Alfred Burimaso, Abantu bafise ivyiyumviro nkivyo vyawe barahari - TopicsExpress



          

Alfred Burimaso, Abantu bafise ivyiyumviro nkivyo vyawe barahari kandi nibenshi ariko ntibagira aho babivugira. Nta Internet, ntamaradiyo ariko ntakibazo. Le Burundi victim de reportages negatives L’image du Burundi est terni par l’absence de reportages positives du pays mais aussi et plus important, l’abondance de reportages négatives du pays de Ntare Rugamba. Le Burundi que certains individus ternissent l’image et calomnient, C’est ce beau pays des grands lacs d ‘Afrique, pris pour model de democracy consensuel et de development communautaire, qui joue un role primordial dans plusieurs missions de rétablissement et de maintien de la paie dans le monde, qui se classe premier au niveau continental et cinquième au monde s’agissant de réformes favorables aux affairs en 2013, qui améliore ses performances en matière d’éducation et de la santé à tel enseigne qu’il dépasse les résultats obtenus pendant 40 ans en une période ne dépassent pas 7 ans; et qui affronte d’autres défis auxquels il fait face, surtout en matière de développement économique. Je me pose alors la question de savoir pour quelles raisons les reportages positives manquent alors que les reportages négatives abondent. Pourquoi ce négativisme, me suis-je souvent intérrogé. Quel serait l’agenda caché de ceux qui propagent des paroles calomnieuses à l’endroit du Burundi? Cet article se propose de regarder de près cette question. Il explore quatre pistes. La première est celle de la honte collective. Selon ce premier argument, les réalizations faites en 7 ans seulement mais qui dépassent de loin celles attaint pendant 40 ans sucsitent une honte collective de la part des dignitaires des anciens régimes et ces bénéficiaires. C’est ainsi qu’ils’efforcent, sans succès, de ternir l’éclat de ces realizations brillantes. La deuxième piste est celle de la longévité de l’actuel régime. D’après ce point de vue, ce régime qui s’occupe du peuple très oublié dans le passé durera longtemps. Calomnier le Burundi et ses institutions démocratiques , serait une facon de créer l’impression que le régime actuel est non performant. Les efforts de créer une telle impression sont fournis en vain car ils n’arrivent pas à détourner l’attention du peuple clairvoyant. La troisième est celle de l’élite nostalgique. La composition de l’élite formée durant les quarante ans de la période post-indépendence s’avère hautement sélectionnée et sélective. Ceux qui se sont hisser au rang d’élites, souvent sans le mériter, favorisés seulement par un système educatif discriminatoire pendant 40ans, n’exerceaient pas d’activités productrices et ne faisaient que suscer l’économie du pays. Aujourdh’hui ils aimeraient refaire le même exercise, sucer l’economie du pays ad infinitum. Ils’avère cependant très difficile de se positioner au postes de décideur car, le jeu démocratique exige que le peuple, par le biais de leur représentants qu’il choisit librement,désigne qui occupera quel poste et pendant combien de temps. Le seul moyen à notre disposition, se trompent-ils, est de créer un autre Burundi, virtuel et le substituer au Burundi réel.Un exercise qui ne présente aucun interêt à personne car, salir son pays par de paroles mensongères ne fais qu’infliger la soufrance à tous les citoyens, y compris les auteurs même de ces calomnies. La quatrième piste est celle de manipulation médiatique. La champagne médiatique de diabolisation du pays et de ses institutions a déjà fait plusieurs victimes. Certains individus sont enfermés dans la méconnaissance idéologique. Ils reprennent, consciement ou pas, les calomnies fabriquées et propagées par les media. Pour y remédier, ces individus ont besoins d’être exposé aux multiples reportages positives. En conclusion donc, le burundi est victime d’une perception négative créée par une champagne médiatique mené par une élite nostalgique de leur position de décideur et honteux pour les malheurs qu’elle a infligé, sans pitié ni remord, a sa propre patrie et ses concitoyens. L’histoire leur jugera bien que le présent regime préfère la voie de reconciliation et de la reconstruction du pays et donc ne les condamne pas. Les bénéficiaires des anciens régimes ansi que des individues enfermés dans la méconnaissance idéologique restent des éléments qui véhiculent le négativisme aigu crée par les tenors des régimes passés.
Posted on: Fri, 28 Jun 2013 16:42:38 +0000

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