A Does one have the right to force someone to live far from where - TopicsExpress



          

A Does one have the right to force someone to live far from where it likes to live a place where he has always lived. In the Middle East live aboard a Mediterranean urbanized and prosperous society in a country called Palestine, from father to son and from generation to generation it work on their land forever. A Will is the right of a country empty of its inhabitants to settle in their place on the sites of their habitat and steal their land as they belong not to you, and that you never owned one, a-t we have the right to expel from home to hunt them of their country Palestine people, you have the right to net up and sit in their place, demolish and raze their villages made their living places the cities that they always love .A does one have the right to force someone to live far from where it likes to live a place where he has always lived. This is what unfortunately happened, the European Jewish several states of Europe and the world have done, and continues to do so today, by force and oppression of the Palestinian people suffering the permanent humiliation .The hatreds exacerbated ..... trigger terrorism, the wars in the Middle East A-t-on le droit dobliger quelquun à vivre loin du lieu où il aime vivre un lieux ou il a toujours vécu. Au moyen orient vivent en bord de méditerranée une société urbanisé et prospère dans un pays appelé Palestine , de père en fils et de générations en générations il travail sur leur terre de toujours. A-t-on le droit de vider un pays de ses habitants pour sinstaller a leur place sur le lieux de leurs habitat et de voler leurs terres qui ne vous appartiennes pas ,et qui ne vous on jamais appartenu, a-t-on le droit dexpulser de chasser de chez eux les habitants autochtones de leur pays en Palestine , avez vous le droit de faire place net et de vous installer a leur place , démolir et raser leurs villages pris leur villes le lieux de vie quils ont toujours aimer .A-t-on le droit dobliger quelquun à vivre loin du lieu où il aime vivre un lieux ou il a toujours vécu. Cest ce qui est malheureusement arrivé, des israélite europeen de plusieurs états de l’Europe et du monde lont fait ,et aujourdhui continue a le faire , par la force et l’oppression la souffrance du peuple palestinien lhumiliation permanente .Les haines exacerbés .....déclenchent le terrorisme , les guerres du moyen orient...... ... LA CONFERENCE DE PRESSE DU GENERAL DE GAULLE DU 27 NOVEMBRE 1967 UN DISCOURS PRECURSEUR Un discours précurseur La conférence de presse du Général De Gaulle du 27 novembre 1967 occu­pation, résis­tance, répression : « Main­tenant, il (Israël) organise sur les ter­ri­toires qu’il a pris l’occupation qui ne peut aller sans oppression, répression, expul­sions, et il s’y mani­feste contre lui une résis­tance, qu’à son tour il qua­lifie de terrorisme »…La conférence de presse du Général De Gaulle du 27 novembre 1967 Pour la Palestine n°54, mercredi 3 octobre 2007 Dossier 1967 vu de France / En 1967, le général De Gaulle met en garde contre les risques de guerre au Proche-Orient. His­to­riens, Samir Kassir (assassiné le 2 juin 2005 à Bey­routh) et Farouk Mardam-Bey, dans la véri­table somme qu’ils ont publiée sur la poli­tique fran­çaise au Proche-Orient [1], évoquent, en inter­ro­geant le chan­gement dans les rela­tions franco-israliennes en 1967, les moti­va­tions du général De Gaulle. Ils sou­lignent notamment sa « volonté d’affirmer la pré­sence de la France dans le jeu inter­na­tional » et sa « volonté d’apaisement ». Il crai­gnait, sou­lignent les cher­cheurs, que la tension entre les blocs s’amplifie en cas de guerre au Proche-Orient au point de dégé­nérer. Et, ayant « pris la mesure du rapport des forces » défa­vo­rable aux pays arabes, « il avait acquis la cer­titude que la guerre n’était pas néces­saire pour assurer la survie d’Israël ». Une vision qui le conduira à aller à l’encontre de ce qu’était alors majo­ri­tai­rement l’opinion française. Sans épouser les posi­tions des Etats arabes, De Gaulle condamnera l’agression puis l’occupation israé­lienne des ter­ri­toires conquis par la guerre, sans pour autant évoquer les Pales­ti­niens. Il fera de la phi­lo­sophie de la réso­lution 242 celle de la poli­tique fran­çaise, telle que la sui­vront et la com­plé­teront ses suc­ces­seurs. Alors que la France était four­nis­seuse d’armements à Israël, le général De Gaulle (après de nou­veaux raids israé­liens, comme au Liban) décide l’embargo en janvier 1969. De sa confé­rence de presse du 27 novembre 1967, cer­tains n’ont retenu qu’une formule sou­levant alors les pas­sions, laquelle qua­li­fiait « les juifs, jusqu’alors dis­persés », de « peuple d’élite, sûr de lui-même et domi­nateur ». La très longue inter­vention de