"Un enfant dans un mortier" : Chapitres: 51-52 Chapitre: 51 Les - TopicsExpress



          

"Un enfant dans un mortier" : Chapitres: 51-52 Chapitre: 51 Les Luegetraum étaient des hommes d’une bonne famille qui fréquentaient celle des Don Dogon. Bien avant que la rupture ne se produise entre Indigenous et Schönheit, le jeune fils des Luegetraum, Illusonnos, qui faisait de bonnes études en architecture avait besoin d’assistance, en mathématique, et cela moyennant rémunération. Schönheit obligea donc Indigenous à accomplir ce petit boulot. Au départ, il ne voulut pas le faire. Il trouvait un peu difficile de s’introduire dans une famille occidentale de cette classe. Schönheit avait encore pu le convaincre. Il accepta ce job. Cela faisait encore quelques revenus, lesquels, certainement, étaient un plus pour arrondir ses fins de mois. Indigenous continua à apporter assistance à Illusonnos, et cela, même après sa rupture avec Schönheit. Le temps avait fait son cours. Il n’avait certainement pas pansé toutes les blessures, il n’avait pas guéri toutes les déceptions. Schönheit s’était reconstituée qu’en telle amitié qu’elle partageait désormais qu’avec Markus Sanctus. Indigenous menait aussi sa petite vie, pour laquelle il n’avait de concentration que soutenir sa thèse et rentrer en Nigritie pour y bâtir une nouvelle vie. Pendant qu’il donnait des cours de répétions à Illusonnos, il eut une liaison avec Mrs Luegetraum. Puis ce fut le tour de Idolus, la sœur ainée de Illusonnos. Plus tard, Idolus lui avait présenté Trauer, une de ses amies dans une boite de nuit. La liaison avec Idolus fut aussi courte, et de si semblable qu’il en fit avec Mrs Luegetraum. A force de réfléchir sur les conditions à partir desquelles il s’était retrouvé en tel milieu, celles-ci l’ayant conduit à se découvrir, que malgré lui, dans ces courtes liaisons avec Mrs Luegetraum et Idolus, Indigenous décida d’arrêter ce job de répétiteur. Il ne fréquenta plus cette maison. Des mois plus tard, de nouveau, il avait rencontré Trauer dans une autre boite de nuit de la ville. Ils avaient passé un bout de temps ensemble, et les choses étaient allées très vite. Pour tel temps, ce fut même l’instant d’un amour. Trauer lui fit la promesse de pouvoir vivre en Nigritie. Leur mariage devait être célébré au Danemark, un mois avant qu’il ne soit arrêté, et accusé de viol sur cette même Trauer. Lorsque Schönheit finit d’apporter ces explications à Trade Négrière, elle fondit encore en larmes, disant : - si tu pouvais savoir combien je l’aimais, qu’encore je n’avais jamais arrêté de l’aimer. Trade Négrière pouvait encore se souvenir de ce jour au cours duquel, à la mensa, il fit la connaissance de Schönheit, qu’autant, aucun moindre signe ne lui permit de comprendre qu’il y eut une relation entre elle et Indigenous. Indigenous ne lui avait jamais parlé de cette terrible aventure, qu’autre mésaventure et infortune qu’il avait connues. Le pensant, il vit une autre jeune belle femme de la Nigritie venir vers eux. Elle était aussi distinguée que par sa beauté si naturelle que frappante, et d’autre que par ce bout de tissus qui lui enveloppait totalement la tête et laissait paraître un front d’un assez bel cercle qui trahissait la finesse de ses traits, et qu’en mieux, pour quel visage les bords étaient aussi bien parés que par des pendeloques qui balançaient de ses oreilles. Il la reconnut. C’était Amore. Elle était complètement triste. Elle put à peine dire bonjour. Elle prit place à coté de Schönheit, et resta silencieuse. Schönheit essayait d’étouffer ses sanglots. Tout d’un coup, Amore lui posa donc la question : - l’information est-elle vraie ? Schönheit fit un signe de tête pour la confirmer. Amore poussa donc un cri. Trade Négrière fut paniqué, leur demandant de lui expliquer ce qui se passait. Puis, Schönheit, un peu comme une enfant perdue, balbutia des mots qu’il put encore saisir. Elle les répéta, qu’en une voix profondément noyée dans des sanglots. Trade Négrière entendit alors : - In-di-ge-nous a été re-trou-vé mort dans sa cel-lule ce ma-tin! Elle lui expliqua, qu’avec difficulté, qu’on parlait de suicide pour lequel il s’était laissé aller à la mort, qu’en se pendant. Ces humeurs, ces pleurs, ces femmes si belles, partageant le malheur, qu’à la fois le trouble de Trade Négrière après avoir appris le décès de Indigenous, tout cela, pour tel bref instant, proposait une scène cauchemardesque. Trade Négrière invita ces jeunes belles femmes à se lever, et à quitter la mensa. Ils sortirent de ce bâtiment, et se dirigèrent au parking où était stationnée la voiture de Schönheit. Amore s’était montrée disposée à conduire. Ils se rendirent tous dans l’appartement de Schönheit. Quelques minutes plus tard, le téléphone sonna. C’était Don Dogon. Il annoncait à sa fille, qu’ensemble avec quelques autres ressortissants de la Nigritie vivant dans la ville, ils avaient pris part à l’admission du corps de Indigenous à la morgue. Don Dogon