Envoyé chez nos amis du Boulevard - TopicsExpress



          

Envoyé chez nos amis du Boulevard Voltaire. Salutations, J’ai toute conscience qu’en écrivant ceci je ne devrais nullement m’attendre à un traitement honnête de la part de celles et de ceux qui, ici ou ailleurs, se jettent à conscience perdue dans un combat idéologique, une cause politique qui a volontairement pris comme objet d’exaction ce qui méritait le moins de l’être. Avant de parler de l’article en lui-même, je débuterai ce qui pourrait raisonnablement être considéré comme une diatribe contre les apôtres du nihilisme intellectuel et moral, par un rappel sur le titre de ce site et de l’état d’esprit dominant. Voltaire, un homme qui a le mérite de nous permettre deux-cents cinquante années plus tard, de dissocier les sots des sachant, les « honnêtes gens » des « populistes », des faquins et des résistants, car oser défendre la France tout en se revendiquant de près ou de loin à Voltaire reviendrait à défendre la paix de la main droite pour poignarder l’enfant de la gauche. Voltaire, homme des Lumières, un personnage et un mouvement prônant l’esclavagisme, l’injustice, la soumission de la Plèbe à une poignée de puissants personnages qui, comme aime à le dire Voltaire et qui est substantiellement présent dans la première édition de l’Encyclopédie de Diderot : « Un pays bien organisé est celui où le petit nombre fait travailler le grand nombre, est nourrit par lui et le gouverne ». Voilà ce qui est réellement un danger pour n’importe quel peuple, se jetant dans les mains avides des besoins plébéiens. L’esprit du site, qui pêche par son écart entre la cause motivant son existence et son application, motivée par la haine du mauvais ennemi - mais comme à l’accoutumée pour toute personne lâche ou tout groupe lâche, quand le véritable Ennemi vous surpasse en force, plutôt que de vous y soumettre pleinement, vous vous y soumettez à moitié en luttant vers la cible qui vous est donné par cet Ennemi, cela permet de garder un semblant d’illusion sur un esprit de contestation et dans le même temps, de vous épargner l’écrasement de celui qui domine-, ne saurait être blâmé pour cela quand la quasi-totalité des mouvements se proclamant de défense nationale, ce qui dans le jargon historique est analogue à la capitulation envers l’Ennemi, pullulent en s’imposant comme une alternative politique viable et saine pour les esprits plébéiens qui ne savent comme lutter contre cette force invisible écrasant les sociétés et qui, comme vous, ont décidé de suivre les élans issus des braises de la répulsion raciale et spirituelle. L’article maintenant, qui par son développement, pose l’hérésie sur le titre honorifique de son auteur qui n’est abbé qu’alphabétiquement. Concrètement, que dit Mr Pagès ? Outre sa dissociation des musulmans « bons » et de l’Islam qui serait à ses dires et à ceux de beaucoup d’autres, vicié dans le Mal, en expliquant que bons ils ne sont que grâce à leur nature humaine et par extension, leur nature Chrétienne, cette personne rappelle sans cas de conscience ce qui par des raisonnements fallacieux, est appelé dans notre chère langue, le mensonge. Le traitement par la théologie nécessiterait vous en conviendrez, un autre cadre que celui-ci et surtout un autre état d’esprit que celui sentit ici, notamment chez l’auteur de ce texte ou de cette attaque contre l’Islam et sa communauté, une attaque contre Dieu en somme car s’attaquer au Judaïsme, au Christianisme et à l’Islam revient à s’attaquer aux enseignements Divins et de fait, à Dieu. La critique est une chose saine, mais quand elle ne s’exprime que sous accusation sans développement, elle devient calomnie. Vous avez raison Mr Pagès sur un point. La méthodologie qui consiste à prendre ce qui va dans le sens du défenseur tout en cachant ce qui pourrait gêner, qui plus est dans un support immuable comme les Saints- Ecrits, est un artifice de malhonnête qu’il est bon de dénoncer, c’est pour cela que je le fais en ce qui vous concerne. Vous parlez, Mr Pagès, de « cette division