De Gaulle se veut en fait un regard sur l’histoire, les ambi­tions s’exprimant de part et d’autre, les rap­ports de forces, les condi­tions d’un règlement et le rôle de la France. Et d’énoncer le méca­nisme du cycle occu­pation, résis­tance, répression : « Main­tenant, il (Israël) organise sur les ter­ri­toires qu’il a pris l’occupation qui ne peut aller sans oppression, répression, expul­sions, et il s’y mani­feste contre lui une résis­tance, qu’à son tour il qua­lifie de terrorisme »… Qua­rante ans plus tard, il semble important, à la lumière de l’histoire, de relire l’intervention de Charles de Gaulle dans son inté­gralité [2]. Un discours précurseur « L’établissement, entre les deux guerres mon­diales, car il faut remonter jusque là, l’établissement d’un foyer sio­niste en Palestine et puis, après la deuxième guerre mon­diale, l’établissement d’un Etat d’Israël, sou­le­vaient, à l’époque, un certain nombre d’appréhensions. On pouvait se demander, en effet, et on se demandait même chez beaucoup de juifs, si l’implantation de cette com­mu­nauté sur des terres qui avaient été acquises dans des condi­tions plus ou moins jus­ti­fiables et au milieu des peuples arabes qui lui étaient fon­ciè­rement hos­tiles, n’allait pas entraîner d’incessants, d’interminables fric­tions et conflits. Cer­tains même redou­taient que les juifs, jusqu’alors dis­persés, qui étaient restés ce qu’il avaient été de tout temps, un peuple d’élite, sûr de lui-même et domi­nateur, n’en viennent, une fois qu’ils seraient ras­semblés dans le site de leur ancienne grandeur, à changer en ambition ardente et conqué­rante les sou­haits très émou­vants qu’ils for­maient depuis dix-neuf siècles : l’an pro­chain à Jérusalem. Cependant, en dépit du flot tantôt montant tantôt des­cendant des mal­veillances qu’ils pro­vo­quaient, qu’ils sus­ci­taient plus exac­tement, dans cer­tains pays et à cer­taines époques, un capital consi­dé­rable d’intérêt et même de sym­pathie s’était accumulé en leur faveur, surtout, il faut bien le dire, dans la chré­tienté ; un capital qui était issu de l’immense sou­venir du Tes­tament, nourri par toutes les source d’une magni­fique liturgie, entretenu par la com­mi­sé­ration qu’inspirait leur antique malheur et que poé­tisait chez nous la légende du Juif errant, accru par les abo­mi­nables per­sé­cu­tions qu’ils avaient subies pendant la deuxième guerre mon­diale, et grossi depuis qu’ils avaient retrouvé une patrie, par leurs travaux constructifs et le courage de leurs soldats. C’est pourquoi, indé­pen­damment des vastes concours en argent, en influence, en pro­pa­gande, que les Israé­liens rece­vaient des milieux juifs d’Amérique et d’Europe, beaucoup de pays, dont la France, voyaient avec satis­faction l’établissement de leur Etat sur le ter­ri­toire que leur avaient reconnu les Puis­sances, tout en désirant qu’ils par­viennent, en usant d’un peu de modestie, à trouver avec leurs voisins un modus vivendi pacifique. Il faut dire que ces données psy­cho­lo­giques avaient quelque peu changé depuis 1956, à la faveur de l’expédition franco-britannique de Suez on avait vu appa­raître en effet, un Etat d’Israël guerrier et résolu à s’agrandir. Ensuite, l’action qu’il menait pour doubler sa popu­lation par l’immigration de nou­veaux élé­ments, donnait à penser que le ter­ri­toire qu’il avait acquis ne lui suf­firait pas long­temps et qu’il serait porté, pour l’agrandir, à saisir toute occasion qui se pré­sen­terait. C’est pourquoi, d’ailleurs, la Vème Répu­blique s’était dégagée vis-à-vis d’Israël des liens spé­ciaux et très étroits que le régime pré­cédent avait noués avec cet Etat, et s’était appliquée au contraire à favo­riser la détente dans le Moyen-Orient. Bien sûr, nous conser­vions avec le gou­ver­nement israélien des rap­ports cor­diaux et, même, nous lui four­nis­sions pour sa défense éven­tuelle, les arme­ments qu’il demandait d’acheter. Mais, en même temps, nous lui pro­di­guions des avis de modé­ration, notamment à propos des litiges qui concer­naient les eaux du Jourdain ou bien des escar­mouches qui oppo­saient pério­di­quement les forces des deux camps. Enfin, nous nous refu­sions à donner offi­ciel­lement notre aval à son ins­tal­lation dans un quartier de Jéru­salem dont il s’était emparé et nous main­te­nions notre ambassade à Tel-Aviv. Une fois mis un terme à l’affaire algé­rienne, nous avions repris avec les peuples arabes d’Orient la même poli­tique d’amitié, de coopé­ration qui avaient été pendant des siècles celle de la France dans cette partie du monde et dont la raison et le sen­timent font qu’elle doit être aujourd’hui une des bases fon­da­men­tales de notre poli­tique exté­rieure. Bien entendu, nous ne lais­sions pas ignorer aux Arabes que, pour nous, l’Etat d’Israël était un fait accompli et que nous n’admettrions pas qu’il