CHAPITRE 1 - TopicsExpress



          

CHAPITRE 1 UN DIEU TRINITAIRE Si nous prenons un moment pour reconsidérer le sujet, nous nous rendrons compte que le mot « Trinitaire » évoque une notion de 3 ; à cette seule lumière, l’on devrait changer le titre de ce chapitre mais, la beauté de Dieu réside dans la compréhension analogique de ce mystère. Le mystère est une vérité cachée qui ne peut être décryptée ou décodée que par la grâce de Dieu et l’intervention de son Esprit c’est pourquoi Jésus parle à Nicodème et lui dit : « tu es le docteur d’Israël et tu ne sais pas cela ! » Jn 3 :10. La sagesse, la philosophie, la raison ne pourront que nous détourner de la vraie révélation de la nature de Dieu et, éviter d’adorer ce que nous ne connaissons pas (Jn 4 : 22). C’est le vœu profond de chacun de nous. Pour comprendre ce mystère, il nous faut prendre l’exemple de l’homme puisqu’il est le reflet de Dieu (Gen 1 : 26). L’homme est une entité tripartite confinée dans une enveloppe physique : le corps, les deux autres à savoir l’âme et l’Esprit malgré le fait qu’ils ne soient pas manifestement visibles ils ne sont pas pour autant diminués sur le point de vue utilitaire car, le créateur a fait naître une parfaite symbiose entre les trois pour qu’en se manifestant on ne semble n’en voir qu’un seul. A- Père, Fils et Esprit, Un et indivisibles Dans la version Louis second de 1910, il y a un passage fondamental : « c’est lui, Jésus-Christ qui est venu avec de l’eau et du sang, non avec l’eau seulement, mais avec l’eau et le sang, et c’est l’Esprit qui rend témoignage, parce que l’Esprit est la vérité. Car il y en a trois qui rendent témoignage : l’Esprit, l’eau et le sang et les trois sont d’accord ». (1Jn 5 : 6-8). Quand vous lisez ce verset dans vos Bibles vous ne remarquerez jamais que ces versets ont été tronqués car dans la version Louis Second révisé (colombe), il y a ceci en plus « car il y en a trois qui rendent témoignage dans le ciel. Le Père, la Parole et l’Esprit-Saint. Et ces trois sont Un » 1Jn 5 :7. Le caractère indissociable des trois a été spécifié avec insistance car non seulement ils sont Un mais ils sont aussi d’accord. Par analogie donc, le Père est l’âme, le concepteur ; Jésus est le corps (la parole faite chair Jn 1 : 14) le réalisateur ; l’Esprit-Saint est l’esprit, le superviseur. Chacun a donc sa partition à jouer et tout ceci dans une parfaite coordination. Ces 3 sont Dieu. L’homme peut-il réellement prouver substantiellement par quel procédé mystérieux il est devenu un être tripartite ? Mais il sait tout de même qu’il a : un corps (Soma), partie de l’être permettant l’interactivité avec le monde extérieur. Je suis conscient que j’existe parce que je vois l’autre (autrui), je peux le toucher, communiquer avec lui grâce à mon enveloppe charnelle qui me met en contact avec lui. Il a une âme (Psuché), c’est la partie de l’être consciente de sa propre existence. « Je pense donc je suis ». J’ai une volonté, des désirs, des émotions, je conçois, je décide. Troisièmement il a un esprit (Pneuma), partie de l’être consciente de l’existence d’un absolu, de Dieu. L’homme conçoit Dieu par son esprit (Rom 8 : 16) et peut ainsi croire qu’il est, un vent (le mot esprit en hébreux veut dire vent) qui existe grâce à la conscience qu’il a des choses qui lui sont projetées par son corps et ces 3 sont indissociables. D’une autre manière aussi, le Père fait la création, quand il voit que les hommes s’endurcissent dans leurs péchés, il conçoit un plan de salut. Et puisqu’il faut un sang irréprochable pour les sauver, il vient en chair au travers de Jésus, craignant que les hommes ne retournent dans leur saleté en annulant ainsi son œuvre salutaire, il décide de rester au milieu d’eux, sur eux et en eux dans sa forme originelle (Esprit). Cf. Rom1 :1-4 ; Mth 28 :20 ; 2Cor 3 :16-18 B- Les manifestations physiques de la divinité Tout au long de cet enseignement, le mot Trinité qui n’est pas un mot ou une expression biblique (mais un concept français pour décrire 3 en UN) va être remplacé par le mot biblique « divinité » qui lui est plus approprié. La première manifestation de la divinité remonte au récit de la création. « Au commencement Dieu créa… (le Père concepteur de tout),… mais l’Esprit planait au dessus des eaux (Gen 1 :1-2). Le superviseur car il veille. Quand les hommes se prolifèrent sur la surface de la terre, Dieu fait alliance avec certains d’entre-eux et alors que le péché se développe au temps de Sodome et Gomorrhe Dieu descend visiter son ami Abraham (Gen 18). Dans ce récit nous noterons qu’aux versets 1-2 il est écrit : « L’éternel apparu » puis on voit : « trois hommes étaient debout ». Ensuite on trouve Abraham dans son entretien au verset 3 s’adressant à trois personnes il dit : « Seigneur » au lieu de mes Seigneurs. Ensuite au verset 4 il est écrit après qu’Abraham leur ait fait la proposition de dîner « ils répondirent ». Quel est ici la raison qui pousse Abraham à s’adresser à trois personnes comme à une seule non avec le « vous » mais « tu ». Ce passage est plein d’instruction car tour à tour, les trois personnes vont s’exprimer spécifiquement selon leurs actions, Abraham parce qu’il est intime à Dieu reconnaît au premier contact la divinité. Mais au chapitre 19 Lot n’a pas la même perception du discernement que son oncle il dit : « mes Seigneurs » (Gen 19 : 2). Tout ceci n’est possible que par le lien de la place que nous accordons à Dieu et la réponse de foi que nous manifestons dans la marche par l’Esprit. Au-delà des exemples cités précédemment, je voudrais encore vous emportez dans un univers merveilleux de la révélation de l’identité glorieuse de notre Dieu. Lisons Exode 33 :18-23. Moïse est un grand serviteur de Dieu, il a à son actif une pléthore d’exploits avec Dieu. On pourrait à la vue des prodiges faits par Dieu au travers de lui dire que, c’est un homme heureux, un héros de la foi. Une réaction de lui m’a toujours turlupiné jusqu’au jour où j’ai reçu la compréhension. Au verset 18 il dit à Dieu : « Fais-moi voir ta gloire ! » à ceci on serait tenté de demander si tous les miracles, les signes qu’il avait fait n’étaient pas la gloire de Dieu ? Beaucoup d’entre nous avons toujours qualifié Dieu en fonction de son action dans nos vies, le Saint-Esprit lui-même est identifié uniquement par ses manifestations. Ceci est une fatale erreur car on ne doit pas se limiter à ressentir les choses de Dieu (ceci nous rendra toujours superficiels), mais on doit les vivre. La gloire de Dieu n’est pas dans ses manifestations mais dans sa nature. La réponse de Dieu à Moïse est claire : « Je ferai passer devant toi toute ma bonté », ceci est l’œuvre du Saint- Esprit, gracieux et miséricordieux et il ne fait que proclamer (rendre les hommages à Dieu). Puis Dieu dit : « tu te tiendras sur le rocher… je te mettrai dans un creux du rocher ». Le « rocher » ici c’est Jésus. Au verset 23 c’est le Père lui-même qui se manifeste. Moïse est en contact avec la divinité. Le contact avec la divinité a illuminé et changé l’apparence de Moïse (ce volet je le développerai plus tard dans cette étude). Pour moi voilà la gloire de Dieu, une expérience directe, vivante, face à face, humainement spirituel avec Dieu au-delà des prédications de la parole, des théories de la spiritualité. On peut vous enseigner, prêcher, vous étaler toutes les théories de la chrétienté mais si vous ne la vivez pas, se sera toujours du superflu. Accordez de l’importance aux passages suivants : (Gen 32 : 24-32 ; Act 7 : 55-60 ; Act 9 : 1-22 ; Luc 19 : 1-10) et soyez instruit