BANDE DES CRIMINELS , il faut attaquer les propriétaires et chefs - TopicsExpress



          

BANDE DES CRIMINELS , il faut attaquer les propriétaires et chefs de ces groupes armées qui assassinent la population au Grand Kivu , qui sont assis tranquillement au parlement et dans la ville de Kinshasa , les noms des chefs des groupes sont : KAGAME , KABILA , ROGER LUMBALA , VITAL KAMERHE , RUBERWA , JOSE MAKILA , BUSA NYAMUISI , KENGO WA DONDO , BIZIMA KARA , DONC INCLUS LE 10 PARTICIPANTS AUX ELECTIONS PRESIDENTIELLES DU 2011 , si les noms des autres ne sont pas citer alors trouvez-les parmi les soit disant candidats . Qui veulent à tout prix échappés à la CPI comme commanditaire et chef du groupe sur l article de l accusation du statut de Rome . Ils se battent pour faire intégré le M23 au sein de l armée pour effacer les traces . 11 groupes armés réclament une participation aux concertations nationales , Les participants aux concertations nationales qui se tiennent depuis le samedi 7 septembre 2013 à Kinshasa sont aujourd’hui divisés sur la participation ou pas, des groupes armés qui règnent dans l’Est du pays à ce forum national. Deux camps s’opposent à ce sujet, le premier est celui composé des délégués qui croient que les groupes armés doivent être associés aux concertations nationales. Pour eux, étant donné que parmi les thématiques évoquées aux concertations nationales figurent la question du retour à la paix et de la stabilisation, de l’Est de la RDC, il est nécessaire que ces groupes armés participent aux concertations nationales. Bien plus, un groupe thématique consacré à la question du désarmement et de la démobilisation des groupes armés ne fait partie des concertations nationales. Le deuxième groupe se compose des délégués qui se disent farouchement opposés à la présence des groupes armées aux concertations nationales. Pour ces délégués, ces groupes armés ne sont plus que des forces négatives qui doivent plutôt attendre la loi d’amnistie qui sera promulguée par le chef de l’Etat avant de prendre part à un quelconque dialogue. Ils estiment que les concertations concernent d’abord les forces politiques et les forces vives de la nation. Avant des groupes parfois au contour flou et très souvent au service de certains pays voisins qui les alimentent en hommes, en armes et en munitions. La demande de 11 groupes armés Le lundi 16 septembre 2013, Onze groupes armés congolais du Nord-Kivu, du Sud-Kivu et de l’Ituri ont réclamé une participation aux concertations nationales. Regroupés au sein d’une coalition dénommée « Conseil supérieur des groupes armés autochtones à l’Est de la RDC », ils estiment que la question de l’insécurité dans l’Est du pays ne sera pas résolue sans la participation de l’un des acteurs. Les représentants de ces groupes armés se sont exprimés dimanche 15 septembre. Les groupes armés sont exclus des concertations nationales convoquées par le chef de l’Etat pour mettre fin dans l’Est de la RDC. Un groupe thématique est pourtant consacré à la question du désarmement et de la démobilisation des groupes armés au cours de ces assises qui ont débuté le samedi 7 septembre 2013. « Nous pensons qu’il fallait que les acteurs soient impliqués pour que les décisions issues de cette thématique soient des décisions durables et applicables sur terrain », affirme Jacques Kabusala, secrétaire général de la coalition de onze groupes armés. La même source trouve « déséquilibrée » que le gouvernement accepte de discuter avec les rebelles du M23 à Kampala et refuse de les inviter aux concertations nationales. « Nous avons estimé que les concertations nationales seraient aussi l’un des cadres idéaux pour que nous puissions mettre fin une fois pour toute à ce problème récurrent de l’insécurité dans l’Est », conclut Jacques Kabusala. Il invite les autorités congolaises à revenir sur leur décision « le plus tôt possible ». Le refus du gouvernement Avant l’ouverture des concertations nationales, le gouvernement congolais avait fait savoir que les groupes armés en activité dans les provinces de l’Est de la République démocratique du Congo, y compris le M23, n’étaient pas invités à ces assises. « Nous n’allons pas nous asseoir à la même table des Concertations nationales avec des gens qui tuent nos compatriotes dans l’Est du pays », avait expliqué son porte-parole Lambert Mende. Mais cette question de la participation des groupes armés aux concertations nationales a de nouveau été soulevée aux cours des travaux de ce forum. Le week-end dernier, les membres de l’opposition qui participent au groupe thématique Désarmement, démobilisation, réinsertion sociale ou rapatriement avaient suspendu leur participation aux travaux pour réclamer la présence des groupes armés. Ils ont repris de siéger après la promesse du présidium de décider sur la question bientôt. A la lumière de ces faits, il est probable que le présidium se prononcera dans quelques jours pour donner sa position définitive concernant la question de la participation ou pas des groupes armés aux concertations nationales. Luc-Roger Mbala Bemba BANDE DES CRIMINELS , il faut attaquer les propriétaires et chefs de ces groupes armées qui assassinent la population au Grand Kivu , qui sont assis tranquillement au parlement et dans la ville de Kinshasa , les noms des chefs des groupes sont : KAGAME , KABILA , ROGER LUMBALA , VITAL KAMERHE , RUBERWA , JOSE MAKILA , BUSA NYAMUISI , KENGO WA DONDO , BIZIMA KARA , DONC INCLUS LE 10 PARTICIPANTS AUX ELECTIONS PRESIDENTIELLES DU 2011 , si les noms des autres ne sont pas citer alors trouvez-les parmi les soit disant candidats . Qui veulent à tout prix échappés à la CPI comme commanditaire et chef du groupe sur l article de l accusation du statut de Rome . Ils se battent pour faire intégré le M23 au sein de l armée pour effacer les traces . 