Voilà lintégralité de mon droit de réponse à cet article: Droit de réponse article « sud-ouest » de ce jour « Robin ne sera pas candidat » Gravement mis en cause par Christophe-Luc ROBIN dans l’article de ce jour de « Sud-ouest », je vous demande d’insérer le droit de réponse suivant : « Plutôt que de concentrer ses critiques sur un bilan de 25 ans de socialisme à Libourne, M. Robin, dont l’amertume l’aveugle, prend le risque de faire perdre la droite en 2014. Manifestement, il n’a toujours pas digéré le score sévère de 2,69% qu’il avait obtenu en 2002 alors qu’il s’était présenté déjà en dissident de l’UMP face à moi aux élections législatives. Malgré cela, j’ai souhaité le prendre sur ma liste aux municipales en 2008 et je lui ai confié la responsabilité de chef de file de l’opposition en 2010 au moment où j’ai quitté mes fonctions de conseiller municipal d’opposition pour cause de cumul de mandats. Toujours très présent sur les dossiers locaux en qualité de Député et conseiller régional, je pensais avoir avec l’opposition municipale un relais efficace. Cela n’a pas été le cas et j’ai beaucoup regretté ne pas avoir été secondé dans nombre de dossiers locaux, comme, par exemple, ceux concernant l’ancienne école de gendarmerie et la destruction du château de la Plante. Il convient de rappeler que j’ai été investi à l’unanimité du comité départemental de l’UMP de la Gironde, présidé par Alain Juppé qui viendra à Libourne me soutenir. M. Robin préfère une liste UDI, dont certains alliés, comme F. BAYROU, ont appelé à voter F. HOLLANDE, et composée principalement de gens animés par le désir de me voir perdre plutôt que de faire gagner Libourne. Il adresse quelques compliments au passage à M. MITTERRAND qui a pourtant abandonné ses fonctions de Maire en cours de mandat pour les confier à M. BUISSON selon un scénario que j’avais été le seul à dénoncer en 2008. Me faire passer pour un politicien animé d’un désir de carrière est lamentable car M. ROBIN sait qu’il n’en est rien. Venu de la société civile et revenu à elle comme magistrat, au sommet de la carrière judiciaire, je n’ai pas besoin de la politique pour vivre. En 2014, nous avons l’occasion historique de gagner, de transformer cette ville, et de sanctionner ainsi des politiques nationale et locale calamiteuses. Unissons nous pour LIBOURNE et ses habitants et balançons aux orties nos susceptibilités et vanités. Avec l’équipe très ouverte, jeune, volontaire, impliquée pour la ville que je constitue, il y a encore de la place pour les bonnes volontés. 12 octobre 2013, Jean-Paul GARRAUD
Posted on: Tue, 15 Oct 2013 04:49:57 +0000
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