au fondement de l’Islam ». Prenons donc cette phrase, son emplacement, son contexte. Vous parliez du St-Coran au préalable, qui représente les fondamentaux de l’Islam en effet, mais votre phrase qui voulait en faire mention est formulée si maladroitement que vous ne parlez absolument pas de cela. « Cette division au fondement de l’Islam », une phrase qui dans sa définition, nous renvoie à l’époque de la Révélation et de la discordance qui aurait régné, selon vous, entre le Prophète et les convertis, alors que vous vouliez parlez Mr Pagès des « fondamentaux » de l’Islam, contradictoires toujours selon vous. Preuve, vous vilipendiez un de vos collègues pour avoir volontairement omis les « sourates inacceptables », c’est l’origine de votre article, vous aviez bien en esprit donc les fondamentaux « mensongers » de l’Islam et non la division suscitée au fondement de l’Islam. Assurez-vous, Mr Pagès, de parler du sujet quand vous le traitez. « Au lieu de dénoncer cette division au fondement de l’islam non seulement comme une source intarissable de luttes intestines, mais encore, et en conséquence, comme la preuve de son incapacité à apporter jamais la paix au monde qu’il ne peut donc posséder, notre auteur espère trouver dans ce qu’aura épargné le fracas de ces contradictions de quoi chanter les louanges de l’islam… » Maintenant, passons à la partie suivante de votre exposé. « Après avoir honteusement assimilé l’Église catholique à « toutes les religions qui s’historicisent » et ne pourraient à cause de cela « se définir comme unitaire », alors même que précisément le catholicisme – et lui seul – peut unir tous les hommes sous l’autorité divine d’un seul chef (Mt 16.18-19 ; Jn 10.16, 21.15-18), l’auteur avance que « tous les honnêtes hommes » devraient dénoncer l’amalgame « islam = terrorisme », et ce en dépit de l’exemple de Mahomet, des textes de référence de l’islam, de l’histoire, et de l’actualité. » Le catholicisme, à ne pas confondre avec le Christianisme, mais continuez votre chemin propagandiste à coup d’erreurs, de maladresses et de malhonnêteté. Le catholicisme, qui historiquement est la soumission non pas à Dieu, mais à l’Eglise qui continuellement se prit pour Lui, est un courant du Christianisme qui par sa hiérarchisation entre l’individu, le croyant du peuple, et l’autorité, qui n’est plus Dieu mais le pouvoir de l’Eglise, a dévoyé son but premier en utilisant la théologie comme moyen d’oppression. Mais faisons un peu d’histoire, car autant l’Eglise peut se voir critiquée sur bien des points, autant elle ne peut pas être rendue responsable de certains mensonges de l’Histoire. Tout d’abord, Jeanne Dare, connue maladroitement sous le nom de Jeanne d’Arc, qui ne doit ce changement de nom qu’à la volonté stupide d’un poète du 17ème siècle ,si je ne m’abuse sur la date précise, à faire commerce sur cette femme pieuse. Il est habituellement pensé et repris par les cours d’histoire que Jeanne fut brûlée par l’Eglise, ce qui est très inexact. Sous la pression de l’Université de Paris, qui faisait autorité dans le Royaume Français théologiquement alors qu’elle était sous domination anglo-saxonne et non de l’Eglise, et par l’intermédiaire de l’évêque Cochon qui ne prit aucun plaisir dans cette affaire, les autorités locales à la suite de la trahison de Charles VII, ont procédé à la mise à mort par le bûcher de Jeanne. Donc l’Eglise, à ce moment-là, peut avoir été lâche de ne pas être intervenue, mais elle n’est pas responsable de la mort de Jeanne. Les Croisades, ou plutôt le « pèlerinage », le « voyage d’outre-mer », sont également un poignard constant à l’égard du Christianisme et de l’Eglise. De facto, on assimile cette appellation à une définition unique et définie dans le temps, comme si les Croisades n’étaient finalement qu’une et de motivations identiques. Rien n’est plus faux que cela. L’appel au pèlerinage (le terme croisade n’est aucunement de l’époque), fait par Urbain II n’avait pour but que de délivrer Jérusalem du joug des Turques Seldjoukides qui depuis quinze