de la grande innocence, cette espèce d’ignorance profonde qu’on ne tient pas encore pour l’objet d’un danger, pendant qu’on serait amené à connaître de nombreux foudres, pour toute tentative de s’en débarrasser, qu’encore, Trade Négrière était loin d’imaginer tel fait périlleux pour lequel on viendrait s’exposer à bien de troubles pendant qu’on s’approcherait des raisons qui font cette accusation que porte celui qui s’aventure vers le bonheur que concède le fait de la sagesse. On est encore tel qui est retenu aux exigences qui obligent à témoigner d’une espèce de candeur grotesque, telle grave naïveté, cette recherche de pureté, tel entêtement à démontrer combien on est à toute attention que dire une ingénuité, laquelle en réalité s’apparente à tout reflexe qui s’adapte à une bêtise, qu’autant, on est à une bonne distance d’imaginer que la recherche de la sagesse est encore d’enjeu énorme pour une bataille pour laquelle on fait tel choix qui pourrait s’avérer destructeur, par telle fin qui fait de l’individu celui qui se sacrifie sous toute incompréhension que lui livre une violence aveugle. La sagesse était aussi telle chose dont la conquête rendait parfois que fou, indésirable, malade, malpropre, incompris, renié, que tragiquement, pour l’objet de son fait que sa qualité, qu’enfin pouvait injustement destiner vers la perdition, car, en face il y avait ceux qui la protégeaient, puisqu’elle n’accordait pas uniquement telle prudence qui soit indispensable à l’individu, cependant, qu’on l’obtienne parfois sans condition, qu’en tel cas, on était celui qui allait vers un sacrilège, tel qu’on découvrait, par toute exagération, que pour un profanateur, lequel, que d’effroyable, subissait les peines qu’on réserve à un mécréant, et de grande souffrance que celle que porte tel qui était condamné à subir ces violences qu’on applique à celui qui est retenu pour coupable de grave outrage. La sagesse n’était pas un objet de liberté, qu’alors, on pouvait le justifier, et de bien moindre, puisqu’elle était elle-même un fait de liberté. Tel qui parfois s’en approchait était condamné pour si insignifiant qu’avoir commis un énorme crime. La sagesse avait aussi tel coté qui soit à toute aptitude à soulever une peur qu’on ne pourrait pas approcher, parce qu’elle annonçait l’instant d’un blasphème, cet affront qu’on ne sait parfois plus arranger. Pour tel temps, pour tel printemps, Trade Négrière ne pouvait pas encore le comprendre. Jamais, il ne lui fut enseigné de la noirceur, de l’atrocité qu’on encourait lorsqu’on était animé de cette exceptionnelle dévotion à aller vers les qualités qui distinguent un sage. Aussi naturellement, pour telle possibilité qui fut offerte à celui qui se laissait à cette endurance, il le prenait pour tel fait de bel enchantement. La réalité était pourtant là, les enfants de la Nigritie étaient encore ceux qui portaient tel autre reproche, lorsqu’ils étaient incontestablement victimes de grand mépris, que d’être porteurs d’une nature qui ne les destine pas vers tant de beaux bonheurs que concèdent les privilèges qui viennent des qualités vers lesquelles conduisent toute vertu qui soit à chaque exigence qui fait une bonne sagesse. L’invraisemblable n’était encore qu’à toute manœuvre qui construit tel énorme fait d’obscurité qui protège l’essentiel que porterait une belle sagesse. Il était encore inconcevable de penser que certains enfants de la Nigritie retrouvaient toutes les peines par chaque moindre fait d’existence que se rendre véritablement compte de cette réalité. Ils étaient encore ceux qui ne furent pas aussi profondément instruits des enjeux qui tournent tout autour de la question de la sagesse. L’exact réalité était à tant de contrecoups qui accompagnaient le parcours existentiel de certains d’entre eux, pour tant de violences qu’ils devaient subir, lesquelles par ailleurs n’étaient qu’à toute autre forme d’explication que par chaque moindre prétexte qui les retenaient à des manquements, à des fautes qui devaient constituer ces causes de toute contre-nature dont on estimait qu’elles étaient suffisantes pour justifier les malheurs qui les accablaient pendant qu’ils ne s’étaient montrés