montre Jean François N’Denguet tenir des propos déplacés contre la communauté zaïroise, communauté qui forme, pourtant, le plus gros lot d’immigrés au Congo-Brazzaville. Comme d’habitude, Jean François N’Denguet aime parler, aime blâmer, aime se faire remarquer et n’a pas déroger cette règle devant une foule venue l’écouter sur des questions sécuritaires. Sur cette question, il s’en prend à la communauté zaïroise, frôlant presque l’appel aux meurtres des zaïrois : Que dit-il dans la vidéo ci-dessous ? (traduction rapprochée) : « Il n’est pas question de contrôler les ouest-africains installés dans notre pays, notre lutte va se concentrer envers les + Kuluna (appellation revendiquée par des éléments des gangs venus de RDC pour s’amasser de l’argent par tous les moyens) + ». « Ces hommes qui viennent ici dans notre pays, ces coulounas, c’est zaïrois, qu’ils aillent faire la délinquance à Kinshasa, dans leur pays. Mais pas ici. Sinon, je vous informe que nous allons les tuer ». VIDÉO : RACISME AU CONGO-BRAZZAVILLE : JEAN FRANÇOIS N’DENGUET PROMET DE TUER LES DÉLINQUANTS DE RDC. LE PROBLÈME ZAÏROIS Beaucoup des congolais se plaignent de la délinquance perpétrée par les congolais (RDC), souvent chef des gangs, et ce qui pose de réel problème de cohabitation entre les deux communautés. Le problème zaïrois au Congo concerne, également, toutes les autres communautés (sénégalais, maliens, centrafricains, rwandais) qui se plaignent de la délinquance. Concernant cette délinquance, il est certain que toutes les communautés installées au Congo-Brazza voient toujours, le zaïrois de mauvais œil : Prenons l’exemple de la ville de Pointe-Noire, où les gangs zaïrois arrivent à dévaliser des cargaisons des entrepôts, des trains marchandises, très souvent avec une violence inouïe. Nombreuses de ces cargaisons appartiennent aux sénégalais, libanais et autres communautés qui se plaignent ou qui portent plainte et par conséquent, rend plus nerveux le policier congolais, et par voie de conséquence, rend plus vulnérable la communauté zaïroise. Mais la délinquance au Congo-Brazzaville n’est pas récurrente aux seuls zaïrois, dans le quartier Poto-poto à Brazzaville, on n’y parle souvent ds zaïrois et des centrafricains. Dans l’ensemble du Congo, il n’est pas rare de voir des congolais de Brazzaville dans la petite délinquance voir parfois des vols à main armée, par exemple, le braquage des fonds dans la ville de N’Kayi. Dans la réalité, de nombreux zaïrois sont nés au Congo-Brazzaville, certaines estimations alarmantes frôlent entre quart et le tiers de la population. On sait que d’autres sont arrivés plus jeune, mais n’ont jamais oublié les origines zaïroises, résultat, ils sont parfois confondus aux nouveaux arrivants de RDC. Par ailleurs, ce n’est pas parce qu’il y a une délinquance visible et parfois violente des ressortissants de la RDC qu’il faut mettre tout le monde dans le même sac. De plus, le problème n’est pas zaïrois, c’est en effet, l’incapacité de Jean François N’Denguet de lutter contre toutes les formes de délinquance (prostitution, arnaque, vol, raquette, corruption, anarchie, trafic d’influence). Sa brutalité, ses émotions, ses incompétences, ses arrestations politiques de ce qui prennent la liberté de critiquer Sassou, n’ont engendré que désolation envers les congolais. UN CANCRE DEVENU GÉNÉRAL DE LA POLICE Jean François N’Denguet n’a pas combattu vraiment la guerre, car il fut blessé rapidement quand la guerre du 05 juin 1997 a débuté. Il a été vite évacué au Gabon où d’ailleurs il était longuement au repos; puis revenu vers la fin de cette guerre civile, il a voulu jouer au gros bras avec un guerrier cobra au nom de « chien méchant », mais il avait frôlé la mort ce jour-là. Nul était l’intervention de la garde rapproché de Dénis Sassou N’guesso, Jean François N’Denguet tombait ce jour-là comme un simple paysan. Pour se faire une renommée guerrière, Jean François N’Denguet n’a pas hésité de tuer les voleurs et les brigands de grand chemin à bout portant. La guerre finissant, Jean François N’Denguet a sans doute été remercié par un poste qui d’ailleurs ne va même pas avec sa carrure ou sa personnalité. Et puis ce qui est grave c’est que le mec n’a même pas une éthique policière dans sa tête. Ce monsieur est dans toutes les affaires qui sont l’affairisme, la malhonnêteté et l’abus de position dominante. Comme tant d’autres aventuriers dans les hautes sphères de l’État, sous prétexte de servir le Président de la République, le général N’Denguet a privatisé les services de police pour en faire un outil de règlement des comptes à caractère privé. Source : Réseau Nerrati-Press Un article de Direct.cd Lisez la version originale ici: Le Chef de la police Brazzavilloise menace de tuer les « Zaïrois »! | Direct.cd Par La Rédaction 14Lectures Publié dans La une Avec comme mot clé Congo-BrazzavilleJean-François NdengueKulunaPCTSassou Nguesso Dans la même rubrique JosephKabilaepaule RDC – Pourquoi les Kinois n’aiment pas Joseph Kabila? files Qaund le M23 « pleure en Kinyarwanda »… comldk1 Evariste Boshab à la base d’une opération « 100.000 USD par député pour un 3ème mandat » Soldiers of the Congolese army enter a d Congo, la route vers les ruines (Vidéo) 201251813480823699_8 Exclusif – Derrière les lignes énnemis: les FARDC en action (reportage) brazzaUne vidéo qui circule sur la toile, montre Jean François N’Denguet tenir des propos déplacés contre la communauté zaïroise, communauté qui forme, pourtant, le plus gros lot d’immigrés au Congo-Brazzaville. Comme d’habitude, Jean François N’Denguet aime parler, aime blâmer, aime se faire remarquer et n’a pas déroger cette règle devant une foule venue l’écouter sur des questions sécuritaires. Sur cette question, il s’en prend à la communauté zaïroise, frôlant presque l’appel aux meurtres des zaïrois : Un article de Direct.cd Lisez la version originale ici: Le Chef de la police Brazzavilloise menace de tuer les « Zaïrois »! | Direct.cd
Posted on: Mon, 29 Jul 2013 15:30:25 +0000
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