Francois cappoix ( cappoix-la-Mort) (1776-1806) Francois Cappoix - TopicsExpress



          

Francois cappoix ( cappoix-la-Mort) (1776-1806) Francois Cappoix également connu sous le nom de la Cappoix-La-Mort était né à Port-de-Paix en 1776 sur lhabitation de Laveaux/Lapointe et mort le 19 Octobre 1806 à Limonade.Son nom était une transformation de Cappouet nommé, propriétaire lhabitation. se rappeler quà ce moment-là il était commun pour que les esclaves aient le nom des personnes quils servent. Sa carrière militaire a commencé en 1793 après une visite de Toussaint Louverture à Port-de-Paix. alors sous le colonel Maurepas, il était un membre de la 9ème brigade. son rang dans larmée a changé rapidement, capitaine du premier lieutenant puis du 3ème bataillon. Cappoix est la plupart du temps connu pour son courage à la bataille de Vertieres mais il y a beaucoup de batailles sans compter celle de Vertieres quil a montré son courage. Il a participé sous le Général Jacques Maurepas avec courage contre toutes les expéditions et invasions portées par les Français. En fait, en 1802 quand les forces françaises ont envahi Saint Domingue envahi par lecler (Haïti), beaucoup de villes comprenant Port-au-Prince ont été rapidement conquises par les Français et brûlées par leurs défenseurs. Par exemple, Henry Christophe à mis feu au cap-haitien et se refugia dans les montagnes,lorsque le general Leclerc lui a demandé de sy rendre. mais Cappoix lintrépide au lieu de brûler Port-de-Paix, il est resté pour combattre et défait les Français. en 1803 avant la bataille du Vertieres, les troupes francaises ont attaquées Port-de-Paix et essayées de lui capturer et il lui a commandé le massacre de tous les blancs en cette ville. plus tard cette même année ses forces, la 9ème brigade, ont mené lattaque de Vertieres et le general Rochambeau armée de courage arrêta le combat et féliciter ce héros intrépide.Juste après la mort de lempereur Jean Jacques Dessalines , Cappoix était général à Port-de-Paix. il a été assassiné par le général Romain sous les ordres de Christophe pour son support à Dessalines , à rappeler quen même temps un autre clerveaux appelé général a été tué par Christophe.Il a enseigné ces deux generaux pourrait larrêter pour obtenir plus de puissance. En fait selon la loi Clerveaux devrait remplacer Dessalines si en cas il meurt .Après la mort du general Cappoix, Rebeca qui était fidèle à lui a mené une révolte contre Christophe. il a été défaite et décapité par les troupes de Christophe. CAPPOIX-LA-MORT ET LA BATAILLE DE VERTIERES. Vers la fin doctobre les seuls endroits laissés à la France étaient rue Nicolas de taupe, tenu par Noailles, et Cap-Français, où, avec 5000 troupes, Rochambeau était au compartiment. Avec 16.000 hommes dans quatre colonnes, Dessalines a marché du nord, concentrant sa réservation chez Limbé et ouvrant des sièges sociaux au fard à joues de Morne sur la plantation célèbre, Lenormand de Mézy. Là Dessalines a proposé de débarrasser le Saint-Domingue des forces françaises une fois pour toutes. Rochambeau a eu dix forts et plusieurs batteries défendant le chapeau Français. Deux dentre eux : Picolet et d naval Estaing (une batterie) ont couvert le port ; le reste, sur léminence, a flanqué les ravins abrupts qui mènent à partir du Haut-du-Chapeau dans la ville. Au lieu dorganiser un siège formel, Dessalines a décidé de prendre le chapeau par lorage. Pendant la nuit de 17 et de 18 de novembre les haïtiens ont placé leurs quelques pistolets pour souffler le fort Bréda, situé sur lhabitation où Toussaint Louverture a eu le travail en tant que cocher. Avant aube, Christophe et Romain se déplaçaient silencieusement pour saisir le fort d Estaing (aujourdhui connu sous le nom de DES Mornets de Batterie) de larrière. Une colonne assez forte, le 8ème Demibrigade sous la Capoix-La-Mort, consolidée pour attaquer deux positions mutuellement soutenues, Butte de la Charrier et Vertières. Car les trompettes françaises ont déclenché lalarme, Clervaux a mis le feu au premier projectile. Les obusiers haïtiens se sont ouverts sur Bréda, et les forts ont répondu avec un hurlement. Sur ces signal, Christophe et Romain grouillés au-dessus de d Estaing et tournés ses pistolets sur la ville ci-dessous. Capoix, monté sur un grand cheval, a mené son demibrigade en avant en dépit des orages des balles à partir des forts sur sa gauche. Lapproche à Charrier a fonctionné vers le haut dun long ravin sous les pistolets de Vertières. Le feu français a tué un certain nombre de soldats dans la colonne haïtienne, mais les rangs fermés par soldats et a grimpé après leur mort, chantant : Grenadiers a l’assaut,! sa ki mouri zafe a yo. Nan pwen mamam. Nan pwen papa. sa ki mouri, zafe a yo! Grenadiers A l’assaut Le cheval de Capoix, obtenu le projectile, hésité et est tombé jetant Capoix en lair outre de sa selle. Capoix sest pris, a dessiné son épée ; brandi lui au-dessus de sa tête et a couru en avant des cris : ; Vers lavant ! Vers lavant ! ; Rochambeau, observait du rempart de Vertières. Pendant que Capoix chargeait en avant, les tambours français ont roulé un cessez-le-feu soudain. Soudainement, la bataille se tenait toujours. Un administrateur français a monté son cheval et est monté vers la Capoix-La-Mort intrépide. Avec une grande voix il a crié : Général Rochambeau lui envoie des compliments au général qui sest juste couvert dune telle gloire ! ; Alors il a salué les guerriers haïtiens, retournés à sa position et au combat repris. Pour renforcer les bataillons épuisés de la Capoix-La-Mort, Dessalines a introduit sa réservation sous Gabart, (à vingt-sept le plus jeune des généraux) et Jean-Philippe Daut. Par le milieu daprès-midi Gabart a tenu la butte de Charrier. À lintérieur de Vertières le magasin est monté, prenant avec lui les munitions de réservation ; deux-tiers de la configuration de défenseurs tuée ou enroulée. Dans le modèle grand de lempire, la garde de Rochambeau des grenadiers a formé pour une charge finale. Mais Gabart, Capoix, et Clervaux, le dernier combat avec un mousquet français à disposition et une épaulette tirée loin ont repoussé lcontre - attaque désespérée. Un déluge soudain avec le tonnerre et la foudre a submergé le champ de bataille. Sous le couvert de lorage, Rochambeau a retiré de Vertières, sachant il a été battu et ce Saint-Domingue a été perdu en France. Par le lendemain matin, le général de capitaine a envoyé son adjudant, Duveyrier, pour être en pourparlers avec Dessalines. Avant la tombée de la nuit, les limites de la soumission ont été arrangées. Rochambeau a obtenu dix jours pour embarquer les vestiges de son armée et pour laisser le Saint-Domingue. Les soldats français blessés ont été laissés sous la clef jusquau puits assez pour le retour vers la France. Dessalines a publié une proclamation de lindépendance. Il etait né en Haïti.
Posted on: Sun, 24 Nov 2013 22:17:55 +0000

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