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Encore une nuit blanche ! pa spossible de fermer loeil à cause de cette sacrée quinte de toux qui me tient éveillé. Du coup, jen ai profité pour vous concocter une nouvelle série dévénements qui se sont produits par le passé, mais un 21 octobre cette fois-ci. Les voici : Les thèmes dans leur ordre chronologique : Première croisade. Seigneurie d’Aubagne. Droits de pacage à Solliès . Fin des guerres de succession en Provence. Fernand de Magellan. Louis de Nogaret d’Epernon de La Valette. Bandol meurt de faim. Port de Sanary, un des pivots de la défense côtière toulonnaise. vague de serments civiques des prêtres. Réquisitions en 1793. Différend entre Bonaparte et Carteaux. Trois groupes de batteries sur la colline des Arènes à Toulon. Construction d’un autel de la patrie au Beausset. Elections de 1795 au Corps législatif. Bataille de Trafalgar. Bataille navale au large du Cap Creus. Le Chemin de Fer de Marseille à Toulon. Rattachement de la Vénétie au royaume dItalie. Pêche au thon. Offensive à Verdun. Mise en service de l’aviso Calais. Démarche contre linstallation dun dépôt de mazout au Lazaret de Saint-Mandrier. Franco autorise des évadés de France à rejoindre l’Afrique du Nord. Rétablissement du décret Crémieux sur la citoyenneté des juifs Afrique du Nord. Dégâts commis par les troupes italiennes chez un propriétaire sanaryen Confédération générale de l’agriculture. Référendum constitutionnel et élection dune Assemblée constituante. Vote massif des femmes. Négociation sur les salaires avec la CGT. La France cède à l’Inde ses comptoirs dans le pays. Juliette Gréco fait ses débuts à Bobino. Manifestation à Washington contre la guerre du Vietnam. Colloque à Paris sur la psychose. Liaison autoroutière Paris-Marseille. Assassinat du juge Michel. Affaire du sang contaminé. Jacques Chirac se rend dans les territoires de l’Autorité palestinienne. Inondations et coulées de boue à Saint-Mandrier. -1096 – 21 octobre : Armée – Collectivités - Commerce - Guerre – International – Religion – Société - Première croisade. L’armée des Provençaux est conduite par Raymond de Saint-Gilles, comte de Toulouse, Marquis de Provence. Au printemps de 1096, départ d’une expédition populaire qui traverse l’Europe méridionale en provoquant pillages et pogroms. 1er août, très diminuée, elle atteint Constantinople. 21 octobre, elle est exterminée par les Turcs à Nicée. -1230 – 21 octobre : Armée – Collectivités - Commerce - Guerre – International – Religion – Société - Acte 471 portant restitution au chapitre de la Major, par Barrale, fille de feu le vicomte Barral, du tiers d’Aubagne, dont le prévôt Hugues Béroard s’était emparé après la mort du vicomte Roncelin et qu’il avait ensuite remise à Hugues des Baux, mari de Barrale, sous condition de la rendre à sa demande. Le chapitre lui rend incontinent le tiers d’Aubagne, pour lequel elle prête hommage, ainsi que son fils Gilbert, au chapitre en y comprenant les lieux de Gémenos, Roquefort, Cuges et Julhans. Les procureur du chapitre se font restituer également le tiers possédé par son mari Hugues et le troisième tiers de Mabile de Monteil, pour défaut de paiement de cens. Barrale livre les clefs du château; les chanoines font arborer l’étendard de la vierge Marie sur la tour, et donnent en commende tout le château à Barrale, jusqu’à la fête de Saint-André, à la condition de venir à Marseille, avec ses fils et Mabile, pour faire hommage. -1283 – 21 octobre : Elevage - Religion - D’après l’acte 372 du cartulaire de Montrieux, les chartreux de Montrieux et les chevaliers de l’Hôpital de Beaulieu concluent une transaction au sujet des droits de pacage à Solliès : les