1 numéro II Novembre 2013 « La Feuille de Liaison du SUTELEC - TopicsExpress



          

1 numéro II Novembre 2013 « La Feuille de Liaison du SUTELEC » ÉDITORIAL Un mot de Aliou BA « Le contr’un » de la Boétie contre « ndoumbélane » d’un dg aux abois ‘’certes, ainsi que le feu d’une étincelle devient grand et toujours se renforce, et plus il trouve de bois à bruler, plus en dévore, mais se consume et finit par s’éteindre de lui-même quand on cesse de l’alimenter : pareillement plus les tyrans pillent, plus ils exigent ;plus ils ruinent et détruisent, plus on leur fournit, plus on les gorge ; ils se fortifient d’autant et sont toujours mieux disposés à anéantir et à détruire tout ; mais si on ne leur donne rien, si on ne leur obéit point ; sans les combattre, sans les frapper, ils demeurent nus et défaits : semblables à cet arbre qui ne recevant plus de suc et d’aliment à sa racine, n’est bientôt qu’une branche sèche et morte’’ SENELEC traverse les pires moments de sa gouvernance qui se traduit par des contre-performances multiples ; retards sur projets structurants, pertes d’exploitation, désorganisation, rupture unilatérale de marchés au détriment de l’entreprise, retour des problèmes de combustible et des ruptures de fourniture du courant, la démobilisation des ressources humaines, longue attente des demandeurs de compteurs, la pérennisation de la fraude, le maintien de la puissance locative, la lancinante question des compteurs, etc. Monsieur se veut solitaire et droit sur ses bottes, tel un contremaitre de plantation pour mieux tromper son monde, sous des habits de rigueur sans méthode ni organisation, ni transparence pour développer des facteurs de performance, mais pour faire plaisir à une certaine opinion, à déshabiller ces ‘’privilégiés’’ de la nation ; et se servir tranquillement derrière, par la porte dérobée. Mais cette tranquillité est sans cesse perturbée par ceux qui ‘’refusent qu’on le gorge d’avantage’’, ceux qui croient encore en leur entreprise. Et finalement, Monsieur vient de signer, la mort dans l’âme, la lettre de commande sur les cent mille compteurs. Une petite victoire certes, mais importante à nos yeux; aussi reste-t-il à se poser la question sur l’entêtement opportuniste à bloquer le marché des compteurs prépayés au lieu de développer cet important projet qui est la voie de salut des sociétés délectricité et particulièrement celles comme SENELEC, traversent des difficultés de trésorerie. Mais monsieur peine à résoudre les conflits d’intérêts qui l’habitent. Ces mêmes incompréhensions managériales convoquent la politique de précarisation de mise pour des centaines de travailleurs qui n’ont aucune possibilité de se projeter et de se réaliser dans le cadre d’une entreprise qui leur a tout pris ; simplement inadmissible et à combattre ; il s’agit pour nous de réaffirmer d’abord l’observation stricte de l’égalité de chance à l’accès à l’emploi au regard de la loi fondamentale et du code du travail. L’accès à l’emploi ne doit être assujetti à des relations privilégiées d’aucune sorte; sinon la plupart de nous, fils de paysan ne serions jamais là ; c’est d’abord une présomption de compétence suite à un concours ou une bonne et longue expérience au poste à pourvoir. Aujourd’hui, force est de reconnaitre le facteur de contre-performance qu’une telle injustice peut traduire, dont le dernier aspect se révèle sous forme d’affectations incongrues qui ont impacté négativement les résultats d’octobre ; aussi s’attendre, si rien n’est fait de sérieux, à une baisse de 2 rendement, de ce fait, en novembre et décembre. Mais ‘’Le solitaire’’ dans sa gestion à la NDoumbélane, tel un rouleau compresseur, continue d’écraser les acquis des travailleurs sous divers maquillages ; voyez par vous-même à partir des charges salariales globales : 2011 11,72 % 2012 10,46 % 2014 7.58% objectif budgétaire voire note d’orientation budgétaire. Bref il faut noter que le directeur croit devoir redresser l’entreprise sur la base d’une réduction drastique du pouvoir d’achat des travailleurs. L’AUSTERITE à NDoumbélane Le dialogue social reste biaisé à la SENELEC et malgré notre bonne volonté devant la direction du travail en suspendant notre requête plainte pour quinze jours, le DG demeure dans le dilatoire et la ruse ; n’est-ce pas ‘’chasser le naturel il revient au galop’’ ? Même l’instruction ferme de la direction du travail sur le respect de la permanence médicale au regard des dispositions du