5 novembre (J+45) : Je suis de retour en France pour la - TopicsExpress



          

5 novembre (J+45) : Je suis de retour en France pour la semaine mais je ne vous oublie par pour autant. Et puis jai ramené du boulot avec moi ! Et oui, tous les essais à rendre tombent en même temps. Comme en France quoi... Je me suis donc attaquée à ma critique de film (oui, ça fait partie de nos devoirs). Autant commencer par quelque chose quon aime ! Limite maximum de mots : 400. Jen ai fait 401 en condensant bien. Au revoir monde cruel. Sinon jai aussi entamé ma semaine marathon cinéma. 45 jours que je navais pas mis les pieds dans une salle obscure, ça commence à faire ! Oui, je compte les jours depuis le 19 septembre, jour où jai vu White House Down à Rennes. Et là vous vous dîtes du 19 septembre au 5 novembre, ça fait plus de 45 jours ! Bien joué petits matheux ! Mais je suis allée voir Thor lundi ! Bref, ce soir cétait Gravity. Quest-ce que jen ai pensé ? Et bien je dois avouer que les films à huit clos me rebutent un peu mais pour celui-ci je nai pas été dérangée du tout. Il faudra que je revois mes critères de sélection de films, ça fait le deuxième à huit clos après 127 Heures que japprécie... Parlons de la 3D maintenant. Cette nouvelle technologie ne me fait pas sauter de joie non plus. Généralement, je lévite au maximum, ce procédé assombrissant considérablement limage (et les énormes lunettes étant désagréables à porter). Nayant pas eu le choix pour cette fois, jai donc vu Gravity en 3D. Je nirai pas jusquà dire que cest primordial mais ça donne une certaine profondeur au film (logique, cest en relief !). Non mais sérieusement, ce film en DVD (même en Blu-ray) dans votre salon cest même pas la peine, ça na rien à voir et ça na rien dintéressant si ce nest lhistoire. Mais visuellement parlant, Gravity est un film à voir au cinéma à 100%. Les images sont dune beauté incroyable ! Je ne suis pas vraiment claustrophobe mais je dois bien avouer que javais des moments où je me sentais un peu enfermée. Étrange de dire ça quand laction se passe dans lespace. Oui mais le jeu de caméra étant ingénieux, on passe de l’immensité de lespace à lespace réduit et confiné du casque des astronautes, se retrouvant à leur place, ou dans leurs navettes spatiales loin dêtre des palaces. Gérard Delorme (journaliste à Première) a dit La 3D a rarement été aussi justifiée et Cuarón en repousse les limites avec une virtuosité technique dautant plus efficace quelle se fait totalement oublier. Je mettrai plus de nuance dans la première partie de sa critique mais je supporte la dernière. Jai rapidement oublié les lunettes sur le bout de mon nez. Gravity nest pas un film tire larmes comme peuvent lêtre Forrest Gump ou Philadelphia par exemple mais oui, jai pleuré et je nai pas honte de le dire. Une preuve que, pour moi, lhistoire est prenante et que le jeux des acteurs (Sandra Bullock et George Clooney) est bon. La bande originale y est probablement pour quelque chose aussi. Tu me sors une musique avec des violons ou des pianos et tu as une bonne chance de me tirer quelques larmes si laction est en accord avec la musique. Bon, ce nest pas du Hans Zimmer mais Steven Price est doué, ya pas à dire. Un dernier mot sur le visuel de ce film. Il est évidant que de nombreuses allusions sont faites au bébé dans le ventre de sa maman (les câbles rattachant les astronautes à la station orbitale...). Une courte scène démontrant à la perfection et de façon frappante cette image du fœtus dans le ventre dune mère est celle où lon voit Dr Ryan Stone (Sandra Bullock) en apesanteur après être parvenue à entrer dans la station orbitale et avoir ôté sa combinaison. Elle se met dans la position fœtale typique des bébés sur les échographies. Bon, jarrête de vous spoiler ce film si vous ne lavez pas encore vu et je vous conseille daller le voir !
Posted on: Wed, 06 Nov 2013 10:37:45 +0000

Trending Topics



Recently Viewed Topics




© 2015