dignes que par telle attitude à aller vers toute nécessité qui pousse vers cette obligation à la sagesse. S’ils parvenaient, il n’en serait que d’une forme de liberté par tel voile qu’on aurait détruit, qu’au meilleur des cas, pour telle possibilité de s’affirmer par la compréhension de bien d’étranges phénomènes, qu’alors on deviendrait celui qui comprendrait tant de mystères aussi honteusement entretenus, et qui ne servent en réalité qu’à garder ces pauvres enfants dans un obscurantisme aussi ingénieusement construit, et de tel qu’à toute fin de les retenir dans les profondeurs des abysses, qui jamais ne les épargneraient d’une distinction qui fasse d’eux ceux qui ne sont à toute attention que par les mérites qui parent leurs existences. C’était un grave cas d’assombrissement qui pouvait être à toute considération par tel essai qu’on saurait entreprendre pour une quelconque disposition conduisant à élucider les causes qui pouvaient être à l’origine de cette forme dégoûtante de barbarie que connaissait cette si belle terre de la Nigritie. Le constat était bien là. La Nigritie, et pour le moins, une majorité de sa population, était presque condamnée à demeurer sous les misères qui viennent de tant de machinations qui l’ont gardée pour telle pauvre victime, et de terrible pour tel qui soit cet objet qui constitue généralement le nœud de l’accablement que forme cette ombre sous laquelle elle est aussi dramatiquement retenue. Pour tel événement aussi profondément porteur de grande tristesse, il n’était point cas d’une exagération, pendant qu’on pouvait saisir ce fait qui voudrait qu’on admette qu’il n’était point d’acte aussi concret que celui qui s’apparente à toute conséquence qui affirme l’inconvénient qui vient de toute manœuvre qui consiste à ne garder des humains que sous les feux d’un aveuglement. Ce fut bien pénible pour ces hommes de la belle Nigritie, lesquels ne voyaient pas la sagesse pour telle chose dont l’obtention aboutit absolument à faire des ennemis, qu’encore moins à avoir des adversaires. La circonstance était là. Elle était aussi présente pour justement se montrer bien parlante. Il fallait aussi admettre le fait suivant lequel, la sagesse n’était pas toute vérité qu’on avait expérimentée, cependant pour telles circonstances qui voulaient qu’on soit retenu à ces exigences qui font le bel comédien, il y en avait encore que nombreux qui se lassaient aller à chaque moindre forte forme d’humiliation par tel choix de se conformer à toute véracité de faits qu’ils avaient vécus. Tel fait de bonne réalité pour ce qu’on avait vécu participait grandement à la formation des valeurs qu’on retenait par toute considération qu’on accordait au fait de la sagesse, et cela que dès lors qu’on estimait qu’il en était absolument de la meilleure manière à pouvoir en faire acquisition. Ceux qui furent retenus à ces attentions, gardaient cependant telle persuasion qui voulait qu’ils tiennent ces expériences pour celles qui auraient expliqué toute considération qui approuve telle nécessité obligeant à l’un à bien se faire une bonne sagesse. N’en était-il pas cas de ceux qui avaient aussi longuement observé le soleil, pour espérer lui accorder des propriétés ? N’en était-il pas de moindre que toute bonne démarche pour ceux qui s’étaient interrogés pour trouver un début d’entendement sur les origines de la vie, pour lesquelles, ils ne furent parfois de raison que par tant de spéculations, qu’autres faits de toute liberté dont ils ne désespèrent point à attribuer à l’humanité qu’en guise de bonne contribution ? Ils furent aussi libres pour tant de règles qu’ils établirent sur la cosmologie qu’autre forme d’explication sur tel entendement qu’ils avaient sur l’univers. Ils avaient pu catégoriser des étoiles, la lune, et davantage, qu’autres espèces qui firent leurs curiosités, qu’enfin leur effort par telle nécessité vers la sagesse les contraignit aussi naturellement qu’observer telle disposition qui les conduisit à admettre qu’il n’y avait d’origine qu’autre exigence qui voulait qu’il y ait séparation des contraires. Ce fut aussi simple qu’une nature de bonne intelligence, pour ce qui ferait un sensualisme, selon