chartreux pourront y faire paître leurs troupeaux moyennant un cens annuel de 15 livres et une médaille d’or. -1387 - 21 octobre : Collectivités - Municipalité – Les «chapitres de paix» du 21 octobre 1387, qui consacrent la fin des guerres de succession en Provence, excluent toute forme de représailles et consacrent la place prépondérante de la capitale dans la vie du comté. Avant même ces accords, la reine Marie, veuve de Louis d’Anjou, fille de Charles de Chastellon, dit de Blois, et de Jeanne de Bretagne, et gouverna le royaume de Cicille pendant la minorité de son fils, avait accordé aux habitants de Six-Fours, Ollioules, le Bausset et Evenos, l’immunité et l’exemption de tous droits de péage, non seulement dans le détroit de la ville de Toulon, mais encore dans tous les lieux de Provence et terres adjacentes. -1520 – 21 octobre : Géographie - Pour la première fois de l’histoire, un Européen va traverser le détroit situé au sud de l’Amérique reliant l’océan Atlantique à l’océan Pacifique. En effet, l’explorateur et navigateur portugais Fernand de Magellan vient de découvrir un passage par l’ouest vers les îles aux épices (Indonésie). Il y entrera le 1er novembre et atteindra l’océan Pacifique le 28 novembre. Il donnera son nom à ce détroit qui sera très utilisé avant l’ouverture du canal de Panama. En référence à la date d’entrée de Magellan dans le détroit, celui-ci fut longtemps appelé détroit de la Toussaint. -1632 – 21 octobre -1638: Religion – Louis de Nogaret d’Epernon de La Valette, cardinal, 13ème abbé commendataire de Saint Victor de Marseille. 64ème abbé de Saint Victor de Marseille mais 57ème selon P.-A. Amargier et Edouard Baratier. CARDINAL Louis DE NOGARET DEPERNON DE LA VALETTE, 1632-1638. Bulles de provisions du 21 octobre 1632, mise en possession du 22 février 1633, ancien archevêque de Toulouse. Mort en 1638. -1720 – 21 octobre : Agriculture – Armée - Collectivités – Communications - Municipalité - Population – Risques majeurs - Santé - Par cette lettre, le Marquis Dupont; commandant de TOULON demande que lon porte secours à Bandol qui meurt de faim et où il reste encore 122 personnes vivantes. Les habitants de Bandol menacent de sortir de leurs barrières malgré les gardes qui ne sont pas assez nombreux. Il demande de fournir vin, farine, blé. SAINT-NAZAIRE recevra pour BANDOL les secours dOLLIOULES, LA SEYNE, SIX FOURS, le BEAUSSET, LA CADIERE. On leur donnera un reçu. Il faut aider ces malheureux voisins pour les empêcher de mourir de faim. -1791 – 21 octobre : Armée – Collectivités - Guerre – International – Municipalité – Par un courrier daté du 24 février et adressé aux trois représentants de la Convention en mission dans le Var, le Conseil général du district de Toulon avait signalé lurgence d’effectuer des réparations au port de Saint-Nazaire, l’un des pivots de la défense côtière toulonnaise, à l’abandon depuis le 21 octobre 1791, réclamait des réparations urgentes. -1792 – 21 octobre : Collectivités – Religion - Société - 21 octobre, nouvelle vague de serments civiques au Beausset d’après la loi du 14 août 1792, publiée le 15, qui ordonne que tout français recevant un traitement ou une pension de lEtat sera censé y avoir irrévocablement renoncé sil ne justifie que dans la huitaine de la publication du présent décret, il na juré devant la municipalité du lieu de son domicile le serment civique. Cette fois-ci, cest au tour de Laugier (curé assermenté), de Laurent Imbert (prêtre assermenté), de François Imbert (juge de paix), de Bathalzard Marquand (secrétaire-greffier), et de Balthazard Imbert (directeur des Postes), de prêter serment. Suivent les décisions de la convention à dominante girondine, désormais on ne