s’était même encore battu pour suivre le déroulement de l’autopsie. Il avoua d’ailleurs à sa fille qu’il n’y avait pas une moindre trace qu’autres marques qui attestent d’un suicide, ou d’une pendaison. Son corps portait plutôt de nombreux coups. Dans cet appartement de Schönheit, dans lequel Trade Négrière y mettait ses pieds que pour une seconde fois, l’ambiance était insoutenable, morose. Il était difficile de consoler Schönheit. Elle semblait dire qu’elle portait la responsabilité de ce drame. Amore essayait tant bien que mal à l’amener à ne pas partager cette responsabilité. Trade Négrière prit un instant peur, se demandant franchement en quel monde il se retrouve véritablement. De temps en temps, que déchiré par cette lourde angoisse, Trade Négrière s’étonnait pourtant de ce regard cruel, des yeux menaçants que Amore lui adressait. Il ne voulut pas rester longtemps. Il s’excusa, d’ailleurs, prétendant qu’il avait à faire. Il leur dit qu’il devait accomplir certaines volontés de Indigenous pour des recommandations qu’il lui avait faites la veille, lors de la visite en prison. Ce fut un bel prétexte. Il sortit la carte bancaire de Indigenous, et voulut la confier à Schönheit. Elle lui demanda de la garder. Bien avant de partir, Schönheit lui remit un numéro de téléphone d’une dame vivant en Suisse. Elle lui fit savoir qu’elle était un membre de la famille de Indigenous. Ils s’y étaient rendus pendant que leur relation était encore bonne. Trade Négrière prit le numéro de téléphone, et leur dit au revoir. Au moment de traverser la porte, il jeta encore un coup d’œil, et croisa le regard de Amore. Il était de plus en plus menaçant. Il eut encore le temps de faire un signe de la main, oubliant de récupérer sa breloque. Chapitre: 52 L’été était toujours là. Ces jours estivaux avaient été pénibles pour Trade Négrière. Le décès de Indigenous lui apporta assez de souffrances. Il avait bien souvent essayé de joindre Schönheit, pour s’enquérir des préparations du rapatriement de son corps en Nigritie. Il y eut une première rumeur annonçant son incinération. Ensuite, on lui apprit l’arrivée imminente de la tante de Indigenous qui vivait en Suisse. Trade Négrière avait pris la peine de la joindre au téléphone, que pour bien fait, comme le lui avait exigé Schönheit. La fin de la semaine qui venait allait certainement être tel moment au cours duquel le transfert de son corps devait avoir lieu. Trade Négrière éprouvait une assez grande peine à rester dans la ville. Schönheit l’avait souvent appelé, lui demandant de venir la rejoindre. Il essayait toujours de la rassurer, trouvant une excuse pour ne pas vivre telle grande peine qu’elle partageait aussi. Schönheit le comprenait. Indigenous avait été presqu’un tuteur pour lui. Il en était d’une réalité pour laquelle la douleur lui était également insupportable. Il avait éprouvé cette envie de s’éloigner pour quelques heures de cette ville qui lui semblait désormais, que pour ces brefs instants, difficile à vivre. Il avait besoin de voyager, de s’évader, voir d’autres personnes, écouter de nouvelles sonorités, découvrir un nouvel pays. Il pouvait le faire avec moins de vingt Marks. Il décida donc, pour tel week-end d’aller se promener en Hollande. Il prit juste un train, et se retrouva à Vaal. Il marcha quelques centaines de mètres, et constata qu’il respirait un air nouveau. Il avait bien voulu oublier à la fois tout ce qui se déroulait en Nigritie, que cette terrible fin que connut Indigenous. Il ne le put pas. Il essaya pourtant de se montrer fort, il le réussit peu, car il avait été un homme cultivé sous telle tradition qui développe l’émotion, et de bonne occasion, lorsqu’un proche perdait aussi atrocement la vie, et quittait encore qu’indignement le monde. Il avançait dans cette petite ville frontalière qu’il ne connaissait pas. Elle était petite, d’un assez bel paysage certes, cependant on avait comme l’impression que tout le monde se connaissait. Trade Négrière portait telle réalité qui le rendait distinguable partout où il pouvait se retrouver en Occident. De cela, il n’en était d’aucune exagération. Les différences étaient là et elles s’observaient. Il ne pouvait rien faire pour les changer. On ne pouvait que les subir, et d’autre que contourner tant de stéréotypes et désavantages qu’elles apportaient. S’il y avait des avantages, on savait également en faire profit. Pour si simple, tel avait toujours été la ligne de réflexion de Trade Négrière. Il put enfin s’arrêter à un bar, il avait besoin de boire un coup. Il prit donc place sur une terrasse, commanda une bonne bière. Il savait qu’elle lui ferait du bien. Il la but rapidement, paya et quitta le coin. La ville n’était pas aussi grande. Il voulut emprunter un bus qui le conduirait de nouveau vers une station d’autocars, afin de se rendre à Heerlen, une autre ville non loin de là. Il atteignit la station de bus, et y trouva une assez belle jeune femme, laquelle attendait ce même bus. Il fut