11 groupes armés réclament une participation aux concertations nationales , Les participants aux concertations nationales qui se tiennent depuis le samedi 7 septembre 2013 à Kinshasa sont aujourd’hui divisés sur la participation ou pas, des groupes armés qui règnent dans l’Est du pays à ce forum national. Deux camps s’opposent à ce sujet, le premier est celui composé des délégués qui croient que les groupes armés doivent être associés aux concertations nationales. Pour eux, étant donné que parmi les thématiques évoquées aux concertations nationales figurent la question du retour à la paix et de la stabilisation, de l’Est de la RDC, il est nécessaire que ces groupes armés participent aux concertations nationales. Bien plus, un groupe thématique consacré à la question du désarmement et de la démobilisation des groupes armés ne fait partie des concertations nationales. Le deuxième groupe se compose des délégués qui se disent farouchement opposés à la présence des groupes armées aux concertations nationales. Pour ces délégués, ces groupes armés ne sont plus que des forces négatives qui doivent plutôt attendre la loi d’amnistie qui sera promulguée par le chef de l’Etat avant de prendre part à un quelconque dialogue. Ils estiment que les concertations concernent d’abord les forces politiques et les forces vives de la nation. Avant des groupes parfois au contour flou et très souvent au service de certains pays voisins qui les alimentent en hommes, en armes et en munitions. La demande de 11 groupes armés Le lundi 16 septembre 2013, Onze groupes armés congolais du Nord-Kivu, du Sud-Kivu et de l’Ituri ont réclamé une participation aux concertations nationales. Regroupés au sein d’une coalition dénommée « Conseil supérieur des groupes armés autochtones à l’Est de la RDC », ils estiment que la question de l’insécurité dans l’Est du pays ne sera pas résolue sans la participation de l’un des acteurs. Les représentants de ces groupes armés se sont exprimés dimanche 15 septembre. Les groupes armés sont exclus des concertations nationales convoquées par le chef de l’Etat pour mettre fin dans l’Est de la RDC. Un groupe thématique est pourtant consacré à la question du désarmement et de la démobilisation des groupes armés au cours de ces assises qui ont débuté le samedi 7 septembre 2013. « Nous pensons qu’il fallait que les acteurs soient impliqués pour que les décisions issues de cette thématique soient des décisions durables et applicables sur terrain », affirme Jacques Kabusala, secrétaire général de la coalition de onze groupes armés. La même source trouve « déséquilibrée » que le gouvernement accepte de discuter avec les rebelles du M23 à Kampala et refuse de les inviter aux concertations nationales. « Nous avons estimé que les concertations nationales seraient aussi l’un des cadres idéaux pour que nous puissions mettre fin une fois pour toute à ce problème récurrent de l’insécurité dans l’Est », conclut Jacques Kabusala. Il invite les autorités congolaises à revenir sur leur décision « le plus tôt possible ». Le refus du gouvernement Avant l’ouverture des concertations nationales, le gouvernement congolais avait fait savoir que les groupes armés en activité dans les provinces de l’Est de la République démocratique du Congo, y compris le M23, n’étaient pas invités à ces assises. « Nous n’allons pas nous asseoir à la même table des Concertations nationales avec des gens qui tuent nos compatriotes dans l’Est du pays », avait expliqué son porte-parole Lambert Mende. Mais cette question de la participation des groupes armés aux concertations nationales a de nouveau été soulevée aux cours des travaux de ce forum. Le week-end dernier, les membres de l’opposition qui participent au groupe thématique Désarmement, démobilisation, réinsertion sociale ou rapatriement avaient suspendu leur participation aux travaux pour réclamer la présence des groupes armés. Ils ont repris de siéger après la promesse du présidium de décider sur la question bientôt. A la lumière de ces faits, il est probable que le présidium se prononcera dans quelques jours pour donner sa position définitive concernant la question de la participation ou pas des groupes armés aux concertations natio
Posted on: Fri, 20 Sep 2013 14:14:00 +0000

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