prête plus serment dêtre fidèle à la Nation, à la Loi et au Roi, mais on jure dêtre fidèle à la Nation, et de maintenir la Liberté et lEgalité, ou de mourir en les défendant. -1793 – 15 octobre : Agriculture - Armée – Elevage - Guerre – Industrie - International – Municipalité – Population - On réquisitionna les chevaux, mulets, voitures ; les matelas et les paillasses ; les poids des métiers et des pendules (horloges provençales à poids) ; le tout suivant la circulaire des représentants aux armées, Ricord et Robespierre Jeune, du 15 octobre. La même circulaire ordonna aux autorités détendre la réquisition du plomb, nécessaire à la confection des munitions, à tout le département du Var si besoin était. A Nice, les représen¬tants du peuple, députés par la Convention Nationale à larmée dItalie, Ricord et Robespierre jeune, mirent en réquisition tout le plomb existant dans le département du Var pour être transporté à larsenal de Nice, après vérification du poids et de la qualité dans le but den payer le prix à leur propriétaire. La circulaire, conforme, des administrateurs du district du Beausset était datée du 21 octobre suivant (sic !) et rappelait que les poids des métiers et des pendules rentraient dans la catégorie des objets réclamés. -1793 – du 23 septembre au 21 octobre – Armée –Guerre – Après l’échec de Delaborde contre l’Eguillette, Carteaux, considérant que son autorité doit être reconnue, poste son armée face au corps principal de la place, sa gauche devant le fort des Pomets, sa droite devant Malbousquet, son centre devant le fort Saint-Antoine. Il prétend ainsi faire la jonction avec la division du général Lapoype dont la division a atteint La Valette par le vallon des Favières. Lapoype devait s’emparer du Cap Brun de façon à battre le fort de La Malgue et la grande rade grâce à l’artillerie de la division de l’Est commandée par le capitaine Sugny. … (empêché dans son mouvement par la sortie des troupes alliées) Lapoype décida d’attaquer le Faron tenu par 300 hommes. Après avoir pris la montagne et tenté d’installer une batterie, les Républicains en furent chassés par trois colonnes d’Anglais, d’Espagnols et de Napolitains. 200 Français se tuèrent en tombant des rochers dominant La Valette. Carteaux ordonna à Bonaparte de « foudroyer Toulon pendant trois jours, au bout desquels je l’attaquerai sur trois colonnes et l’enlèverai ». Un nouveau différend éclate entre les deux hommes qui aboutira au limogeage de Carteaux, car Bonaparte décide donc de croiser le feu de son artillerie uniquement sur le fort de Malbousquet. -1793 – 21 octobre : Armée – Guerre – International – Le 21 octobre, soit deux jours après sa nomination au grade de chef de bataillon, Bonaparte fait disposer trois groupes de batteries assez éloignés lun de lautre, sur la colline des Arènes, à un millier de mètres au Nord de Malbousquet, son unique objectif. Elles comprennent en tout, sept pièces de 24 et deux obusiers. Une batterie de soutien, « Le Camp des Républicains » est mise en place, légèrement à lOuest de « La Conven¬tion ». Il fixe son poste de commandement dans une bastide en contrebas et, de son coup doeil admirable il choisit les emplacements de ses futures batteries dès quil en aura les moyens, car, pour lheure, le matériel de siège fait cruellement défaut. Le nouveau chef de bataillon réclame à Paris un accroissement du nombre des bouches à feu et le commandant Gassenti, de lEtat-major à Marseille est lui aussi sollicité. Ses demandes portent rapidement leurs fruits. Cest ainsi que le parc dartillerie de Sète fait transporter 24 canons de 24 et de 16 et que lordre est donné aux fonderies du Creusot de diriger sur Toulon, toutes les pièces et boulets