décret 2006-1258 est passée au panier à ordures par ‘’le solitaire’’. Alors revenons à E. Boétie : ‘’ Pour acquérir le bien qu’il souhaite, l’homme entreprenant ne redoute aucun danger, le travailleur n’est rebuté par aucune peine. Les lâches seuls, et les engourdis, ne savent ni endurer le mal, ni recouvrer le bien qu’ils se bornent à convoiter. L’énergie d’y prétendre leur est ravie par leur propre lâcheté ; il ne leur reste que le désir naturel de le posséder’’. Alors devons-nous oeuvrer d’avantage pour l’avènement d’un vaste rassemblement des travailleurs afin de devenir plus fort et casser l’étau ‘’du prédateur’’ qui n’a d’alternative que diviser plus, semer plus de zizanie pour continuer cette funeste oeuvre de destruction du socle de l’économie nationale. Il faudra être patient et besogneux, ne négliger aucune possibilité, exploiter tous les outils que nous livre le contexte, et demain sauver l’entreprise. Tel est notre objectif le plus immédiat. Aliou BA Contrepoint. L’ACCAPAREMENT Le concept est du professeur Malick NDIAYE, mais on pourrait l’étendre à la réalité de la SENELEC. La définition, qu’il en donne pourrait être décliné comme la tendance de nos élites à s’approprier toutes les richesses du pays pour eux et leurs clans. Cette compréhension, nous permet malgré toute sa texture réductrice d’analyser ce qui est à l’origine de l’histoire récente de notre pays et qui a été appelé la dévolution monarchique. En effet, le fait de vouloir rester Calife et le seul calife relève de cette logique de l’accaparement, qui s’accompagne toujours d’une logique de jouissance et de domination. De même, la logique de la reproduction sociale au sein de l’entreprise qui consiste à recruter fils, frères, femmes, neveux et nièces, au détriment d’un recrutement ouvert à tous les sénégalais compétents, participe de l’accaparement. Et 3 pourtant, si cette logique avait prévalu au sein des premiers managers, ils ne seraient pas là. Ne sommes-nous pas, ou tout au moins pour la plupart, des fils de paysans, d’ouvriers, de fonctionnaires, ayant été sélectionnés du fait de préjugés sur nos compétences, à partir de nos diplômes ? Cette situation génère des questions, dont une de fond pour nous africains et qui faisait dire à Axelle KABOU, « Et si nous- l’Afrique - refusions le développement ? » La réponse reste toujours ouverte. Pour notre part, elle ne relève pas de la fatalité, ces élites sont incapables de poser les jalons du développement. En effet comment comprendre que dès la nomination de quelqu’un comme responsable d’une entité, la solidarité qu’il met en avant c’est une solidarité mécanique, celle du clan, de la famille. Ce type de solidarité est la marque des sociétés archaïques. Peut- on entrer dans la modernité de cette façon-là ? Les ruptures annoncées semblent creuses et démagogiques au vu de ce qui se passe. Les ’anciens managers produits ou pas de l’entreprise avait mis en avant ce type de solidarité : clans, famille, amis. Quid des compétences ? Des directeurs s’engouffrant dans la brèche, ont fait embaucher fils frères beaux fils et frères. Aujourd’hui, encore, sous fond de’’ rigueur ‘’ pour les autres, des largesses pour SOI (voiture de 63 millions) et la famille, semble être le crédo. Ndoumbélane est le nom d’un tel royaume. En effet ce que nous savons faire c’est le ‘’NGURUU’’, au sens féodal du terme, ‘’NGUUR’’ ‘’ Funu la fal, yaa faye BUUR’’. Notre rapport au réel, au sens ontologique du terme est seulement de l’ordre de l’ostentation, de la jouissance, et faiblement pour sa transformation pour le bien-être de tous,. Quand notre mémoire nous renvoie nos luttes des années 80/90, nous sommes tentés de nous dire qu’il fallait laisser les Toubabs, « les privés » rester, eux peut être auraient leurs amis et leurs bouffons mais ils allaient au moins utiliser nos compétences. Au total, il nous faut encore d’autres nuits du « 04 Aout » où bruler des privilèges, des ‘’23 juin’’, pour arrêter les dérives. Si certains ne veulent pas de notre légitimité c’est parce qu’ils veulent le silence pour continuer leur accaparement. Abdoulaye SENE RUBRIQUES Le Saviez-Vous ? A- Le rapport a mis parcours de la direction des études et de la qualité nous apprend entres autres qu’ au premier semestre 2013, nous avons 13321 instances de clients ayant payé leurs avances sur consommation et qui attendent d’être branchés. Le délai moyen d’attente se situe à 47.3jours. Cependant le plus cocasse est dans la