À la fin janvier 2013, c’est Sylvie Therrien qui a transmis au Devoir les premières informations démontrant que les enquêteurs des services d’intégrité sont soumis à des quotas de prestations à couper de l’ordre de 485 000 $ par année. À 53 ans, Mme Therrien se retrouve sans emploi, coupable d’avoir fait part aux médias d’une situation qu’elle jugeait inacceptable. À partir d’aujourd’hui, c’est l’Alliance de la fonction publique du Canada (dont la présidente, Robyn Benson, a qualifié Sylvie Therrien d’« héroïne ») qui prend le dossier en main pour tenter de faire casser la décision. Mais le processus de contestation sera long - jusqu’à deux ans.
Posted on: Thu, 24 Oct 2013 11:43:06 +0000