disponi¬bles. Finalement Bonaparte dispose dun parc de 50 batteries. Il établit un arsenal à Ollioules, rétablit les fonderies de Dardennes et réquisitionne des chevaux dans tout le Midi. A Sanary, il adresse cet ordre du QG d’Ollioules : « Le Commandant de l’artillerie de l’Armée devant Toulon, aux Officiers Municipaux de Saint-Nazaire : je vous requiers, Citoyens, de mettre en réquisition tout le plomb qui se trouve à Saint-Nazaire et de le remettre au citoyen Mathieu, Capitaine d’Artillerie. Signé : Buonaparte». Finalement, les Républicains disposent d’un parc de 50 batteries. Dès qu’il peut disposer de nouvelles pièces, Bonaparte fait armer de 4 canons de 24 et de 3 mortiers la batterie dite « La Poudrière », sur la colline de Lagoubran, à 1000 m à l’ouest de Malbousquet. -1794 – 21 octobre (30 vendémiaire an III) : Collectivités – Economie – Industrie - Municipalité – Justice - Religion – Société - Urbanisme - Le 30 vendémiaire, Le Beausset répare un fâcheux oubli. Considérant que dans toutes les communes de la République il existe un autel de la patrie, et quil paraît étrange que dans une commune qui sest toujours si bien comportée, il nen est pas un de dressé,... délibère quil sera de suite dressé un autel de la patrie... Mais rien ne précise les modalités du culte qui y était rendu... La construction de cet autel de la patrie, de même que la réparation de la toiture de la société populaire, coûtent 114 livres 10 sols à la municipalité. Remarquons au passage que cest la commune qui prend en charge les dépenses de la société populaire, de même que le cachet du comité de surveillance du Beausset (40 livres), le 14 thermidor, ainsi que le drapeau de ce même comité de surveillance (45 livres). Ainsi en avaient décidé J. Eynaud, maire, et André Deprad, officier municipal. Guillaume Darolle, menuisier au Beausset, ne se plaint pas de tous ces travaux, lui qui reçoit de la commune 129 livres et 15 sols le 30 vendémiaire (21 octobre). Entre autres, pour avoir fait une planche pour le comité de surveillance pour y peindre la statue (de la justice?), avoir fait une grande planche ronde pour mettre sur le temple de la raison, avoir raccommodé la porte de la prison de Portails et y avoir mis une serrure, avoir raccommodé la porte de la prison de la maison commune.... -1795 – 21 octobre (29 vendémiaire an IV) : Collectivités – Société - 21 octobre : Elections au Corps législatif. Fin des élections législatives : 379 Conventionnels seulement sont réélus alors quil en faudrait 500 pour atteindre le quota des deux tiers. -1805 – 21 octobre : Guerre – International - Bataille de Trafalgar. Au large du cap Trafalgar, au sortir de Cadix, lamiral Villeneuve se retrouve face aux Anglais. Mais les navires qu’il commande s’étirent sur une ligne de quelque six kilomètres. Nelson coupe cette ligne en trois. Une mêlée violente et confuse s’engage. Cinq heures plus tard, il ne reste que quinze des trente-trois bâtiments de la flotte de Villeneuve. Les autres sont pris ou coulés. 7 000 marins ont été tués, se sont noyés ou sont hors de combat. A bord du vaisseau amiral « Victory », Nelson agonise : Grâce à Dieu, j’ai fait mon devoir. .Trafalgar est la plus désastreuse bataille navale de lhistoire de France. Villeneuve fait prisonnier par les Anglais, sera libéré en avril 1806 et se suicidera. Pierre de Villeneuve, né à Valensole en 1763, avait remplacé l’amiral Latouche-Tréville début septembre et hissa » lui aussi sa marque sur le ”Bucentaure”. Il mena la flotte aux Antilles pour diversion, et fur rattrapé au retour par Horatio Nelson. -1809 – 21 octobre : Guerre – International - Le 21 octobre 1809, l ‘Amiral Ganteaume fit partir un convoi de 15 navires pour