années, avaient rendu tout pèlerinage impossible et avaient expulsé les Juifs, les Chrétiens et les Musulmans pour ceux qui n’acceptaient pas leur domination. La Croisade, première du nom, n’est qu’un appel à la délivrance du lieu saint et non un appel à la guerre contre les musulmans. Toutes les Croisades n’ont pas été faites dans ce même but salvateur, ainsi il faut savoir les reconnaître individuellement dans ce qu’elles furent et ne pas les assimiler toutes aux mêmes préjugés véhiculés sans vergogne, à l’instar de ceux sur l’Islam. L’Inquisition, le mouvement qui naquit vers le onzième siècle et qui est, selon encore une fois les préjugés ambiants, le bras armé juridique faisant la chasse aux sorcières à aux esprits insoumis. Là encore, c’est un mensonge. Il ne faudrait pas oublier à l’époque le contexte général, notamment en France où la croyance en Dieu était d’une telle amplitude qu’un soupçon de satanisme était sujet à et jugée par l’incandescence populaire et par la condamnation des tribunaux… laïcs. Le but véritable de l’Inquisition n’était pas temps de persécuter les hérétiques comme furent persécutés les Chrétiens à une « certaine époque », mais bel et bien de ramener une vraie justice là où folie populaire prenait le pas sur le bon sens, au moment où chaque malheur du peuple était une raison pour aller brûler le voisin. Evidemment que des écarts furent commis, pas par l’essence de l’Inquisition mais par les dérives propres à certains individus comme Pierre Delancre, magistrat et non inquisiteur mais qui se fît passer comme tel. Chacune de ces périodes mériterait un traitement plus long, plus respectueux des détails et de toutes les informations que l’Histoire nous a permis de conserver. Il est crucial de ne jamais amalgamer l’essence avec son application, car faire cela, c’est omettre volontairement les motivations de l’individu. On ne saurait être sérieux, crédible et honnête si ce travail loyal dans la méthode n’était pas fait. On ne peut pas assimiler le sionisme au Judaïsme, la pédophilie au Christianisme et la haine à l’Islam, cela reviendrait à calomnier par carences morales et intellectuelles, ce qui est réprime les vices de l’Humanité. Pour finir sur cette partie du texte de Mr Pagès, vous défendez un courant et non l’essence Chrétienne car le catholicisme n’est pas le Christianisme, comme le protestantisme ou l’orthodoxie ne le sont pas non plus, alors prétendre que l’Islam s’imposerait comme courant dominant les sociétés en conspuant cela tout en revendiquant la toute puissance d’un courant qui historiquement est en opposition avec ce qu’il prétend épouser, c’est vraiment passer pour un portefaix et se mettre en contradiction avec les allégations que vous imputez à l’Islam et à sa communauté. Une précision et non des moindres vous en conviendrez, le nom du Prophète de l’Islam n’est pas Mahomet mais Muhammad, mais je comprends tout à fait vu votre discours, pourquoi vous préférez l’étymologie fallacieuse à la véritable. Pour la partie suivante, il est nécessaire de rappeler que vous l’intronisez par l’amalgame entre arabe et musulman, en écrivant que cela ne serait en fait pas un amalgame mais une vérité absolue et cela, comme fidèle à votre méthode, sans apporter le moindre substrat argumentatif. Arriver à ce niveau-ci d’humiliation, il aurait été pourtant temps pour vous de commencer à développer au moins un propos, ne fusse qu’une tentative suffocante. « Cette courante méprise vient de ce que, tous les musulmans n’étant pas des terroristes en acte, le mérite de leur comportement pacifique est attribué à la vertu de l’islam. Or, s’il y a de braves gens en islam, cela n’est pas à mettre au compte de l’islam, mais au compte de la nature humaine, créée bonne par Dieu, en sorte que ces musulmans préférant écouter leur conscience, qui est la voix de Dieu parlant au cœur de tout homme pour l’inviter à faire le bien et éviter le mal, ils n’obéissent pas à ce que leur commande Allah ! Ils ne sont donc pas de braves gens à cause de l’islam, mais en dépit de l’islam. Une preuve