conclusion, comme quoi, c’est l’absence de compteurs qui en est la principale cause. Pour dire que la politique du Dg en la matière est la preuve qu’il n’est pas intéressé par le redressement de la SENELEC. B- La tournée que nous avons effectuée sur l’axe : Tamba, Kolda, Ziguinchor, nous a appris qu’il y avait trois catégories d’agents à la SENELEC, si nous avons tous en partage les salaires dérisoires et un faible pouvoir d’achat, les travailleurs qui sont en zone rural ou semi urbaine ne font pas partie des travailleurs qui doivent être informés sur ce qui se passe dans l’entreprise. Ainsi, non seulement ils sont dans des locaux insalubres, sans climatiseurs, pas de chaises suffisantes et sans ordinateurs –centres secondaires- l’internet y est superflu certainement pour le DP -, ils veulent tous quitter et cela se comprend. C- Les travailleurs de la production sont parmi ceux qui sont les plus malheureux de la SENELEC. Ceux qui sont partis en retraite dans cette direction depuis deux 4 ans ne sont pas remplacés, l’illustration la plus patente, le cas du département Production Régionale, le chef de centrale de C4 cumule ce poste avec celui de Bel Air ainsi que la gestion de la réhabilitation de la c3, à croire qu’il n’y aurait pas de cadres au niveau de la production. Ainsi évoquer le cas de ceux qui partent cette année, c’est se moquer de ceux qui pensent à une possible promotion ; dans d’autres directions les responsables sont remplacés depuis 6 mois. Ainsi, évoluer à la production, relèverait d’une prouesse. Si ce n’est pas ’’TUER la production’’, c’est quoi ? Ceci interpelle tous les travailleurs de la production sans clivage aucun pour faire face à un directeur qui a d’autres préoccupations. L’annulation du marché de remise à niveau de la TAG3 où après plusieurs tergiversations 20 % avait été versé est inexplicable. Ce marché évalué à 100 millions de nos francs, durant le règne de Samuel, a renchéri parce que de valses hésitations en valses tout court, les anciens mentors de l’alternance « Takkal - Peundeul » sont passés par là. Enfin sur un financement AFD, le marché est adjugé, l’entreprise choisie, fait ses commandes, reçoit son avance et voilà Monsieur décide de l’annulation du marché sous prétexte que nous n’aurons pas de GAZ pour la faire tourner. La SENELEC va devoir payer 50 à 60% du cout, c’est à dire au moins 720 millions de nos francs si il n y’a pas eu un renchérissement du dollar entretemps. Même en lui concédant la pertinence de ce choix, il resterait à comprendre, la rationalité qui consiste à offrir à une entreprise étrangère 720 millions de nos francs et de laisser une machine qui aurait pu renforcer la réserve tournante de la SENELEC. Non il y’a des choses pas catholiques derrière cette décision. MASSAMBA D- Extrait texte liminaire conférence de presse du 06 novembre 2013, introduite par Aliou Ba à l’HYBISCUS. La gestion catastrophique de M. DIENG tout comme sa communication calamiteuse exacerbent les difficultés de SENELEC et hypothèquent les solutions de sortie de crise qu’il avait trouvées. Ce qui est plus grave et surtout condamnable se traduit par le comportement irresponsable et flagorneur de ce dernier. Comment comprendre qu’il présente aux sénégalais des résultats positifs suite à sa gestion qui lui aurait permis d’économiser 27 milliards de francs CFA ? Un flagrant délit de faux pour masquer ses carences ; alors analysons les résultats d’exploitation du premier semestre 2013 qu’il utilise pour camoufler ses dérives de gestion: 1. Le Fonds de Soutien à L’Energie (FSE) mis en place dans le cadre du plan Takkal par décret 2011-161 du 28 janvier 2011 avait permis de sécuriser l’approvisionnement des unités de production en combustible pour mettre un terme au délestage par manque de combustible mais aussi devait aider la SENELEC à se restructurer financièrement en prenant en charge le renforcement du parc de production entre autres; cet outil avait permis également de renégocier les différents contrats dans ce domaine au bénéfice de l’entreprise. 2. Le programme du plan TAKKAL qui avait permis de mettre fin au délestage en 2012 par la mise en service d’une puissance additionnelle locative APR de 150 MW fonctionnant au diesel oïl (DO) avait prévu son arrêt en fin d’ année 2012 avec le couplage sur le réseau SENELEC des 4 groupes diesel fonctionnant au fuel lourd (soient 64 MW) des extensions des centrales C6 et C7. Et cette mise en service a permis à l’entreprise de faire des 5 économies importantes sur les couts de combustible et aussi de gestion technique. 