qu’on admît qu’on n’était pas à toute sensibilité pendant qu’on éprouvait du froid, qu’autant la différence était telle évidence qui faisait le chaud. Oui, il était bien facile de se convaincre sur le fait suivant lequel l’univers n’était parfois qu’à telle appréhension pour ce qu’il offre par l’humidité qui soit le contraire du sec, qu’en effet, et de vrai, il ne s’agit que de la plus élémentaire sagesse qui puisse interpeller un individu. Ces hommes de la Nigritie qui perdaient aussi gratuitement leurs vies avaient également été à telle qualité de comprendre ce qu’était cette nature, qu’une encore, et cela, pendant qu’on pouvait l’observer par tel spectacle qu’elle offre, et d’autre que de bien simple, puisqu’on la vivait, pour aussi fondamental que savoir se protéger du froid, parvenir à faire bon usage du chaud, tenir autre réflexion qui fasse leur savoir particulier par rapport à tel rapport qu’ils s’étaient fait avec la lune, selon l’interprétation qui leur était conséquente que par tel héritage qui faisait leurs us et coutumes, qu’en effet, ils purent aussi admettre combien la vie était belle lorsqu’on la vivait par toute tranquillité, par toute commodité, et cela qu’à l’abri de ceux qui n’hésitaient pas à ne la ramener qu’à toute brutalité, et d’exigence pour des convictions qui ne changeaient pas son cours, qu’à la suite de quoi, on pouvait observer leur détermination à échapper à cette entreprise de grande tuerie, d’où l’explication de leur désespérée tentative à trouver un moindre refus, et de bien tangible que par tant de parcours vers ces chemins qui pouvaient les éloigner du cycle de la violence, qu’encore, qu’au loin de ce déchainement qui traduisait la catastrophe que produisait cette machine à donner la mort. Irrémédiablement, qu’autant il importe encore de bien le saisir, l’humain n’est à toute raison absolue que par celle qui consiste à éteindre cette flamme de grande vie, ce souffle qui resplendit en chaque humain. Lorsqu’il parvient à réaliser tel dessein, il se sait alors qu’invulnérable. Simplement, il faudrait se demander où réside justement l’invulnérabilité lorsqu’on est sans raison, sinon que celle qui consiste à ôter la vie à un tout autre être humain. L’humain incontestablement n’est qu’un élément de cette nature, et un parmi tant d’autres dont la véritable manifestation n’est à toute possibilité que par cette absorption d’air, qu’alors il n’est pas de sagesse qui ne puisse pas le comprendre et l’admettre. Certains auraient encore estimé qu’il n’est à toute bonne compréhension que valoir tel élément fondamental, pour lequel on serait en droit d’espérer que toute chose se ramène à lui, tel air, qui soit aussi déterminant qu’on le dirait probablement que d’assez qu’infini. Seulement, lorsqu’on regardait telles atrocités que subissait la Nigritie, n’était-on pas en droit de se demander ce que l’humain sait produire de bien solide, lorsqu’il ne porte pas telle vraie raison qui fait de lui, par l’agissement, une certaine humanité porteuse d’une sagesse qui ne soit à toute différence que par la solidité que représenterait sa raison ? Ces hommes qu’on massacraient avaient certainement voulu avoir un dernier coup d’air, pour tel moindre que par ces paroles qu’ils auraient prononcées, et cela qu’en une langue qui fait justement leur identité, et de si moindre qu’interroger sur le pourquoi de tant de violences. Combien fallait-il encore compter ? à combien de tyrannies la Nigritie devait-elle encore faire face, et de tel que justement admettre qu’elle pouvait se faire toute autre sagesse qui ne la conduirait pas absolument à n’en faire bonne possession que par le fait de la grande violence, celle qui ne peut pas participer à favoriser la mise en place d’un cadre qui soit aussi propice que bienveillant, par toute considération qui parviendrait à organiser les hommes sous des conditions qui ne les retiendraient pas qu’en ces bonheurs qui leur accordent de la modération ? N’étaient-ils pas déjà ceux qui avaient aussi grandement besoin de la lumière ? Tel qui connaît les souffrances que subissent les enfants de la Nigritie peut bien se rendre compte de la nature du silence dans lequel