sur la partie extraordinaire de ce qu’est réellement la vie dans la foi chrétienne, (2Pier 1 : 16-18) sur toute la création. Et Dieu dit… (La parole donc Jésus est le réalisateur de l’ouvrage. (Gen 1 :1-3) En Luc 3 : 21-22 le Fils (Jésus) est dans les eaux du Jourdain, le Saint-Esprit sous forme corporelle de colombe descend du ciel, et le Père atteste ou témoigne de son fils. Il y a comme ça dans la bible plusieurs illustrations de notre Dieu se révélant dans ses trois manifestations avec un synchronisme étonnant. Les hommes par leurs propres voies ont longtemps cherché à se rapprocher de Dieu, depuis le temps de la tour de Babel avec Nimrod qui fût le premier empereur de l’histoire, un descendant de Cush, un africain car Le nom Cush veut dire Éthiopie, un noir (Gen 10 :8-10), jusqu’au temps de Jésus. Illustration 1 * Le Christianisme La religion Dieu descendant pour trouver L’homme à la recherche l’homme dans sa misère pour le de Dieu par ses propres sauver moyens *Le voile du temple qui se déchire depuis le haut jusqu’en bas (Matth 27:51 ; Mrc 15:38) accompli le mouvement descendant établissant ainsi le Christianisme. C- L’emprunte du Saint-Esprit dans les 2 Testaments 1) - Le Saint Esprit dans l’Ancien Testament L’Ancien Testament ne mentionne pas que le Saint Esprit est une Personne divine. Certes de très nombreux passages nous parlent de Lui et de son action. Déjà dans le deuxième verset de la Bible, il est dit : « Et l’Esprit de Dieu planait sur la face des eaux» et en Gen. 6:3 : « Mon Esprit ne contestera pas à toujours avec l’homme». Nous voyons là que le Saint Esprit s’occupe de la terre qui était alors désolation et vide, ainsi que des hommes qui avaient rejeté Dieu. Il voulait produire quelque chose dont Dieu puisse dire que «cela était bon». Son activité était si bien connue qu’il peut être dit de Josué qu’il «était rempli de l’esprit de sagesse» (Deut. 34:9) et que David suppliait Dieu : « Ne m’ôte pas l’esprit de ta sainteté» (Ps. 51:11). C’était Lui qui avait rempli Betsalëel de l’esprit de Dieu, en sagesse, en intelligence, en connaissance, et pour toute espèce d’ouvrages (Ex. 35:31). Par David Il prophétisa du Messie et du royaume de paix à venir (2 Sam. 23:1-7). Il inspira les saints hommes qui ont écrit l’Ancien Testament, de sorte qu’ils pouvaient dire : «Ainsi dit l’Éternel» (2 Pierre 1:21). Le prophète Aggée pouvait même consoler le faible résidu d’Israël, en disant : «Mon Esprit» demeure «au milieu de vous ; ne craignez pas» (2:5). Le Saint Esprit agissait même parfois en des incrédules (Nomb. 24:2 ; 1 Sam. 10:10). Toutefois il n’est jamais révélé dans l’Ancien Testament que le Saint Esprit soit une Personne. Il n’était connu que comme l’Esprit de Dieu, comme la puissance sortant du Dieu unique. De même le Seigneur Jésus n’y est pas davantage révélé, bien que nous trouvions dans l’Ancien Testament d’innombrables types et de nombreuses prophéties à son sujet qui, à la lumière du Nouveau Testament, confirment sa déité (cf le passage de Zach. 12:10 qui montre que le Seigneur Jésus est l’Éternel). Le Saint Esprit n’est ainsi pas présenté dans l’Ancien Testament comme une Personne divine, bien que de nombreux passages y fassent clairement allusion comme nous le comprenons à la lumière du Nouveau Testament. Le Saint Esprit n’était pas encore révélé et il n’habitait pas encore sur la terre. «L’Esprit n’était pas encore, parce que Jésus n’avait pas encore été glorifié», lisons-nous en Jean 7:39. Les croyants ne connaissaient pas encore la signification de la croix et de la résurrection. Ils devaient dire : «Nous n’avons même pas ouï dire si l’Esprit Saint est» (Actes 19:2). L’action du Saint Esprit était limitée dans le temps ; ainsi il est dit en 1 Sam. 16:14 : «Et l’Esprit de l’Éternel se retira d’avec Saül», et David prie Dieu de ne pas lui ôter l’esprit de sa sainteté (Ps. 51:11). Les prophètes ont annoncé que le Saint Esprit serait répandu (cf. Ézéch. 