ravitailler Barcelone alors aux mains des Français, sous escorte dune division navale commandée par le Contre-amiral Baudin. Au large du Cap Creus eut lieu la rencontre avec une escadre anglaise commandée par lAmiral Collingwood. Le convoi et son escorte se réfugièrent dans le port de Rosas, mais les Anglais mirent plus de 50 embarcations à la mer et attaquèrent les navires français dans le port. Le chébec la Normande fut capturé, et son capitaine Arnaud qui avait perdu un bras dans lopération fut emmené sur les tristement célèbres pontons anglais. Quand il revint en France en 1814. Le Maréchal Masséna; alors gouverneur de Toulon, lui remit une décoration en or, en forme de bras. L’Enseigne Arnaud, désormais manchot, s’établit à Sanary, sa ville natale, et y resta jusqu’à sa mort Avec cette décoration originale, ses concitoyens le surnommèrent « Arnaud Bras d’Or », peut-être pour le distinguer d’autres Arnaud de la même ville. -1855 – 21 octobre : Collectivités – Communications – Municipalité - Urbanisme - Le 21 octobre 1855, le Conseil Municipal de Saint-Nazaire prend connaissance du plan général du tracé du Chemin de Fer de Marseille à Toulon, accompagné d’un mémoire indiquant que, malgré l’enquête d’utilité publique aucune réclamation n’a été faite quant au tracé et aux stations. La station de Saint-Nazaire sera située à la rencontre du CV de grande communication n° 11 d’Ollioules à Saing-Nazaire sur un pallier de remblai de 2 à 3 m de hauteur, à 1900 mètres du bourg, et à 2700 m d’Ollioules. Une enquête en vue de l’expropriation concernera Pierre Soleillet, Virginie Vernet épouse Gamel, Stanislas Gastinel, Elzéar Granet, Marie Boyer veuve Icard, Laurent Pignol, Moustier, son épouse, François Joseph Coulomb. Les travaux entraîneront quelques dégradations aux chemins et propriétés, aux canaux des fontaines. Il y aurait eu quelques manifestations d’après la rumeur, mais aucune trace n’en a été retrouvée à ce jour. A cause de la pente rapide, aucun emplacement autre à proximité du village n’avait été jugé plus favorable que celui arrêté, et celui proposé à la Millière, proposé primitivement, ne fut pas retenu. Quand le tracé définitif sera soumis peu avant 1859, la municipalité du Beausset tentera encore de faire changer au moins l’emplacement de la gare la plus proche, Bandol, pour y avoir plus facilement accès depuis Le Beausset, mais toujours sans succès. Ollioules à cette occasion obtient que la gare soit construite de son côté, et non pas du côté de Sanary, et que son nom précède celui de Sanary. Pour cette nouvelle voie de communication, il n’ a été tenu aucun compte des chemins existants. Le but est de passer à proximité des villes de la côte : c’est le cas pour Bandol et Saint-Cyr, ou de prendre une distance moyenne entre deux villes, si les deux sont desservies par une gare commune : c’est le cas de Sanary et d’Ollioules, et de Ceyreste et de La Ciotat, ou encore de s’en rapprocher le plus possible, mais sans faire de détours importants : c’est le cas pour La Seyne, et accessoirement pour Six-Fours. A Toulon seulement, la voie ferrée pénètre dans la ville, et même à l’intérieur des nouveaux remparts. Dès voies annexes pourront desservir l’Arsenal de Toulon (dès le 1er juin 1859), ou les Chantiers de Constructions Navales de La Seyne ou de La Ciotat. La gare de triage n’est établie à La Seyne, conjointement avec une cité P.L.M. (Paris - Lyon - Méditerranée, du nom de la nouvelle compagnie d’exploitation) pour le personnel, qu’après la guerre 1914-18, vers 1920. -1866 : International - Rattachement de la Vénétie au royaume dItalie par plébiscite après la Troisième guerre dIndépendance italienne. -1896 – 21 octobre : Pêche - Les