ils sont plongés. Il n’en est de cas que de cette espèce d’omerta qui les entoure, les étourdit, pendant que tant de privilégiés de tout horizon se livrent, par ailleurs à un véritable pillage de ce qui semble être le bien commun de la Nigritie, et cela de vérité que justement, pendant tel temps que déjà tant de siècles. Ils subissent, ils endurent, aussi profondément pour ne savoir que se taire, car en face il ya toujours cette machine qui s’exprime, et de meilleur langage que par de grandes oppressions. Ils sont retenus à ne survivre que par telle espèce de soumission, laquelle reste cette bien cruelle forme de dépendance. Cette situation n’est de comparaison que par ce qu’elle vaut, qu’en termes de sujétion, telle réalité qui les destine à tenir une existence, laquelle, que fondamentalement, ne porte pas de différence, si jamais on l’amenait à telle analyse qui approcherait les conditions de ceux qui sont contraints à ne dire leur humanité que par tel cadre qui les ramène à observer les strictes règles qui particularisent une obédience. Plus d’une fois, il n’est pas d’autre mémoire qui ne sache reconnaître que la Nigritie, pour si belle terre, à bien souvent souffert d’atroces situations d’abstinence, et de bien irrégulière, parce qu’elles furent organisées, et de faits que par tel semblable exemple de ce que vie tel autre ressortissant de la Nigritie qu’on condamne parfois à subir de pareils traitements pour si simple qu’il soit détenteur d’une pensée qui ne soit pas permise en Nigritie, telle qui n’est pas reconnue d’institutionnalisée, celle qui ne jouit pas de la protection venant de toute qualité que possède une doctrine installée, qu’ensuite, il n’en est de mesure que telle application de grandes représailles. Il est bien difficile de s’interroger en Nigritie, et cela que sur tel domaine qui semble être celui pour lequel toute autre institution aurait déjà donné son avis, pour ce qui devrait être entendu comme dogme, tel qui devrait faire cas d’unique connaissance, qu’alors, on admettrait combien la Nigritie, autant ses hommes, pour des questions de juste compréhension des choses, pour des interrogations les plus simples, pour des raisonnements les plus essentiels, seront exposées à accepter toute forme exagérée de calvaire, pour tel unique but de faire triompher cette logique aussi grossièrement implantée, et qu’on entretient par tout excès qui aboutit parfois à ces désastres qui conduiraient les hommes à tel égarement, et de fait qu’au semblable de ces conditions qui obligèrent des hommes à tenir telle nature de bestialité inimaginable, selon qu’ils se transformèrent en ces sauvages qui purent écraser un enfant dans un mortier. Chapitre: 24 Trade Négrière parcourait l’essentiel de la sagesse qu’enseignait la société occidentale d’une certaine époque, et ne trouvait aucune difficulté à reconnaitre, qu’elle fut aussi à cette même nécessité de transmettre à son monde tel fait de toute efficacité qui vient du besoin de se faire un bel examen de conscience. Il savait encore se rappeler de la justesse selon laquelle cette autre société que d’une Nigritie avait des langues. Elles étaient peut-être étouffées, cependant restaient bien vivantes. Il y avait des raisons de le savoir, car elles étaient celles qui transmettaient aux enfants de la Nigritie ces mêmes valeurs qu’on retrouve ailleurs, pour lesquelles il n’en est de normalité que telle forme d’aisance qui voudrait qu’on comprenne combien le nombre, pour tel qui sache le distinguer, est à toute comparaison que constituer ce qui ne semble se montrer qu’à juste titre que par telle idée qui voudrait que le nombre soit encore souverain, et que de grave raison, puisqu’il n’était point d’un entendement qu’on pouvait se faire par toute acquisition de l’intelligence, par tel rapport qu’offre le fait de la simple langue pendant qu’on n’admettrait pas qu’il n’est rien qui ne sache véritablement se faire, se dire, s’il n’était point soumis à toute possibilité d’être comptabilisé, désigné, défini, distingué. Les hommes de la Nigritie avaient également, qu’à travers leurs langues, défini tout principe, et de juste clarté que par la moindre intuition adossée