très surpris de la voir là. Il lui dit bonjour en anglais, s’excusant de ne pas parler le Néerlandais. Elle lui répondit en anglais. Que de la voir là toute seule, il en était aussi fortement troublé. Cette jeune fille ressemblait terriblement à une femme de la Nigritie. Ils eurent une courte conversation pleine de gentillesse au cours de laquelle Trade Négrière lui fit savoir qu’il était en promenade pour découvrir telle partie de ce pays. Il lui fit apprendre qu’il avait à peine visité Vaal, et n’y était déjà que pour moins de deux heures. Il se rendait compte qu’il ne pouvait rien y trouver d’intéressant, et s’apprêtait à se rendre à Heerlen. Cette jeune femme, tout comme Trade Négrière, portant juste un petit sac sur son épaule, le tint également informé du fait suivant lequel, elle était aussi entrain de découvrir la région. Trade Négrière voulut certainement croire à une excellente coïncidence. Ils se présentèrent mutuellement. La jeune femme s’appelait Brain Douglass. Trade Négrière déclina son nom. Il eut quelques mots de bonne éducation. Tous les deux décidèrent donc de faire la découverte de Heerlen. Ils firent le voyage ensemble, lequel d’ailleurs ne mit pas long. Ils purent encore visiter cette ville, laquelle était aussi frontalière, et non loin d’Aix-la-Chapelle. Ils marchèrent encore ensemble, comme deux personnes perdues, et qui ne se soutiennent que pour combler leurs curiosités. Tous les deux étaient des touristes de circonstance. Ils ne connaissaient pas la région. Brain Douglass venait visiter les Pays-Bas, et cela, que pour ce seul week-end. Il en était de même de Trade Négrière. Ils avaient juste leurs cartes, et pouvaient parcourir toutes les petites villes environnantes. Brain Douglass avait normalement occupé une chambre dans un hôtel de la ville de Maastricht. Très tôt, elle le fit savoir à Trade Négrière. Ils quittèrent ensuite Heerlen pour se rendre à Venlo. C’était une autre ville encore frontalière. Vers la soirée, sous l’insistance de Brain Douglass, ils purent donc rejoindre Maastricht. Pendant ce périple, Brain Douglass avait déjà su que Trade Négrière était un homme venant de la Nigritie. De la première écoute de ce mot, il lui fut difficile de savoir où se trouvait la Nigritie. Trade Négrière put encore lui expliquer ce que c’est que la Nigritie, qu’alors il lui fut bien facile de la situer, et cela d’autant plus qu’elle était une anglaise d’origine jamaïcaine. Elle était justement entrain de faire des recherches sur des hommes de la Nigritie, ceux qui vivaient dans la société occidentale. Elle était sociologue. Elle était passée par la France, ensuite la Belgique, et profitait de la fin de la semaine pour visiter tel pays qui n’était pas si loin de la Belgique. Ses recherches étaient justement orientées sur la connaissance des hommes de la Nigritie vivant en Occident, et de bonne compréhension que les étudier selon les différentes langues occidentales qui font la base de leur éducation. Elle avait naturellement commencé ses recherches au Royaume uni, et savait les poursuivre dans les pays voisins. Elle fit d’ailleurs savoir à Trade Négrière que l’Ibérie serait probablement sa prochaine destination. Tous les deux étaient arrivés à Maastricht presqu’en fin d’après-midi. Ils purent encore diner ensemble. Ils avaient longtemps parcouru la région, pour avoir des estomacs vides. Brain Douglass semblait être de très bonne éducation. Elle le laissait découvrir par telle patience dont elle faisait bonne disposition afin de comprendre Trade Négrière dans ses expressions. Trade Négrière faisait attention au choix de ses mots. Il était en face d’une anglaise. La circonstance lui exigeait une certaine application dans son expression. Ils finirent de diner, le jour cependant était encore là, et ils décidèrent d’acheter quelques boissons dans un kiosque, et de s’installer sur un banc public qui était non loin de la cour de l’hôtel où logeait Brain Douglass. Ce fut un magnifique petit espace de bonne verdure assez bien entretenue à partir duquel on pouvait avoir un magnifique panorama de cette partie où ils se trouvaient. Tous les deux réalisèrent l’opportunité que leur accordait leur rencontre. Brain Douglass profitait du week-end pour découvrir la région, qu’à la fois se reposer. Trade Négrière avait besoin de souffler après cet événement dévastateur qu’il venait de vivre, suite au décès de Indigenous. Pendant qu’ils soufflaient sur ce banc, il n’y avait logiquement d’autre sujet que cette tragédie que connaissait la Nigritie. Il n’en était rien de surprenant. Elle était de toute bonne actualité. Trade Négrière put encore lui expliquer ce que ressemblait une société dont la base était pour si simple qu’une organisation traditionnelle avec des classes de pasteurs, d’agriculteurs et de chasseurs, qu’à la fois il y avait aussi ceux qui exécutaient des taches de poteries, qu’autant tout cela était fondamentalement encadré que reposé sur un système politico-religieux. Trade