39:29 ; Joël 2:28, 29), mais c’était toujours à venir. 2) - Le Saint Esprit dans le Nouveau Testament Dans le Nouveau Testament nous trouvons des conditions toutes différentes. Le miracle des siècles s’est produit : «Dieu a été manifesté en chair» (1 Tim. 3:16). Le Dieu éternel, le Créateur des cieux et de la terre, est descendu ici-bas, la «Sainte Chose» née de la Vierge. «La Parole devint chair, et habita au milieu de nous (et nous vîmes sa gloire, une gloire comme d’un fils unique de la part du Père) pleine de grâce et de vérité» (Jean 1:14). Les étoiles du matin chantèrent ensemble et tous les fils de Dieu éclatèrent de joie (Job 38:7) à la vue de ses actes de Créateur. Comme ils éclatèrent de joie, lorsqu’ils virent leur Créateur devenir homme, et contemplèrent comme petit enfant dans la crèche à Bethlehem Celui qui venait sauver le monde, donner la vie éternelle à des pécheurs perdus et mourir pour eux sur la croix. Ils virent la gloire de sa grâce. «Et soudain il y eut avec l’ange une multitude de l’armée céleste, louant Dieu, et disant : Gloire à Dieu dans les lieux très hauts ; et sur la terre, paix ; et bon plaisir dans les hommes» (Luc 2:13, 14). «Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec lui-même, ne leur imputant pas leurs fautes» (2 Cor. 5:19). La Trinité participe à cet événement merveilleux. Après que le Fils, dans le «conseil de paix» eut dit : «Voici, je viens pour faire ta volonté» (Héb. 10:9), Dieu lui forma un corps (Héb. 10:5), et le Saint Esprit engendra en Marie l’Homme Jésus (Matt. 1:20). Au début du ministère public du Seigneur Jésus, nous voyons la première révélation de la Trinité : le Fils dans son abaissement sur la terre ; Dieu, le Père, qui parle du ciel et reconnaît l’Homme Jésus comme son Fils ; et Dieu, le Saint Esprit, descendant sur le Fils sous une forme corporelle (Luc 3:22). Comment serait-il possible que pendant la période où Dieu, le Fils, était sur la terre et y manifestait Dieu, le Père (Jean 1:18), le Saint Esprit ne soit pas vu aussi ? Nous trouvons également tout au long des Évangiles une manifestation glorieuse de lui. Considérons maintenant ce qui nous est relaté de l’Esprit en rapport avec la vie du Seigneur Jésus sur la terre. Au sujet de sa naissance, il est dit à Marie : «L’Esprit Saint viendra sur toi, et la puissance du Très-Haut te couvrira de son ombre ; c’est pourquoi aussi la sainte chose qui naîtra sera appelée Fils de Dieu» (Luc 1:35). Au début du ministère public du Seigneur Jésus, nous avons vu que le Saint Esprit descendit du ciel sur lui sous une forme corporelle et rendit témoignage que Jésus était le Fils de Dieu (Jean 1:32-34). En Luc 4:1 nous lisons que «Jésus, plein de l’Esprit Saint, s’en retourna du Jourdain et fut mené par l’Esprit dans le désert» et au verset 14 il est ajouté qu’il s’en retourna en Galilée, dans la puissance de l’Esprit. Par l’Esprit il enseignait, consolait, guérissait (v. 18 et 19) et chassait les démons (Matt. 12:28). Par l’Esprit il s’est offert lui-même à Dieu sans tache (Héb. 9:14). Certes, Dieu ne lui avait pas donné l’Esprit avec mesure. Dans l’offrande de gâteau (Lév. 2), nous en trouvons un type glorieux. La fleur de farine — qui est une image de la pureté de la nature humaine de Christ — est mêlée avec de l’huile (image du Saint Esprit), est ointe d’huile, couverte d’huile. Ainsi sous quelque forme que l’on considère le Seigneur comme homme, l’absence totale de péché est manifestée, déjà lors de la formation de sa nature humaine par la puissance du Saint Esprit (Matt. 1:20 ; Luc 1:35) et de son onction du Saint Esprit. Nous en trouvons encore une image plus