pêcheurs de Saint-Mandrier faisaient souvent de belles pêches au thon. Ainsi dans la nuit du 21 octobre 1896 les filets « thonaïrés» des patrons Lazare et Marius Giraud père et fils, ont surpris trois énormes thons évalués à un poids de trois à quatre quintaux qui ont été embarqués au matin sur le bateau à vapeur à destination de la poisonnerie de Toulon. -1916 – 21 au 24 octobre : Armée – Guerre : Les forces françaises passent à l’offensive à Verdun. Celle-ci débute par une préparation d’artillerie. Le 24, à 11 h, les troupes du général Mangin monteront à l’assaut et prendront le fort de Douaumont, faisant plus de 6 000 prisonniers. La bataille de Verdun semble alors gagnée. -1919 – 21 octobre : Armée - Industrie - Mise en service de l’aviso Calais, classe Arras, construit par les Forges et Chantiers de la Méditerranée, La Seyne. -1925 – 21 octobre – Armée – Assainissement – Communication - Municipalité – Pêche - Population – Tourisme – Voirie - Profitant du passage à Toulon de M. le Ministre de la Marine ,une délégation tente une ultime démarche contre linstallation dun dépôt de mazout au Lazaret. A cet effet, MM. Revest Lucien adjoint spécial et Giraud Thomas conseiller municipal, prudhomme des pêcheurs, se sont joints au Docteur Mazen, Maire de La Seyne. A la Préfecture Maritime, lentrevue eut lieu, et après explications de part et dautre, bien que le dépôt en question soit chose officielle à ce moment là, le Ministre a bien promis aux élus du pays, que toutes les précautions seront prises pour que rien ne soit déversé en rade ; que la canalisation deau potable desservant la section se fera par le bas du Lazaret et quune route touristique passant aussi dans lancien sanatorium ralliera plus directement les chantiers du Creusot-. Et sur ces promesses, la délégation se retira, avec lespoir que ce quelle venait dentendre de la bouche même du Ministre serait exécuté. -1943 – 21 octobre : Guerre – Population – Franco autorise un premier convoi d’évadés de France à rejoindre l’Afrique du Nord. En Algérie, au même moment, le décret Crémieux sur la citoyenneté des juifs Afrique du Nord, aboli le 7 octobre 1940 par Vichy, est rétabli. -1943 – 21 octobre : Guerre – Population - Attestation de l’ex commandant de la 163ème batterie italienne comme quoi ses troupe avaient commis pour 71 000 F de dégâts chez un propriétaire sanaryen : « Toulon, le 21.10.1943. Il sottoscritto, Tenente Di. Vicino Giacomo ex commandante della 163° batteria del 104° gruppo artiglieria G. F. a P.M. 95, in seguida a la richiesta scritta del Signor Podesti a Sanary / Mer datata al 21/10/943 ; attesto che il Signor Canolle Eugène ha subito nella sua proprietà danni da parte dei soldati della batteria susdetta del’ammontare a frc 71 000 (settantuno millo) come risulto risulto dal rapporto del esperto Cayol Marius di Bandol (Var) rilasciato il 6/10/943. In fede [Signé :] « Il Tenente Giacomo Di Vicino. » -1944 – 20 et 21 octobre 1944 : Agriculture – Economie – Elevage – Réunies à Paris, les anciennes organisations paysannes décident de constituer une Confédération générale de l’agriculture. -1945 – 21 octobre : Collectivités - Politique – Société - Référendum constitutionnel et élection dune Assemblée constituante. Les femmes participent massivement pour élire les membres de la nouvelle assemblée constituante. Lordonnance du 5 octobre 1944, leur avait accordé le droit de vote. Elles le mettent en pratique pour la première fois de lhistoire de France. Le suffrage universel prend tout son sens. La première question du referendum concernant l’abandon de la constitution de 1875 (IIIe République) recueille 96,4% de oui. A la seconde question sur le maintien du gouvernement de Gaulle