Négrière lui dit encore : - ce système ne trouvait sa base qu’au nom d’un roi, lequel était admis comme image du dieu suprême Imana, et d’autre qu’entouré d’une assez discipliné aristocratie. Brain Douglass pouvait bien se le représenter. Elle était une sujette de sa majesté. Trade Négrière ajouta pourtant : - ce système partageait entre autre une valeur mythique commune, notamment celle de Ryangombé, lequel fut un excellent chasseur, qu’à la fois retenu de tout grand rang pour être reconnu d’ancêtre fondateur sous l’égide des génies de la forêt. Brain Douglass était anglaise, pour bien pouvoir et surtout savoir comprendre et se représenter telle belle organisation que fut cette monarchie dans une Nigritie ayant perdu ses repères. Trade Négrière lui expliqua ensuite ce qu’il en fut de destruction de cette organisation avec l’arrivée des occidentaux, qu’alors il lui dit: - qu’en tel royaume en Nigritie, les colons y imposèrent ensuite leur administration et leur religion. Qu’aussi tu n’ignores pas le rôle joué par ailleurs par ton pays dans ces dévastations que connurent la Nigritie. Brain Douglass eut encore une grimace, qu’alors elle se défendit : - je dois surtout te rappeler que je n’ignore pas que j’ai originairement des racines en Nigritie. Trade Négrière lui fit justement savoir, qu’au nombre de toutes ces difficultés que rencontre la Nigritie, il en est des raisons qui l’obligent à se faire une sagesse. - courts-tu derrière la sagesse, lui demanda Brain Douglass. - bien sur que si. Je cours et j’ai de bonnes raisons. - c’est dangereux. Pour tel qui vient de la Nigritie, qu’à l’endroit de l’Occident, cela représente une menace. - j’ai déjà reçu des mises en garde. - fais attention à toi et prends les au sérieux. Ici que facilement, on crache dans le cerveau de l’humain. Trade Négrière se montra silencieux, essayant de découvrir encore telle personne qu’il avait en face de lui. Il la fixa profondément, qu’alors elle eut un air d’une paniquée. Elle s’engagea à le ramener à de plus juste sentiment, qu’autant éloigner telle méfiance qu’il entendait déjà témoigner, qu’alors elle lui demanda donc de lui parler des problèmes qui minent cette Nigritie. Ce fut donc une assez belle demande. Pour si peu déjà, Trade Négrière savait encore plaindre telle Nigritie. - il n’en est d’image que pour ce monde qui se croit sage, en brutalisant certains de ses enfants. Il y a de nombreux exemples. Le plus fréquent est tel pour lequel on jettera en pâture ces enfants de la Nigritie qui ne savent pas se retrouver, ni dans le christianisme, ni dans l’islam. De l’entendre, Brain Douglass fut un peu étourdie, cependant il continua pourtant, lui disant donc : - je ne peux manquer de toujours me plaindre de cette Nigritie qui n’arrive pas à se mettre au pas de la connaissance la plus élémentaire, celle notamment que confèrent les décomptes de la chronologie. Je revoie encore ces enthousiastes de la Nigritie, lesquels me semblent si faibles pour ne pas comprendre que la Nigritie ne mérite plus ces comportements, car les vérités sont franches, elles sont fraiches. D’autres les savent et les admettent. Je me demande donc pourquoi il en est de si différent pour le concerné des enfants de la Nigritie ? - tu évoques les questions de liberté et de connaissance, lui fit remarquer Brain Douglass. Trade Négrière adopta une position encore que confortable, qu’alors Il s’arrangea sur ce banc qu’il occupait, et ajouta: - tout cela fait encore mal, sérieusement mal à celui qui peut comprendre les choses. Tout cela est pénible, lorsqu’on réalise que la Nigritie s’enfonce, et se perd de plus bel dans si pareil médiocre gouffre, pendant qu’on découvre qu’elle n’a de cesse de développer cette sombre tradition par tout mépris qu’on témoigne à l’un qui se tue à coups de sacrifices pour acheter des livres pour toute fin de s’instruire, cependant, pour tel effort à l’instruction, on lui dira encore qu’il n’en est que d’une qui ne vaut rien, aussi longtemps quelle ne peut pas le conduire à parler de dieu, qu’alors il se découvre n’ayant désormais pour enseignant que des coiffeuses, des hommes retenues à ce métier de braiser du poisson et des viandes, des vendeurs de bières, des ménagères, qu’autres charlatans, tels qui ne peuvent pas lire dans les livres, et même pas ceux à toute matière de cuisine, et qui pensent que lire dans les livre ne vaut rien, cependant d’étonnement, ils restent encore les mêmes qui s’efforcent d’exprimer leurs vœux encore ardents, par toute opportunité venant d’un rêve, à partir duquel ils se verraient envoyant leurs progénitures à l’école. - cela est affreux, attristant, cela est horrible, affirma alors Brain Douglass. - oui, il n’y a pas de sots métiers, simplement, ces attitudes de grandes intimidations et molestations sont totalement offensantes pour l’histoire de l’homme de la Nigritie, et pour tel que dans sa permanente conquête de liberté. Sans liberté, sans instruction, l’homme de la Nigritie, que