en est que les islamistes les tuent au même titre que les « infidèles » parce que coupables à leurs yeux d’infidélité à l’islam. » Avant d’aller dans le fond idéologique de cette partie-ci, admirons-donc ce qui est un problème pur de français, la syntaxe. Cette première phrase débutant de « Cette courante » et se finissant à « de l’islam » devrait se lire de la façon suivant car la parenthèse effectué par les virgules sont indépendantes du sens de la phrase, elles ne sont que l’encadrement d’une précision qui se place dans la phrase afin d’éviter la coupure de la pensée : « Cette courante méprise vient de ce que le mérite de leur comportement pacifique est attribué à la vertu de l’Islam ». Problème de syntaxe, par le positionnement des éléments de la phrase « de ce » et « de leur », problème d’utilisation des temps avec le mélange du présent de l’indicatif et du passé composé : « Vient de ce que » / « est attribué », la correction nous amenant à « Vient de ce qui fût attribué à la vertu de l’islam ». La moindre des choses, quand vous vous attaquez à un sujet, quand vous vous exprimez en tant qu’intervenant ou journaliste, quand vous êtes amené à passer par des relais de communication comme des sites d’informations ou des journaux, tout cela bien sûr simultanément, c’est quand même le fait de pouvoir parler correctement la langue avec laquelle vous jeter le poison autour de vous. Mais cela manifestement, vous ne savez pas le faire. Prenez donc le temps d’étudier la langue avant de vous en servir contre les autres. Pour le fond de cette partie, que j’eus traité précédemment, il est expliqué toujours selon Mr Pagès, que les « bons » musulmans ne le seraient finalement que parce qu’ils iraient en opposition avec l’Islam, voilà un raisonnement qui tombe sous un bon sens évident. Il est bien connu que par respect des convictions propres, il faudrait agir contre elles. Mr Pagès a l’air d’oublier que l’Islam, s’il avait lu le Coran par exemple, ne contraint quiconque à aller dans un sens qu’il ne souhaite pas, l’Islam n’est pas imposé et n’exclut pas un incroyant d’un secteur où habiteraient des croyants : « Si ton Seigneur l’avait voulu, les habitants de la terre auraient cru tous autant qu’ils étaient. » Coran 10 :99, Chapitre de Jonas. « Pas de contrainte en religion ! La voie de la raison s’est désormais différenciée de l’errance. Celui qui renie la tyrannie des fausses divinités et croit en Dieu s’est effectivement accroché à l’anse la plus solide et sans crainte de rupture. Dieu est parfaitement audiant et sachant. » Coran 2 :256, La vache. Deux versets, parmi bien d’autres mais qui contrairement à ceux auxquels Mr Pagès ne faisait qu’allusion, sont mentionnés dans le débat présent, qui nous permettent en se référant au Coran de constater de la liberté d’une personne à choisir la voie qu’elle souhaite, en toute connaissance et conscience. Le plus étonnant, c’est que le message profond de ces deux versets est de la fibre Chrétienne, Mr « l’Abbé ». Pour ce qui est de cette accusation sur l’Islam qui, en substance, commanderait la suppression selon vous des « infidèles », il vous incomberait de définir de ce que vous entendez par « infidèles » et « islamistes », en somme, sortir du champ lexical des médias pour faire dans la théologie, afin de justifier votre statut d’Abbé. Ma famille étant incroyante, je suis le seul musulman, je devrais donc les exterminer, sauf si la nature humaine m’eut donné ce bon sens que vous présentez chez tous les musulmans non musulmans ? Là encore, vous marquez de la lumière vos carences sur l’Islam et sur les courants monothéistes. Je note une aberration majeure… de plus. Dieu ne serait pas Allah et Allah ne serait pas Dieu ? Cela est-il identique pour Yahweh , où vous auriez peur d’être cohérent dans votre attaque en sachant que vous vous mettriez vos employeurs à dos, cher Abbé ? Vous prendrez acte, Mr Pagès, de l’importance des citations et de leur traçabilité, car je terminerai sur votre citation de verset qui, excusez-moi de vous le dire, fait de vous