tant que siègera la Constituante, on dénombre 60,3% de oui. Les résultats sont un demi-échec pour le Parti communiste qui avait préconisé le non (33,7% à la seconde question. Il est prévu que la nouvelle constitution devra être approuvé par referendum pour entrer en vigueur. Aux élections à la Constituante, le Parti communiste obtient 26,3% des suffrages et devient le premier parti de France. Il demande une plus grande place au sein du gouvernement. -1947 – 21 octobre : Economie – Le gouvernement entame une négociation sur les salaires avec la CGT. -1954 - 21 octobre : Collectivités – Géographie – International - Population – Société - La France signe avec lInde un accord sur la cession de ses comptoirs dans le pays. -1954 – 21 octobre : Arts – Poésie - Juliette Gréco fait son début à Bobino. -1967 – 21 octobre – Guerre – International - Manifestation à Washington contre la guerre du Vietnam. -1967 – 21 et 22 octobre – Santé – Maud Mannoni, psychanalyste, organise à Paris un colloque sur la psychose au cours duquel des représentants de l’antipsychiatrie anglaise prennent la parole. Deux ans plus tard, elle fondera l’Ecole expérimentale de Bonneuil-sur-Marne inspirée de l’expérience anglaise de Kingsley Hall, un « antihôpital » de la banlieue de Londres. -1970 – 21 octobre : Communications – Ouverte de la liaison autoroutière Paris-Marseille. -1981 – 21 octobre : - Justice - Assassinat du juge Michel, spécialisé dans les affaires de drogue. -1992 – 21 octobre : Justice – Santé – L’affaire du sang contaminé qui a provoqué le décès par sida de plusieurs centaines d’hémophiles entre dans une phase judiciaire : trois responsables de la santé (le professeur Jacques Roux, les docteurs Robert Netter et Michel Garretta) sont inculpés. La polémique s’enfle sur la responsabilité éventuelle des ministres de tutelle. -1996 – du 19 au 25 octobre : International – Jacques Chirac effectue un voyage au Proche-Orient. Le 22, il se heurtera assez durement aux Israéliens. L’incident amènera les excuses du Premier ministre B. Netanyahou. Jacques Chirac est le premier chef d’Etat à se rendre dans les territoires de l’Autorité palestinienne (Ramallah et Gaza). -1999 – 20 et 21 octobre : Climat – Hydrologie - Risques majeurs - Inondations et coulées de boue à Saint-Mandrier. Références : Albanès et Chevalier, Gallia... Marseille, n° 1171. Archives de Sanary. Barthélemy Rotger, 1884, p. 404. de Gérin-Ricard : A. la Major de Marseille, chartes originales, n° 59. Dr Barthélemy, Inventaire, n° 238 Edouard Baratier, 1966, Abbatum Massiliensium…. Edouard Baratier, Georges Duby, Ernest Hildesheimer, 1969.. Eugène Castellan, 1937 Frédéric Gugelot, La IVe République, 2001 Gérard Delaforge, Le Beausset et la Révolution Française… Gisèle Argensse, 1989, p. 112, p. 177. Henri Ribot, Archives personnelles. J. Boudet. – Chronologie de l’histoire de l’Europe, Nathan, 1991. Jean Denans, 1713. Jean Gavot, 1976 Jean Loignon, La Ve République, 2001 Jean-Charles Volkmann, « Chronologie de l’Histoire de France », 1997. Jean-Charles Volkmann, 2003. Jean-Louis Panné, La première moitié du XXe siècle, 2001 Louis Baudoin, 1965, p. 355. Mairie de Saint-Mandrier 2004-2010 Annuaire-Mairie Maurice Agulhon, Nicolas Coulet, 1987. Paul Maurin-Carcopino, 1969, 60-61. Raoul Busquet, Histoire de la Provence Raymond Boyer, 1980, p. 658. Roger Vallentin du Cheylard, Sanary et le siège de Toulon, 1913-1914, rééd. 2001. Yann Fauchois, 2001. Ci-dessous : deux bornes de délimitation de Six-Fours (Camp Laurent et La Pyro) et un cliché pris du Château du Diable (Evenos) en direction de la Barre de la Jaume.
Posted on: Mon, 21 Oct 2013 02:31:00 +0000

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