jamais ne sera d’aucune aventure en l’acquis de la connaissance. Ce fut précis, ce fut insisté, ce fut posé, lorsqu’il ne manqua pas de le rappeler à Brain Douglass. Aussitôt dit, elle lui demanda s’il ne partageait pas le fait de la révélation. Trade Négrière, eut d’abord une amère grimace, et lui fit gravement savoir son avis, disant: - ma raison d’homme de la Nigritie ne me permet pas d’accorder le moindre crédit à un fait révélateur qui n’a rien à voir avec ma réalité historique, et qu’en cela, je n’en suis, que de si profondément convaincu, et de moindre que pour telle approche qu’on ne manque pas d’étouffer. Dès qu’il eut ces paroles, il se déclencha en lui, une subite forme de combat intérieur. En réalité, il n’en était que d’autre explication, et de nécessité que pour tel d’argumenter ce malaise profond qui participait à traduire le calvaire que vivaient les hommes de cette partie du monde en proie à tant de violences. Trade Négrière pouvait encore songer à cette Nigritie, cette belle Nigritie qui s’acharnait d’une part, contre le temps, et de l’autre contre le progrès. Il était difficile de tenir un raisonnement assez cohérent dans cet autre monde dont le sort était telle chose qu’il déplorait, lorsqu’on s’enfermait dans une espèce de grave déraison pour chaque occurrence qui soit à toute nature de provoquer un malheur, qu’alors on ne se prétend de tout expliquer que par cette espèce d’idiotie qu’on avait fait cultiver dans le conscient de ces hommes, pour laquelle il n’était de cause justifiant ces infortunes que celle qui venait par le fait de la sorcellerie. Trade Négrière essaya encore de faire comprendre à Brain Douglass tel obscurantisme qui reste régnant en Nigritie, pour lequel il n’était d’autre insistance que le répandre, et de bien tragique par telle désolation que cela provoquait. Il lui apporta cette explication qui fait l’objet de cette excellente ruse qui garde prisonnière une bonne franche de population de la Nigritie, la plus nombreuse par ailleurs, qu’alors il n’en est que de bon exemple lorsqu’il faudrait bien reconnaître que toute forme d’accident trouve toujours une explication dans la sorcellerie. Lorsqu’un homme est percuté par un véhicule, il faudrait toujours y voir la main d’un sorcier. En Nigritie, qu’en très peu de circonstances, sinon jamais, on ne sait admettre que la conduite est une activité dangereuse et périlleuse dés l’instant où on ne respecte pas les consignes de bonne conduite. Pour telle attitude d’inattention, de non-conformité on devient un meurtrier dans la rue, pendant qu’on peut se servir d’un véhicule, qu’on transformerait en une redoutable arme, et cela, que dès l’instant où on en ferait de si désastreux que pour tel temps d’une bonne folie. On avait une excuse, celle à partir de laquelle on pouvait trouver un quelconque innocent, et d’une simple rumeur que pour le rendre sorcier, qu’à la fois responsable des morts qui viendraient de cet accident. Nombreux conduisent en profond état d’ébriété en Nigritie. Pour telle sensibilisation, il faut encore du temps, cependant, lorsque les accidentés sont là, il ne faudrait plus voir le manque de respect des dispositions de conduite, il faudrait plutôt découvrir un quelconque sorcier agissant dans l’ombre et auquel on ferait porter telle prouesse macabre. Le fait révélateur sait bien entretenir ces thèses, qu’à la fois trouver des solutions pour lesquelles il ne manque pas de tenir des propositions à toute nature d’anéantir des sorciers, et de moindre que par d’autres malheurs, lorsqu’ils restent généralement ceux qui sont fabriqués pour un tel si peu à partir duquel, ils savent se distinguer par toute attitude qui les éloigne du fait révélateur, et de bonne conviction lorsqu’ils sont ceux qui se montrent désormais fermes à se prévaloir de la connaissance qui fait un sage, et d’autre bonheur que celui qui les distance des objets de la duperie que ceux des superstitions et enthousiasmes. Trade Négrière lui fit encore réaliser combien on brimait l’homme de la Nigritie, que pour tel unique handicap l’obligeant à ne pas aller vers la réflexion, sinon de toute contre nature que se contenter du fait révélateur, lequel malheureusement est loin de sa réalité. Trade Négrière put encore lui dire l’excès en ce fait, pour lequel cette situation était offensante pour la dignité de l’homme de la Nigritie. A force d’écouter ces histoires presqu’invraisemblables, et cela que par telle attention qui indique une grande lucidité, Brain Douglass était là, un peu étonnée et percevait tout ce que lui apprenait Trade Négrière. Ce fut, d’autre opportunité, que bien intéressant, puisqu’elle avoua ensuite : - de vrai, pour une première fois, j’ai l’impression de rencontrer un homme de la Nigritie qui me parle aussi franchement des réalités qui sont si essentielles à cette partie du monde. Elle reconnut alors qu’il importait surtout de la visiter pour s’enquérir du concret qu’elle offrait, et de juste que par