à ce qui n’était d’instruction que valeur première. Il fallait bien s’en convaincre, que par tel acquis qui ne pouvait se manifester qu’au moyen de toute qualité qu’on accordait à un nombre, pour telle finalité de rendre l’humain, l’homme de la Nigritie, à toute attention que par telle admission de ce qui ferait un ordre, que par ailleurs l’organisation archaïque de leurs structures sociales en faisait tel bel témoignage pour toute participation de ces membres, lesquels constituaient ces hommes, selon qu’ils avaient aussi grandement cogité sur tel essentiel à partir duquel on ne s’accordait de grande justesse que pour asseoir toute disposition qu’on ne retenait que pour tel sens qui indique de la réalité que porte une proportion. Il n’est justement pas d’histoire humaine qui puisse denier à la Nigritie le fait de ne pas avoir aussi été pour si longtemps déjà telle forme de société qui connu l’harmonie, et de bien exacte que par tel apport qu’offre le fait du nombre. Trade Négrière, certes, vivait déjà dans cette société occidentale, cependant ne cessait de ne pas oublier qu’il avait bien entendu pendant sa stricte enfance, des hommes dire de contes, aussi parfaitement structurés pour être porteurs de grandes intrigues, qu’autant des arguments, bien d’histoires, tant de narrations qui constituaient tel fond culturel de la Nigritie, celle d’une époque lointaine, et qui tenait en compte le fait de l’immortalité. Ce fut aussi tel temps d’une certaine instruction qu’autre fait de transmission, et pendant lequel on ne se lie pas aussi facilement aux interrogations qui poussent à toute réflexion sur les sens véritables des fonds que portent ces narrations, cependant, le moins qu’on sache désormais reconnaître est le fait suivant lequel, ces hommes, qu’autant ces contes qu’autres personnages et protagonistes étaient aussi parfaitement porteurs de tant de considérations sur la réincarnation, qu’autant étaient à toute approche de ce que les uns avaient aussi transmis par telle idée qui tourne autour de la transmigration. Tant de dispositions conduisant à l’acquisition de la sagesse étaient déjà bien pressentes en Nigritie. Ces dispositions ne souffraient simplement pas, que désormais, d’un fait qui était aussi interrogateur qu’indicateur de la préoccupation établie sur le sens véritable de cette destinée nouvelle vers laquelle la Nigritie était conduite, et d’aussi incontestable, puisqu’elle n’offrait pas que cette possibilité qui faisait tel entendement sur les voies qui conduisent au développement des sociétés de la Nigritie, et de tel que suivant un certain modèle, qu’à chaque adaptation de ce qu’offre, pour toute originalité, cette référence aux sociétés occidentales. La Nigritie, celle d’une certaine époque, celle pendant laquelle elle fut bien libre, avait aussi humainement été à tel concours pour une juste traduction de la compréhension que chaque individu pouvait se faire, et cela que par rapport à une appréciation profonde de l’univers, et de motivation que celle venant par telle détermination à tenir le fait juste qui consacre la rationalité qui tourne autour de la curiosité que l’univers n’a de cesse d’imposer à l’humain. Trade Négrière avait bien compris le fait sensé suivant lequel, l’Occident avait été tel qui eut avancé le pas, pour des effectivités qui s’appuyaient sur tant de résultats qu’il avait obtenus, et d’indices que pour ce qui ne fut concret que par telle observation qui ne cessait de le retenir, toutes les fois qu’il devait traverser tant de villes de l’Occident, et de bien que pour ce moindre qui le fascinait, ces dispositions de choses qui l’interpellaient sur le véritable sens de la matérialité de ces valeurs faites autour du nombre, et de tel que par ces nombreuses autres exigences qu’il impose, car, il n’avait arrêté d’admirer cette réalité qui se couchait sur cette application qui faisait telle valeur scientifique, par tout simple bel exemple venant de la disposition des terres agricoles de l’Occident, qu’alors, tout enseignait sur la beauté de ces plantations, et cela que par rapport à cette réalité qui faisait cette valeur dérivée de la circonspection profonde des hommes, à travers