2013 Human Rights Reports: Djibouti/ USA/Extrait POLITICAL PRISONERS AND DETAINEES In the month following the February legislative elections, domestic and international opposition sources estimated more than 40 prisoners were serving sentences for opposition political activity during the elections; the same sources estimated security forces detained approximately 300 persons in military facilities, all but 10 of whom were subsequently released. These prisoners included USN candidates Dirir Said Iyeh, Moussa Houssein, Idriss Aden; USN Communications Director Maydane Abdallah Okieh; pro-opposition religious leaders Abdourahman Souleiman Bachir, Abdourahman Barkat God, Guirreh Meidal Guelleh; and others. Police arrested multiple times USN spokesperson and de facto opposition leader Daher Ahmed Farah. Charges against him included “collusion with a foreign power,” “inciting violence and civil unrest,” and “noncompliance with a judicial order.” Authorities held Farah and other prisoners in Gabode Prison under conditions slightly better than the general prison population and permitted them visitors, including from international humanitarian organizations. The government denied the existence of political prisoners. Qui se traduit ainsi: Des prisonniers politiques Dans le mois suivant les élections législatives février sources de lopposition nationaux et internationaux estimés à plus de 40 prisonniers purgeaient des peines pour activité politique dopposition lors des élections ; les forces de sécurité les mêmes sources estimées détenus environ 300 personnes dans des installations militaires , mais tous les 10 dentre eux ont ensuite été libéré . Ces prisonniers inclus candidats USN Dirir Saïd Iyeh , Moussa Houssein , Idriss Aden ; USN Directeur des communications Maydane Abdallah Okieh ; favorables à lopposition des chefs religieux Abdourahman Souleiman Bachir , Abdourahman Barkat Dieu , Guirreh Meidal Guelleh ; et autres. La police a arrêté plusieurs fois de porte-parole USN et chef de lopposition de facto Daher Ahmed Farah . Accusations portées contre lui inclus collusion avec une puissance étrangère , incitation à la violence et les troubles civils » et « non-conformité avec une ordonnance judiciaire . Les autorités ont tenu Farah et dautres prisonniers à la prison de Gabode dans des conditions légèrement meilleures que la population carcérale générale et les permis visiteurs, y compris des organisations humanitaires internationales . Le gouvernement a nié lexistence de prisonniers politiques .
Posted on: Fri, 04 Apr 2014 11:48:08 +0000
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