cette évidence qui devrait certainement régner là-bas, et cela, qu’afin de se faire une bonne propre opinion. Trade Négrière fit tôt de lui faire savoir qu’elle restera toujours la bienvenue en Nigritie, puisqu’elle est telle si belle terre qui accueille tout le monde sans la moindre restriction due à une quelconque considération. Que de l’entendre ainsi elle eut d’ailleurs un assez large sourire, un peu comme si, de cette publicité de Trade Négrière, elle en était presque totalement rassurée. Trade Négrière lui fit encore savoir tel fait pour lequel la description assez souvent partagée sur la réalité de la Nigritie était purement plurivoque, et cela que pour la défense des intérêts des occidentaux en telle partie du monde. Il ne voulut même pas lui faire entendre tel sens qui soit de la catastrophe que connait la Nigritie, qu’en termes de chômage. Brain Douglass put encore l’admettre, reconnaissant que la situation était un peu semblable que dans cette partie des caraïbes d’où ses parents étaient originaires. Il lui expliqua encore telle difficulté que connait la Nigritie. Que froidement, il dit pourtant : - ses populations présentent telle image d’une humanité encagée. Le reste n’est qu’un effet de dorage, car, il n’est de sensibilité reconnue de porteuse de dignité que celle qui peut aller aussi librement vers le fait de la réflexion. Il ajouta encore : - pour autre tapage, il n’en est assez souvent que cas de manœuvres qui consistent à les ennuager, lorsqu’ils doivent encore insister sur d’autres voies, et de bien grave que subir cette sanction, que par toute forme de violence, venant de ces acteurs qui les affameraient, qu’autre qu’en faire des objets réduits au fanage, et pour quelle survie, ils ne se retrouveront que contraints à embrasser le fait de la confrontation qui les conduit assez souvent à telle catastrophe qui aboutit à la prise des armes, qu’alors il n’est de conclusion que ces nombreux étripages. - pauvre monde, c’est horrible tout cela, s’exclama donc Brain Douglass. Trade Négrière la voyait transformée, pleine de chagrin et de dégoût, qu’alors il insista encore : - la suite, on la connait bien en Nigritie. Elle respecte toujours le même schéma. Le conflit éclate, les belligérants tiennent des positions. Les medias et autres réseaux imposent les règles du jeu. On nomme des chefs de guerre, on fait répandre leurs slogans et autres idioties d’idéologies dont on dit encore qu’ils se réclament, et de grande tristesse pendant que certains ne savent même ni lire ni écrire. Les marchands d’armes entrent en compétitions. Les contrats sont signés et les richesses minières hypothéquées pour des siècles. On procède au retrait des troupes qu’autre qu’une réduction des contingents des organisations de « gouvernance mondiale », et de toute ironie pour ce qu’une telle gouvernance veut dire. On apporte toute la sécurité aux étrangers, les occidentaux généralement, qu’autant l’évacuation des personnels étrangers des ambassades. Apres tel succès, on procède finalement au carnage des pauvres populations de la Nigritie. - oh non, c’est affreux, que tout m’épargne d’u tel malheur, suppléa encore Brain Douglass. Trade Négrière, la plaignit, la regarda, voulut lui dire qu’elle ne portait aucune différence par rapport au genre féminin qui subissait tant d’atrocités en Nigritie, cependant, s’en garda, qu’alors il fit échapper quelques mots : - la gouvernance mondiale justement, quel totalitarisme, quel absolutisme, quelle exécrable dictature, si on ne peut qu’aussi logiquement l’admettre. La jeune femme anglaise était sans mot, elle eut juste un reflexe d’impuissance, posant sa main sur sa joue. Trade Négrière ne put pas aussi correctement parler à Brain Douglass de la situation sanitaire en Nigritie. Il lui expliqua encore combien il est difficile de concevoir l’aspect régulier de la maladie en Nigritie. De toute normale observation, lorsqu’on était malade, il n’en restait de bien facile qu’accuser un sorcier. On serait mort par manque de soin, venant de cette incapacité, cette impossibilité de pouvoir aller se faire consulter chez un médecin, et de si simple, parce qu’il n’y a parfois pas d’hôpitaux, ou à défaut, on est tel qui manque totalement d’argent pour pouvoir payer des soins, qu’à la suite de quoi on crève, et cela qu’à l’indifférence de tous. Lorsqu’un décès survenait donc dans ces conditions, on s’apercevrait assez rapidement qu’on saurait trouver un coupable, et de bien régulier que tel sorcier qu’on ne manque pas de designer. Brain Douglass semblait totalement intéressée par ces confidences que Trade Négrière lui apportait. Elle ouvrit donc son sac à main sortit du papier et de la marijuana, et se mit à rouler un bon petit cigare. Elle en proposa aussi à Trade Négrière, lequel hésita un moment, et, se faisant prier par elle. - c’est la bonne. Cela ne te tuera pas. Elle est vraiment bonne, goûte et tu me diras, lui fit-elle savoir, qu’en insistant. Qu’alors pour garder la bonne