3. La convention de session des 14 MW au gaz avec AGGREKO SOCOCIM à un coût réel moyen du KWH assez faible, soit 38.58 frs CFA par rapport à celui le plus bas de SENELEC 75.12 FCFA pour le groupe 405 à la centrale C4. 4. Le projet de la centrale hydro électrique de Félou avec le surplus du ¼ de la puissance produite sur la centrale de 60 MW (coût du KWh Manantali 21.34 frs CFA largement inférieur au coût moyen du Réseau Interconnecté(RI) 5. L’utilisation en 2012 des TAG2 à 17 MW et TAG4 à 32 MW comme étant des groupes de base fonctionnant 24h/24h au gasoil. Cette option avait pour objectif la satisfaction de la demande à tout prix et avait coûté 215.67 FCFA le KWh produit par TAG2 et 178.55Fcfa le kWh produit par TAG4.Tout ceci comparé à celui des centrales C6 et C7 qui coûte en moyenne respectivement 80.77Fcfa 80.91Fcfa 6. L’utilisation comme groupe de base du cycle simple de GTI 33 MW en TAG, au cout de 204 F Cfa le KW ; fonctionnant au DO durant toute l’année 2012 contrairement à cette année ou GTI est à l’arrêt et relayé par les Groupes APR à 132.77Fcfa le KWh. Ainsi les économies sur ce volet sont importantes. 7. Les fluctuations des coûts du combustible au niveau international assez favorable en 2012. 8. M. DIENG a aussi opéré des coupes sombres sur la rémunération du personnel; rien qu’en avril 2013 ce poste a connu une baisse de 231 millions comparé à 2012 pour la même période. Un bureau à Bignona – ces agents ne demandent pas le luxe mais le minimum Dakar Novembre 2013 VIE SYNDICALE Différent collectif La mauvaise volonté du DG de rencontrer les délégués après la réunion organisée au CFPP, a amené les camarades à saisir l’inspection du travail et la direction du travail autour d’un différend collectif du travail : art L271, L272 et L273 du code du travail. En effet le DG après de multiples sollicitations, n’a pas daigné répondre, ce qui a motivé la saisine. Après une 1ère convocation le 20 Septembre renvoyée à cause de l’absence de la SENELEC, les parties sont convoquées le 26 Septembre 2013 à la Direction du Travail et de la Sécurité Sociale. L’inspecteur chargé de la Division des Relations professionnelles, a écouté les parties quant aux motifs qui ont conduit au différend collectif. La délégation du SUTELEC a montré la situation délétère qui sévit dans l’entreprise avec une violation flagrante des dispositions statutaires et légales en matière de réception des délégués du personnel et de remise en cause des acquis sans concertations préalables. Reconnaissant, le climat social peu propice au travail, le DRH propose une concertation pour dépasser les problèmes. 6 L’inspecteur a proposé à l’issue des échanges une rencontre avec les autorités de SENELEC dans un délai de 15 jours pour discuter de la plateforme, avec un engagement du DRH. La délégation du SUTELEC a accepté ainsi de suspendre la procédure. A l’issue de la rencontre, une demande avait été adressée comme convenu au DG, mais elle est restée lettre morte, et comme nous l’avions prédit, le DG ne respecte aucune règle et il faut en tirer les conséquences. HABY FALL TOURNEES SYNDICALES Nous avons parcouru les régions de Tamba, Kolda et Ziguinchor du 14 au 19 Juillet 2013, en passant par Koungeul, Koupentoum, Tamba, Médina Gounass, Vélingara,Dabo, Kolda, Gounass, Cap Skrings, Ziguinchor pour terminer par Bignona. Partout l’accueil a été chaleureux et cordial. Nous avons discuté avec des travailleurs en insistant sur la nécessité d’avoir une organisation solide et unifiée pour faire face aux attaques de la Direction générale. D’autre part les menaces et injonctions venues de Dakar demandant aux travailleurs de boycotter nos AG n’ont pas prospéré. Il est déplorable que certains caciques aient cru un moment qu’interdire aux travailleurs de se présenter à nos AG pouvait influencer notre approche de la situation de la SENELEC et du syndicat. Les enseignements tirés de cette tournée, c’est qu’elle renforce notre conviction que nous sommes sur la bonne voie, de même que cela a permis de faire comprendre aux travailleurs rencontrés où se situent les enjeux. C’est dire qu’il faut continuer ces tournées dans les autres régions pour renforcer le pôle que nous avons constitué depuis le 02 Mars. Agence de Sédhiou !!! …Economies de 42 milliards !!! Réagissant à la conférence de presse que nous avons tenue le 06 Novembre dernier, le DG a annoncé