fût détruit. De sorte qu’on pouvait ima­giner qu’un jour vien­drait où notre pays pourrait aider direc­tement à ce qu’une paix fût conclue et garantie en Orient, pourvu qu’aucun drame nouveau ne vînt la déchirer. Hélas ! Le drame est venu. Il avait été préparé par une tension très grande et constante qui résultait du sort scan­daleux des réfugiés en Jor­danie, et aussi d’une menace de des­truction pro­diguée contre Israël. Le 22 mai, l’affaire d’Aqaba, fâcheu­sement créée par l’Egypte, allait offrir un pré­texte à ceux qui rêvaient d’en découdre. Pour éviter les hos­ti­lités, la France avait, dès le 24 mai, proposé aux trois autres grandes puis­sances d’interdire, conjoin­tement avec elle, à chacune des deux parties d’entamer le combat. Le 2 juin, le gou­ver­nement français avait offi­ciel­lement déclaré, qu’éventuellement, il don­nerait tort à qui­conque enta­merait le premier l’action des armes, et c’est ce que j’avais moi-même, le 24 mai dernier, déclaré à Mon­sieur Eban, ministre des Affaires étran­gères d’Israël, que je voyais à Paris. “Si Israël est attaqué”, lui dis-je alors en sub­stance, “nous ne le lais­serons pas détruire, mais si vous attaquez, nous condam­nerons votre ini­tiative. Certes, malgré l’infériorité numé­rique de votre popu­lation, étant donné que vous êtes beaucoup mieux orga­nisés, beaucoup plus ras­semblés, beaucoup mieux armés que les Arabes, je ne doute pas que le cas échéant, vous rem­por­teriez des succès mili­taires, mais ensuite, vous vous trou­veriez engagés sur le terrain et au point de vue inter­na­tional, dans des dif­fi­cultés gran­dis­santes, d’autant plus que la guerre en Orient ne peut pas manquer d’augmenter dans le monde une tension déplo­rable et d’avoir des consé­quences très mal­en­con­treuses pour beaucoup de pays, si bien que ce serait à vous, devenus des conqué­rants, qu’on en impu­terait peu à peu les inconvénients.” On sait que la voix de la France n’a pas été entendue. Israël, ayant attaqué, s’est emparé, en six jours de combat, des objectifs qu’il voulait atteindre. Main­tenant, il organise sur les ter­ri­toires qu’il a pris l’occupation qui ne peut aller sans oppression, répression, expul­sions, et il s’y mani­feste contre lui une résis­tance, qu’à son tour il qua­lifie de ter­ro­risme. Il est vrai que les deux bel­li­gé­rants observent, pour le moment, d’une manière plus ou moins pré­caire et irré­gu­lière, le cessez-le-feu prescrit par les Nations unies, mais il est bien évident que le conflit n’est que sus­pendu et qu’il ne peut y avoir de solution sauf par la voie internationale. Un règlement dans cette voie, à moins que les Nations unies ne déchirent elles-mêmes leur propre charte, doit avoir pour base l’évacuation des ter­ri­toires qui ont été pris par la force, la fin de toute bel­li­gé­rance et la recon­nais­sance réci­proque de chacun des Etats en cause par tous les autres. Après quoi, par des déci­sions des Nations unies, en pré­sence et sous la garantie de leurs forces, il serait pro­ba­blement pos­sible d’arrêter le tracé précis des fron­tières, les condi­tions de la vie et de la sécurité des deux côtés, le sort des réfugiés et des mino­rités et les moda­lités de la libre navi­gation pour tous, notamment dans le golfe d’Aqaba et dans le canal de Suez. Suivant la France, dans cette hypo­thèse, Jéru­salem devrait recevoir un statut inter­na­tional. Pour qu’un tel règlement puisse être mis en oeuvre, il fau­drait qu’il y eût l’accord des grandes puis­sances (qui entraî­nerait ipso facto celui des Nations unies) et, si un tel accord voyait le jour, la France est d’avance dis­posée à prêter sur place son concours poli­tique, éco­no­mique et mili­taire, pour que cet accord soit effec­ti­vement appliqué. Mais on ne voit pas comment un accord quel­conque pourrait naître non point fic­ti­vement sur quelque formule creuse, mais effec­ti­vement pour une action commune, tant que l’une des plus grandes des quatre ne se sera pas dégagée de la guerre odieuse qu’elle mène ailleurs. Car tout se tient dans le monde d’aujourd’hui. Sans le drame du Vietnam, le conflit entre Israël et les Arabes ne serait pas devenu ce qu’il est et si, demain, l’Asie du Sud-Est voyait renaître la paix, le Moyen-Orient l’aurait bientôt recouvrée à la faveur de la détente générale qui sui­vrait un pareil événement. » [1] Iti­né­raires de Paris à Jéru­salem : La France et le conflit israélo-arabe, Les livres de la Revue d’Etudes Pales­ti­niennes, Paris, 1993. Voir notamment dans le Tome II : 1958-1991, les pages 52 à 90 (« La Rupture de 1967 »). [2] Charles de Gaulle, Dis­cours et mes­sages, tome 5, vers le terme, janvier 1966-avril 1969, Paris, Plon, 1970 pages 232-235, cité par Samir Kassir et Farouk Mardam-Bey
Posted on: Sun, 09 Nov 2014 00:14:13 +0000

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