ambiance, il finit donc, que poliment, par se servir, et de tel, qu’assez modestement. Pendant qu’ils fumèrent, Trade Négrière put encore lui expliquer quelle terreur, qu’autre condamnation exagérée, s’abattaient contre ceux qui fument du cannabis en Nigritie. Ils étaient parfois considérés pour bien pire que des démons. Il lui faisait cependant observer, qu’il n’en était pas de semblable dans la société occidentale. L’exemple était là, puisque dans la société occidentale, fumer du cannabis ne revenait pas à tuer un homme. Brain Douglass venait d’ailleurs l’appuyer, ajoutant d’ailleurs : - on a parfois que vu beaucoup d’intellectuels fumer du cannabis en Occident, sans pour autant que leurs bravoures ne soient mises en doute, et de moindre que remise en cause. On a que vu tant d’artistes se servir du cannabis, pendant qu’on n’admettait, de bien simple, tout inconvénient que tel dommage qui pourrait les amener à être confrontés à des problèmes de santé. On a autant vu bien d’étudiants ne pas ignorer le cannabis, et d’autre que parfois des élèves, des ménagères, des politiques, des hommes célèbres, des femmes impeccables, et de si juste, pendant que tout cela ne bouleverse pas le monde. On a bien de fois encore vu des sportifs dire qu’ils savaient encore se détendre, qu’à la fois faire baisser la pression, et de bien normal que par quelques fumées de cannabis. Ils purent pourtant que librement continuer dans leurs métiers, sans qu’ils ne soient le moins du monde inquiétés. On savait encore que les toxiques étaient nombreux que multiples. En Occident, justement, on n’a jamais cessé de parler de cocaïne, et cela, qu’heureusement encore, elle n’était pas d’usage pour tout le monde. Là aussi, que d’extraordinaire, il y avait un sacré bel monde. Celui des intouchables surtout. Celui de la propreté, celui de la richesse, là où règne le sublime, les stars et les fortunés, les intelligents et génies, et que de bonne certitude, on aurait dit un monde de l’excellence. Trade Négrière lui fit autant savoir combien, dans une bonne partie de la Nigritie, la prise de l’alcool ne souffre pas d’un moindre mot. Brain Douglass avoua pourtant le fait suivant lequel l’alcoolisme était aussi que surement un problème de santé. Trade Négrière le confirma, et entre autre, lui apprit donc qu’il faisait très bon usage de se faire des bières, et cela presque partout en Nigritie, malgré quelques exceptions, les tendances n’étant pas les mêmes, et cela qu’en fonction des législations religieuses. - Heureusement, la consommation de l’alcool, devait-il encore reconnaître, ne fait pas des démons, qu’aussi qu’elle puisse produire de nombreux ravages. Les règles sont établies, il n’y a pas de guerre contre la consommation d’alcool, cependant il est tel qui échappe au savoir-faire des hommes de la Nigritie, et pour lequel on ne sait jamais trouver des sorciers. Trade Négrière lui avoua cependant, que de toute franchise, qu’il n’était pas contre la consommation de l’alcool. Brain Douglass avait achevé son premier cigare de cannabis, qu’alors ils se servirent encore des boissons qu’ils avaient achetées. Brain Douglass, cependant, qu’entretemps, se fit encore un autre cigare de marijuana. Trade Négrière fumait assez lentement le sien. Il continua donc à expliquer à Brain Douglass ce qui fut terrible pour l’homme de la Nigritie, si ce n’est cette espèce de morale qu’on lui avait inculquée, et pour laquelle il ne savait plus se servir véritablement de son intellect, qu’à la fois il était retenu à exprimer une certaine peur, lorsque cet intellect le conduirait à affirmer telle vérité sur le juste sens de ce qui serait de la franche lecture de ses intuitions, qu’autre fait de sa sensibilité. - la perception de l’homme de la Nigritie doit absolument être respectueuse des dogmes qui ne souffrent de se montrer inattaquables. Trade Négrière lui confiait donc ce qu’il en résultait de bien pire que cette indifférence par rapport au fait de la science, et cela, qu’en lui expliquant qu’il était encore difficile de faire accepter à certains hommes de la Nigritie le mal que provoque un cancer, si ce n’est qu’ils tiennent tel mal pour si simple qu’un sort jeté par un sorcier. Il en est encore de bien semblable que fortement urgent que parvenir à expliquer ce que c’est que l’hypertension artérielle, lorsqu’on ne l’entend aussi que pour bien qu’un sort. - de leur coté, il n’en est d’explication que pour tout ce qui laisse penser que l’heure exacte de l’accomplissement d’une malédiction est arrivée, laquelle fut dite quelques années plutôt. Trade Négrière essaya encore de lui faire savoir ce qui était de tragique situation en Nigritie que celle pour laquelle il ne faudrait parfois pas expliquer l’électricité pour ce qu’elle a de purement physique. Il convenait de faire de l’électricité, telle chose qui ne soit possible de discernement qu’au moyen de ce qu’on comprendrait par un pouvoir dont il est difficile d’imaginer le prestataire, puisqu’on