les économies de 42 milliards réalisées depuis qu’il est là. Si par l’absurde on lui acceptait cela, la question à se poser serait : Quel en est le prix ? Cependant, il y a lieu de désagréger ce chiffre, ce qu’il a fait dans sa note d’orientation pour le budget de 2014. En réalité, les économies pour 97.8% sont d’ordre exogène et ne relèvent pas de sa gestion. En effet les 33 milliards constituent les écarts entre les dépenses combustibles de 2012 et 2013 qui s’expliquent par les variations sur le cout du combustible et ses dérivés entre les deux années d’une part et la part prise par les extensions de C6 et C7 (avec des CS performants) dans la production, comparativement à 2012. Les 7,6 milliards découlent des économies comparativement à 2012 sur les frais de capacités, liés aux charges de location des APR-(Il était prévu de réduire les locations avant qu’il ne soit nommé du fait des extensions sur C6 et C7) ce qui est antérieur à sa gestion. Les économies qui sont à son actif, ce sont les 921 millions soit 2.2% des 42 milliards, qui découlent de la réduction des heures supplémentaires et du blocage des missions, dont les impacts sur l’exploitation sont de loin supérieurs à ses économies. La preuve, le niveau de démotivation des travailleurs jamais atteint dans l’histoire de 7 l’entreprise sans parler de l’image de l’entreprise au niveau des populations. Des clients payent et attendent plus de deux mois avant d’avoir un compteur, donc chute des ventes, conséquence chute du chiffre d’affaire. Tout ceci parce que Monsieur a bloqué le marché sur les compteurs parce que sa société est n’en est pas adjudicataire. Les délestages et la qualité de service de façon générale s’est détériorée. On aurait pu continuer, avec la gestion catastrophique du personnel. Embauches et promotions clientélistes se font au quotidien. C’est dire que le DG ne trompe que lui-même et ceux qui l’ont nommé. La SDE a privé le pays d’eau pendant 15 jours et plus, si jamais nous privons les populations d’électricité durant 10h, bonjour les dégâts sur nos agences. Pourquoi, sommes-nous les moutons noirs des entreprises publiques? Une réponse possible : nous parlons beaucoup, et les résultats ne sont jamais conformes à la réalité des faits. . L’ancien PCA avait raison de douter de ses capacités à manager la SENELEC. SANDIOUKA Novembre 2013 CONGRES DES 28 et 29 Septembre de l’UNSAS. 2ième CONGRES ORDINAIRE DE L’UNSAS L’Union Nationale des Syndicats Autonomes du SENEGAL UNSAS a tenu son 2ième congrès ordinaire les 28 et 29 septembre 2013 à l’Hôtel King Fadh Palace sur le thème ‘’ Bâtir un mouvement syndical fort et porteur de solutions alternatives et crédibles pour l’émergence d’un développement durable’’ Présidée par le ministre du travail, la séance d’ouverture a, devant un parterre d’invités nationaux et internationaux permis de suivre plusieurs allocutions axées essentiellement sur les problématiques du monde du travail et les différentes pistes de sortie de la crise qui ne cesse d’assaillir les travailleurs . Au cours de cette première plénière, une motion portée par des jeunes a permis l’élection du SG sortant à l’applaudimètre par une partie des congressistes visiblement préparés quant à ce scénario. Les différentes commissions qui ont eu à travailler ont livré leurs conclusions chacune en ce qui la concerne devant la plénière du dimanche 29 septembre, Le président de cette plénière arguant que le temps ne permettait plus de discuter des différents rapports encore moins d’installer le bureau exécutif consensuel et inclusif sur lequel les principaux responsables de la centrale s’étaient entendus avec la participation de certaines bonnes volontés et anciens responsables de l’Unsas, animés par la seule volonté de voir la centrale garder son unité . La plénière a validé la nomination des dix secrétaires généraux adjoints en charge de la gestion de la centrale jusqu’à la mise en place du BE Ainsi, le calendrier suivant a été proposé et retenu : Le 12 OCTOBRE : rencontre de polissage des travaux des commissions pour une meilleure articulation et cohérence du rapport final Le 26 OCTOBRE : rencontre entre le SG et les SGA pour l’élaboration du BE consensuel et inclusif, LE 30 NOVEMBRE : tenue du Conseil National pour entériner le BE BADOU 8 Entrée centrale Boutoute : no comment. Des toilettes d’une agence de SENELEC No comment !
Posted on: Fri, 29 Nov 2013 09:53:37 +0000

Trending Topics



Recently Viewed Topics




© 2015