claire dans les enseignements du Seigneur Jésus. En Jean 3, Il dit que la nouvelle naissance est opérée par le Saint Esprit, que c’est par lui que nous avons reçu une nouvelle nature. Au chap. 4:14 il est ajouté que le don de Dieu, dans le croyant, devient en lui une fontaine d’eau jaillissant en vie éternelle ; c’est la puissance qui correspond à cette nouvelle nature. Et dans le chapitre 7:37-39, le Saint Esprit est des «fleuves d’eau vive» coulant du ventre de celui qui croirait au Seigneur Jésus après son ascension. En Jean 14, 15 et 16 nous trouvons une partie toute nouvelle de la vérité concernant le Saint Esprit. Le Seigneur Jésus parle d’un «autre consolateur», qui viendrait quand Lui s’en serait allé. Nous voyons là une Personne divine venant remplacer le Seigneur Jésus auprès des siens. Le Seigneur Jésus allait quitter la terre ; la mort était devant lui. L’œuvre que Dieu lui avait donnée à faire devait être accomplie, et Dieu serait parfaitement glorifié en elle. Et le seul salaire possible et juste que le Seigneur recevrait serait sa glorification à la droite du Père. Mais cela signifiait pour les disciples qu’ils resteraient seuls. Pour les consoler le Seigneur leur promet qu’il leur enverrait un autre consolateur, l’Esprit de vérité. Celui-ci serait avec eux, et en eux. Et ce don est si grand qu’il était avantageux pour les disciples que le Seigneur Jésus s’en aille, car alors seulement le Consolateur pourrait venir à eux. Toutefois, quelles que soient l’étendue de ces promesses et la grandeur de cette révélation, il est évident qu’elle n’existait pas alors dans son intégralité. Le Saint Esprit n’habitait pas encore sur la terre, si ce n’est dans le Seigneur Jésus. Le baptême du Saint Esprit n’avait pas encore eu lieu. Ce n’étaient encore que des promesses (Jean 14:16). Et comme nous avons vu en Matt. 3:11 que le baptême du Saint Esprit n’avait pas eu lieu avant que le Seigneur Jésus soit devenu homme, ainsi nous apprenons en Jean 7:39 que ce baptême ne pouvait pas être reçu avant que le Seigneur soit retourné au ciel. Mais alors vient la promesse qu’ils seraient baptisés de l’Esprit Saint «dans peu de jours» (Actes 1:5), et en Actes 2 nous en trouvons l’accomplissement : Dieu le Saint Esprit baptise tous les croyants en un seul corps (1 Cor. 12:13) et habite en eux : collectivement comme habitation de Dieu par l’Esprit, comme temple de Dieu (Éph. 2:22 ; 1 Cor. 3:16), et individuellement dans chacun des membres de ce corps (1 Cor. 6:19). Des passages tels que Luc 1:15, 41, 67 ne sont nullement en contradiction avec ce qui vient d’être dit. Il s’agit ici d’être rempli de l’Esprit Saint. Dans le cas de Jean Baptiste, il avait le Saint Esprit dès sa naissance. Il a été ainsi rempli d’une manière extraordinaire de la puissance et des dons de l’Esprit, comme il convenait à sa position privilégiée de précurseur du Seigneur. Mais cela n’est pas identique à l’habitation du Saint Esprit dans le croyant, comme le montrent à l’évidence des passages tels que Actes 4:8 et 31 où Pierre et d’autres disciples furent aussi remplis du Saint Esprit, bien que le baptême du Saint Esprit ait déjà eu lieu le jour de la Pentecôte. L’habitation du Saint Esprit et être rempli du Saint Esprit sont deux choses différentes qui peuvent aussi bien exister ensemble que séparément D- Concordances bibliques se référant à la divinité Le père Il est Dieu (Jn 1 :1) Il est le créateur (Gen 1 :1 ; Job 33 : 4 ; Esaie 40 : 28 ; 44 : 24) Jésus Il est Dieu ( Jn 1 :1 ; Rom 9 : 5) Il est le créateur (Jn 1 : 3 ; Eph 3 :9 ; 1Cor 8 : 6) Esprit Saint Il est Dieu (Acr 5 : 3-4 ; 2 Cor 3 : 17 Jn 4 :24) Il est le créateur (1Cor 12 :11 ; Rom 8 : 11 ; 1 Cor 2 : 9-10)
Posted on: Wed, 16 Oct 2013 10:01:50 +0000

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