arrête de signifier sa production par tel sens qui soit porteur d’une ferme rationalité. Il était un peu difficile à Trade Négrière de lui parler de l’autre réalité de la Nigritie, celle pour laquelle tout était de moindre interprétation que par la valeur qu’on accordait au fait de la liberté de l’homme, et de moindre que par telle traduction franche qui serait d’une primauté qui fasse sa volonté, et de dramatique pour ce que les événements en cours en Nigritie offraient au restant des humains, lorsqu’on se rendait compte de la gravité que prenaient ces tournures, en tel, et d’indigne que pour ce qui ne faisait pas la prétention qui affirmerait le sens que porte l’amour de l’autre, car, cette Nigritie était encore celle dans laquelle, que de chose vue, d’événements vécus, pour si moindre proportion, il arrivait malheureusement que les jeunes se mettent à flageller tous les vieillards d’un village, et de juste que d’exemple, pour telle raison de leur porter la terrible accusation d’être des sorciers. Pour ce qui justifierait ces flagellations, les plaintes ne sont que bien nombreuses. Ils tiendraient ces vieillards pour responsables de leurs échecs scolaires, qu’autres impossibilités de trouver du travail, absence de procréation, tant de maux dont on les rend coupables, qu’ensuite, ils sont à toute justification pour laquelle, on les soumet à de longues séances de grandes bastonnades. Il faudrait encore reconnaître qu’ils ne tiennent motivation en ces actes déplorables que d’aide venant de ces discours qui indiquent le fait du sorcier, et pour lesquels, les discoureurs, qu’autres surveillants, sont généralement ceux qui veillent au grain, pour tel de perpétrer la logique de la peur, de l’effroi qui fut de la belle méthode de l’Occident, et reste toujours de la belle recette à partir de laquelle on sait faire des abrutis, et de tel que pour ce qui semble désormais prendre place de tradition. Une fois que Trade Négrière eut encore expliqué ces situations rocambolesques que vivent la Nigritie, et cela que par telle cause qui soit de cet obscurantisme qu’on avait su construire en Nigritie, pour lequel ces hommes ne pouvaient pas analyser les faits sous des dispositions de bonne rationalité, Brain Douglass, que subitement, eut pourtant comme impression que Trade Négrière lui racontait des histoires, celles qu’il embellissait si heureusement que sous l’effet du cannabis. Elle le pensa assez gentiment, un peu pour lui signifier la stupéfaction que portait un tel récit. Trade Négrière, se frottant alors les yeux, la fumée de la marihuana les lui ayant piqués fortement, savait encore tousser grandement, lorsqu’il en avalait de si grandes bouffées, et devait pourtant la rassurer : - je n’ai pas encore achevé mon cigare de marijuana, cependant, de ces faits, il n’en est que cas d’événements réellement survenus, lesquels par ailleurs sont assez courants, qu’autres faits bien récurrents en Nigritie, et cela, que sans exagération pour ce que je te rapporte. - comprends-moi, je trouve tout ceci étrange, se défendit-elle. Trade Négrière lui parla de nombreuses ruses restées permanentes en Nigritie, et de si pareil qu’à tout exemple par le fait du sorcier, lequel était une si bonne recette, la magnifique formule, à partir de laquelle il fallait justifier le pouvoir qui soutient le fait révélateur, et par toute exagération que celle d’en faire tel qui soit à cette nature de tenir l’ordre escompté, et d’obligation qu’accorder toute protection aux vulnérables, pour laquelle il y aurait absolument reconnaissance d’une autorité, celle se distinguant comme détentrice de l’antidote contre le sorcier, la potion contre le maléfique. Il lui fit encore découvrir telle gravité de ce qui faisait le bel partage de l’homme de la Nigritie, pendant qu’on n’arrêtait pas d’entendre des ragots qui disaient bien souvent que, lorsqu’un homme était mort en Nigritie, il l’était qu’en bien de cas parce qu’on l’aurait vendu, un peu comme on le fait avec une marchandise. Il était souvent vendu à un riche marchand occidental, lequel l’emportait en Occident pour le faire travailler dans des restaurants, des cafeterias, ou des manufactures, dans lesquels il avait tel statut d’esclave qui passait toute sa vie à travailler, et cela que pour le compte de son acquéreur, lequel pouvait également le revendre de nouveau à un agriculteur, pour des travaux agricoles, qu’ensuite tel qui était mort en Nigritie, ressuscité en Occident ne pouvait plus savoir qu’il avait au préalable vécu en Nigritie. Seulement, s’il arrivait que les siens puissent se rendre en Occident, ils le reconnaîtraient assez facilement dans la rue, où en autre lieu. Toutefois, s’il se produisait qu’il soit surtout reconnu, son acquéreur, qu’immanquablement, s’arrangerait rapidement à lui faire quitter les lieux, qu’à la limite il le revendrait dans un autre pays en Occident.
Posted on: Sat, 14 Sep 2013 16:43:48 +0000

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