le paradigme de la malhonnêteté. « Et notre auteur de tomber lamentablement dans le panneau de la justification de la violence des musulmans au motif qu’ils seraient« insultés » par l’Occident se refusant à reconnaître la bonté de l’islam. Autrement dit, parce que l’Occident se refuse (pour combien de temps encore ?) à devenir musulman, le djihad est justifié ! En effet, pour un bon musulman, n’être pas musulman est une insulte à l’islam, une déclaration de guerre, comme en témoigne ce « beau » verset : « Entre nous et vous, c’est l’inimitié et la haine à jamais jusqu’à ce que vous croyiez en Allah ! »(Coran 60.4) ! » La violence, un concept qui vous sied bien quand vous l’assimilez substantiellement à l’Islam, revenons-donc dessus ; messire l’Abbé. La vie est une lutte incessante, nous luttons pour votre survie primaire, nous luttons pour nos proches, pour nous assurer une stabilité, contre les maladies, contres nos vices ( pour certains », ce qui est nommé dans l’Islam le Djihad, la lutte, qui doit se percevoir sur deux plans, interne et externe. Interne, la lutte contre nos pulsations d’humain, la satisfaction des vices, celle qui nous amène à lutter contre justement ce que vous appelez la « violence », celle qui se trouve être l’exutoire de la colère interne, qui amène aux exactions et donc aux antipodes des fondamentaux de l’Islam. La Lutte interne est la première à faire car sans elle, nulle cause ou action ne saurait être motivée par des intentions saines et menées par des procédés en accord avec l’Islam. Sans cette lutte interne, pas de lutte externe, qui n’est autre que le combat contre autrui ou contre un groupe. Vous voyez, Abbé, que l’Islam qui dans ses fondamentaux imposent le strict respect des valeurs saines des motivations jusqu’aux actions, ne peut pas être dans le même temps l’inducteur des haines de chacun. Pour vous en convaincre, lisez le Coran et cessez de regarder BFM Tv, même si cela doit aller contre vos préjugés et les ordres de vos employeurs, mais encore une fois, vous vous devez de justifier de votre statut d’Abbé, de serviteur de Dieu et non des intérêts de certains puissants. Je ne saurais assez répéter que pour comprendre une religion, il faut l’étudier, s’immerger dans le texte, dans l’histoire, dans l’honnêteté et cessez de penser que parce qu’un homme commet le mal au nom de l’Islam il n’est de vérité que ce serait l’Islam qui lui aurait commandé cela. Allez au texte, jamais à la télévision. Je finirai donc par votre avant-dernière phrase accusatrice et votre citation qui fait acte de preuve de l’accusation. Phrase : « En effet, pour un bon musulman, n’être pas musulman est une insulte à l’islam, une déclaration de guerre, » Pour les nombreux fils et filles de parents non-croyants ou appartenant à une autre religion, il est étonnant de voir qu’il n’y ait pas plus de génocide que cela, au vu de la propagation de l’Islam dans les pays comme la France qui n’avaient aucun passif avec l’Islam. La famille étant sacrée dans l’Islam et le respect envers les non-croyants important : « Ton Seigneur en a décidé ainsi : Que vous n’adoriez que Lui et de traiter les deux géniteurs avec bienveillance ». Coran 17 :23, Le voyage nocturne. « Ô vous qui avez cru ! Veillez avec loyauté et désintéressement à l’application de la loi de Dieu et témoignez en toute justice. Que votre aversion pour un peuple ne vous porte pas à ne point être justes. Soyez justes, cela est plus proche de la piété ». Coran 5 :8, Le festin. « Dieu ne vous défend pas de fréquenter ceux qui ne vous ont jamais combattus à cause de la religion et qui ne vous ont jamais fait sortir de vos maisons. Il ne vous défend pas d’être bons et justes avec eux. Dieu aime ceux qui sont justes. Dieu vous défend uniquement de fréquenter ceux qui vous ont combattus à cause de la religion, qui vous ont fait sortir de vos maisons et qui ont aidé à votre expulsion. Il vous défend de les prendre comme amis intimes et ceux qui les prennent comme amis intimes, se sont ceux-là les Injustes ». Coran 60 : 8/9, Les mises à