laquelle ces sociétés avaient retenu le fondamental qui repose sur l’acquis tant primordial, lequel ne vient qu’assez fondamentalement du respect des normes qui gravitent tout autour de la justesse qu’offre la géométrie. Il n’en était que cas de belles figures, qu’autres formes splendides qui exposaient une certaine beauté réelle de ce que représente une remarquable nature conçue et ordonnée avec soucis d’exprimer une splendeur. Que d’en être impressionné, Trade Négrière reconnaissait que cet aspect des choses, telle si régulière disposition des structures n’était à tout entendement que par le parcours que les uns avaient fait pour telle éventualité de parvenir aux bonheurs qu’offre toute pertinence qui oblige à l’acquisition de la sagesse. Pour tant de dispositions qui ne le laissaient pas différent, Trade Négrière, devait-il alors, sans indifférence, admettre que la Nigritie, pour cette longue nuit des temps, pour autre bonheur que la lumière du jour aurait pu lui accorder, que par cette unique source qui fut à tout début de l’aventure humaine, était encore restée cette belle terre qui ne pouvait connaître cette perspicacité qui distingue ceux qui pensent et estiment qu’ils ne sont qu’à toute grande définition d’humanité triomphante, et de justifié, que parce qu’ils avaient su appliquer toutes les logiques qui apportent une parfaite ingéniosité, et d’encore certain que, dès l’instant où elle s’accroche aux impératifs que dictent les matière et forme. Pour bien longtemps, il semble que la Nigritie avait aussi parfaitement compris que le jour et la nuit ne peuvent être qu’un, puisque ses hommes ne se montrèrent pas capables de séparer l’un de l’autre. Telle catastrophe que connaissait cette si belle terre de la Nigritie semblait aussi naturellement l’appuyer. La Nigritie avait aussi tragiquement subi cette honteuse traite des hommes. Des hommes qui furent vendus, et de comparable qu’au semblable de ce que certains savent encore bien faire pour toute occasion qui fait le fondement de la nature de tout marché. L’humain, celui venant de la Nigritie ne devint tout objet de demande que par telle nécessité qui explique une offre, celle encore exceptionnelle qu’en une marchandise. Jamais, on ne saurait s’y étendre assez. Ce fut un temps. Il était aussi profondément tragique, qu’au semblable de bien d’autres qui ne manquèrent point de déchirer cette si belle Nigritie. On ne trouvera pas assez de mots pour le qualifier. Seuls les mystères de ces instants gardent leurs secrets, et de désolant que par toute conjuration que l’humain ne se prive de faire cas de génie pendant qu’il estime que tel qui soit en face de lui est à toute différence, que par rapport à ce qui le ramène à une considération, laquelle le retiendrait à lui accorder une qualité qui soit d’une humanité qui ne vaille qu’en fonction de l’entendement qu’il se fait de sa propre qualité d’humain. Ce fut un jugement, pour bien simple que par telle appréciation de ce qu’on ne put retenir que par l’esclavage. Il fut bien entretenu. Les puissants l’avaient aussi naturellement poursuivi, puisqu’il en fut de tel que par une bonne règle à partir de laquelle l’intelligence humaine était à toute perfection pour distinguer des hommes, selon des catégories, pour les uns qui furent maîtres et les autres esclaves. Il en était davantage que de bonne compréhension pour ce que les uns ont instauré par telle brutalité qui fait des castes. Il en était d’autre, pour ces conditions d’existence à partir desquelles, ceux qui étaient détenteurs des moyens de violences furent encore à tout privilège selon qu’il en fut d’une normalité à partir de laquelle tout conduisait à organiser le fait des dignités, telle mise en place d’un ordre établi par correspondance d’un respect des titres. En réalité, il n’en fut d’observation, que par ces considérations qui ne furent abouties qu’au moyen de toute force, l’acte de violence qui établit les conditions qui organisent des humains, selon toute logique qui les oblige à tenir telle conduite qui ne s’analyse que par le fait de la hiérarchie.
Posted on: Fri, 13 Sep 2013 17:32:08 +0000

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