l’épreuve. Vous remarquez cher Abbé, la différence méthodologique entre celui qui accuse sans apporter de source, se cantonnant simplement à de viles accusations, et celui qui critique tout en apportant des sources vérifiables par tous et toutes, à condition d’en avoir la volonté. Passons maintenant à la PREUVE de la légitimité de votre accusation : « Entre nous et vous, c’est l’inimitié et la haine à jamais jusqu’à ce que vous croyiez en Allah ! »(Coran 60.4) ! » Quelle magnifique troncature du verset pour l’amener à dire ce qu’il ne dit absolument pas, je vais réécrire le verset et revenir sur le sens : « Il y a effectivement pour vous un bon modèle à suivre dans Abraham et ceux qui étaient avec lui lorsqu’ils dirent à leur peuple : Nous vous désavouons vous et ce que vous adorez en-dehors de Dieu. Nous vous avons reniés et l’animosité et la haine se sont à jamais montrées entre nous et vous jusqu’à ce que vous croyiez à Dieu tout seul sauf ce qu’a dit Abraham à son père : Je vais assurément implorer pour toi l’absolution de Dieu mais je n’ai auprès de Dieu aucun pouvoir en ta faveur. Notre Seigneur ! C’est à toi que nous nous en sommes remis, c’est vers Toi que nous sommes revenus et c’est à toi qu’aboutit toute destinée. » Coran 60 : 4, Les mises à l’épreuve. Nous voyons tout de suite des différences majeures entre ce que vous avez avancé comme verset et le verset original. Tout d’abord, le rappel monothéiste auquel vous êtes également rattaché, sans quoi vous ne pourriez prétendre être abbé, qui reste tout autant à démontrer par ailleurs. Le monothéisme qui est issu de la longue transmission des Envoyés, d’Abraham jusqu’à Muhammad. Abraham, tout autant sanctuarisé dans le Judaïsme que dans le Christianisme que dans l’Islam, Dieu nous rappelant dans l’Islam l’importance de suivre Abraham, notamment dans le verset que vous avez coupé, malhonnête que vous êtes. La question peut-donc se poser si véritablement vous n’auriez pas usurpé votre titre par quelques bas moyens dont je terrais les appellations, car le sens du verset nous explique surtout l’opposé de ce que vous supputez. Dans le verset en question, le terme « Vous » ne mentionne pas les incroyants mais ceux qui ont combattu les croyants, les mêmes qui persécutèrent Moïses, Jésus, Muhammad et les Messagers dans leur globalité (se référer aux versets cités précédemment). A rappeler que ce n’est pas les Musulmans qui ont massacré le Prophète Jésus, n’existant pas à l’époque ; il serait donc bon que vous rappeliez qui ont été les vrais assassins dans l’Histoire où encore une fois, avez-vous peur pour votre emploi ? Maintenant que, versets et explications à l’appui, a été démontrée votre propagande nauséabonde et la supercherie de votre statut, il vous est très vivement recommandé de cesser l’exercice pour lequel vous êtes payé au prix de votre âme et de vous reconvertir professionnellement j’entends bien, dans un domaine où vous ne feriez de mal à personne. Quant à ceux et celles, ils seront nombreux assurément, qui manifesteront leur dégout, leur haine, leur bêtise absolue faite de leur ignorance et de leur manque de valeur, par des réponses sophistes qui contourneraient le fond du sujet pour ne faire que dans le registre de l’accusation, ce que Mr Pagès a démontré savoir très bien faire, je vous inviterai à prendre votre courage à deux mains et dans un premier temps, vous accordez un moment pour répondre comme je vous ai répondu, et dans un second temps, m’appeler au 06.85.20.57.89 , mon numéro de portable pour qui voudrait être en mesure de démontrer qu’il en sait plus qu’il ne s’en est convaincu. Vous avez préféré prendre comme l’ennemi l’étranger pour expliquer les causes du désastre des sociétés actuelles plutôt que de prendre le coupable véritable qui n’est autre que le système bancaire qui vous a fabriqués à son image. Chaleureusement. Ps : Mes plus sincères excuses pour les petites fautes de frappe que je n’aurais pas repéré.
Posted on: Sat, 06 Jul 2013 15:05:04 +0000

Trending Topics



Recently Viewed Topics




© 2015